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Oups pardon, parlons donc de la console portable qui permet de relier le petit gamer du dimanche avec le gros hardcore gamer.
J'attaquerais avec mon hit du moment:

Ce qui frappe d'emblée après avoir allumé sa console, c'est le style graphique si attachant et si caractéristique qui donne une véritable personnalité à ce titre : les dessins simples mais magnifiques laissent transparaître un style rétro, voire un peu en dehors du temps, avec des personnages caricaturaux et typés, mais toujours de bon goût. Le professeur et son look de Sherlock Homes, ainsi que son jeune assistant Luke ne manqueront pas de vous rappeler certains dessins animés de notre enfance.
On a carrément le souffle coupé en voyant les premières cinématiques tant on a justement l'impression de visionner un de ces dessins animés, et avec les voix s'il vous plaît ! Bref, l'habillage est un régal. On se réjouira moins en ce qui concerne la réalisation sonore. Oui, les musiques sont sympathiques (à moins d'être allergique à l'accordéon), mais hélas elles se comptent sur les doigts d'une main, et vu qu'il va falloir vous creuser la tête de longues heures, vous aurez tôt fait de les connaître par coeur...
Car sous ses faux airs de jeu gentil pour enfants, Professor Layton cache de redoutables casse-têtes, sous une mince couche de 'Point and Click'. Le professeur est ainsi invité par une baronne à mener une enquête dans le village de St Mystère. Son mari récemment décédé a en effet laissé un testament promettant toute sa fortune à celui qui résoudrait l'énigme de la 'Golden Apple'. Sauf qu'aucun des habitants, pourtant friands de puzzles en tout genre, n'a su la résoudre. C'est là que vous intervenez, non pas par appât du gain, mais simplement par challenge. L'histoire réserve bien sûr son lot de rebondissements, mais nous ne vous en dirons pas plus, à vous de le découvrir.
Vous vous baladerez donc dans la petite bourgade, en dialoguant avec les autochtones et en cherchant ça et là d'éventuels objets dissimulés dans le décor, tout cela bien entendu au moyen du stylet. Ces phases d'exploration ne sont cependant qu'un prétexte à un enchaînement de puzzles, énigmes, casse-têtes tous plus tordus les uns que les autres. C'est là une des seules lacunes du jeu, les énigmes qui vous sont soumises le sont de manière quelque peu artificielles : vous discutez avec un barman, et celui-ci vous pose la classique énigme du bidon de A litres à remplir avec B litres d'eau au moyen de 3 bidons de X, Y et Z litres. Ou la seule vue d'une bougie dans une pièce rappellera au professeur une énigme passée qu'il s'empressera de soumettre à son jeune disciple. Quoique ces énigmes soient très bien conçues, on se demande si le jeu n'aurait pas été aussi réussi sans l'habillage...Ceci est affaire de goût, au pire on cliquera partout sur l'écran pour trouver la prochaine énigme sans se soucier de l'histoire principale. Vous aurez de toute façon un index des puzzles rencontrés à disposition afin d'y revenir à tout moment.
Parlons justement de ces puzzles qui sont au coeur du jeu. On en trouvera une bonne centaine au gré de ses pérégrinations, tous très variés : Allumettes à déplacer en vue de réaliser une nouvelle forme, reconnaître un objet présenté sous des angles différents, logique, blocs à pousser, observation, mathématiques...etc. Certains jouent même sur la sémantique, si bien que cette version anglaise pénalisera obligatoirement ceux qui ne sont pas parfaitement bilingues.
Tous feront plus appel à votre astuce et votre bon sens qu'à de véritables connaissances théoriques, si bien qu'ils sont accessibles à tous. Si vous faites appel à des notions complexes, c'est en général que vous faites fausse route.
On s'amuse donc énormément, que ce soit seul ou même en famille à résoudre ces puzzles ! A vrai dire on s'amuse même beaucoup plus qu'en jouant à un quelconque programme d'entraînement cérébral, et je suis intimement persuadé que le cerveau en sort plus grandi.
Allez, voici un petit exemple, assez célèbre d'ailleurs :3 loups et 3 poulets se trouvent sur la rive d'un fleuve. Votre objectif consiste à les envoyer tous sur l'autre rive au moyen d'un radeau, sachant que :
- On ne peut pas mettre plus de 2 animaux sur le radeau en même temps
- Il faut au moins un animal sur le radeau pour pouvoir déplacer celui-ci
- Si à un moment quelconque il se trouve plus de loups que de poulets sur l'une des rives, ces derniers se font dévorer.
A vous de jouer, sachant qu'il est possible de résoudre ce cas en 11 mouvements minimum !
Fini de parler de loups et de poulets, revenons à nos moutons pour parler un peu durée de vie. Avec sa centaine d'énigmes le professeur Layton vous tiendra en haleine une bonne dizaine d'heures, et s'adaptera parfaitement à votre niveau : Ainsi, si un casse-tête vous bloque, et cela arrivera forcément croyez moi, vous pouvez 'acheter' jusqu'à 3 indices pour le résoudre. La monnaie de paiement est dissimulée dans les décors que vous parcourez, à vous de jouer du stylet pour trouver les pièces.
Pour les joueurs de haut niveau, le challenge réside dans le fait de trouver la solution aux puzzles en un minimum d'essai, chaque échec étant soldé par la perte de points, les picasas, dont le nombre correspond à la difficulté de chaque puzzle.
Une fois le jeu achevé, il faut bien avouer qu'il vous sera difficile d'y retourner, mais vous pourrez toujours prendre plaisir à coller vos proches, ou à télécharger chaque semaine un nouveau puzzle via la Nintendo Wifi Connection. Une excellente idée, d'autant plus que si vous séchez, une astuce sera disponible la semaine suivante !
Lassés de tous ces 'programmes' qui prétendent vous rendre plus intelligents? Envie de vraie réflexion, de vous creuser la tête, mais de manière ludique? Alors vous êtes faits pour rencontrer le professeur Layton ! Il vous fera découvrir un environnement enchanteur et des puzzles variés et difficiles, mais qui sauront toujours s'adapter à vous si le besoin s'en fait sentir ! Professor Layton mérite tout le succès qu'il a eu, et on espère avoir droit rapidement à une version française, tant la langue constitue un obstacle pour certaines énigmes. Et tant qu'à faire, espérons que la suite arrivera rapidement également !
Last edited by sancy (2009-01-28 18:30:46)

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Jeu vraiment sympa et très addictif. Les graphismes sortent de l'ordinaire et font penser aux Triplettes de Belleville. Les énigmes pimentent réellement le jeu, le seul hic c'est qu'on a parfois à faire à des énigmes soit trop faciles, soit trop dures... Un jeu à posséder quand même !

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Les énigmes m'ont gonflées. J'avoue, arrivé à la 50ème, j'ai pas réfléchi, quand je trouvais pas en 10 secondes je grugeais pour avoir la réponse. J'avais plus envie d'avancer dans l'histoire que faire des énigmes en fait.
Sinon, j'ai bien aimé.
int random() { return 4; }
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Jeu vraiment sympa et très addictif. Les graphismes sortent de l'ordinaire et font penser aux Triplettes de Belleville. Les énigmes pimentent réellement le jeu, le seul hic c'est qu'on a parfois à faire à des énigmes soit trop faciles, soit trop dures... Un jeu à posséder quand même !
suis d'un avis similaire ^^ un sacré bon petit jeu qui se joue bien sur la longueur, on a 5 minutes à perdre, hop une ch'tite nénigme! graphiquement plaisant, on peut voir ici que level 5 (rogue galaxy,...) est capable de ne pas se répéter tout en faisant des jeux de qualité
un exemple à suivre par les autres dévelloppeurs!
seul bémol, les 2nd et 3ème volets ne sont dispo qu'en jap pour le moment :S

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Je ne savais pas qu'il y avait des fanas de la DS ici, je pensais que ce site était "PSP only"
Après avoir fini le jeu (135 énigmes ça commence à faire beaucoup), je pense vraiment que professeur layton est vraiment dans le top 3 des jeux sur DS grâce à un scénario très riche et imprévisible. Les graphismes sont magnifiques, les scènes d'animations sont excellentes. Le seul petit problème est la durée de vie qui n'est pas si excellente (j'ai terminé les 135 énigmes+wifi en 9 heures)

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seul bémol, les 2nd et 3ème volets ne sont dispo qu'en jap pour le moment :S
J'ai même pas fait le un, j'ai même pas la console et voila deja le deux et le trois 

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Chinatown Wars. Le titre est aussi éloquent que possible. Il renseigne à la fois sur le lieu de l'action, sur l'univers infiltré et sur l'identité du héros. Retour à Liberty City, la ville de tous les dangers, de tous les vices et de tous les trafics. Zoom sur les triades chinoises, un monde que les joueurs de la série ont déjà tutoyé dans GTA III. Enfin, bienvenue dans la peau de Huang Lee, un personnage qui n'a rien en commun avec ses prédécesseurs, si ce n'est de voir son profil se noircir à mesure qu'il se laisse engloutir par l'appât du gain et par l'envie de vengeance. Lorsque le jeune asiatique débarque dans ce New York à la sauce GTA, le joueur ne sait pas grand-chose de lui. Tout juste a-t-il le temps de faire connaissance avec Huang qu'il prend une balle dans la tête avant d'être laissé pour mort au fond des eaux de Liberty City. Le héros a par chance, et après avoir matraqué l'écran du bas de la console pour briser la vitre de la voiture dans laquelle il est prisonnier, réussi à s'en tirer. Parachuté au milieu d'un conflit d'intérêts, il vient de perdre l'épée antique qu'il devait livrer à son oncle, un sésame qui devait permettre à ce dernier de prendre le contrôle des triades. Son père décédé, Huang va tenter de le venger tout en assurant ses arrières en enchaînant les missions pour le tout Chinatown, tel un électron libre. Du grand classique.
Les événements de Chinatown Wars ont lieu en même temps que ceux de GTA IV. Quelques rares références le confirment rapidement au joueur, toujours aussi finement. En plus de rendre une nouvelle fois hommage à Liberty City, cet opus est une sorte de retour aux sources puisque, support oblige, il se déroule en vue de dessus. In game, l'écran du haut de la DS se concentre sur l'action pendant que celui du bas regroupe un zoom de la map ainsi que les informations "vitales" telles que le niveau de santé du joueur, son stock de munitions ou encore l'argent dont il dispose. Un écran du bas qui servira également de diffuseur pour les cinématiques et bien sûr, à interagir avec des objets ou à dévérouiller certains accès, stylet en main. Pour ainsi dire, la lisibilité de l'action est parfaite d'autant que les options permettent de personnaliser quelque peu l'ATH. Par exemple, il est possible d'afficher le radar, le GPS ou la jauge de vie sur l'écran du haut, afin de posséder ces informations sans avoir à quitter l'action des yeux. La caméra de son côté, suit le joueur comme son ombre, de sorte à effectuer une rotation à chaque coup de volant. Idéal pour les courses-poursuites. A pied cette fois, c'est à l'utilisateur qu'il incombe de la replacer derrière lui à chaque fois qu'il le juge utile, en appuyant sur L. Concrètement, les déplacements, la navigation et le rendu de l'action nous permettent d'affirmer que tout a été pensé en fonction du support et qu'il est bien difficile de trouver le moindre défaut majeur à ce niveau.
Tout joueur de GTA a l'habitude, au début de l'aventure, de devoir fouiner ça et là pour trouver des sources de rémunération, qu'elles soient clean ou non. C'est également le cas dans Chinatown Wars mais les récompenses pécuniaires quelque peu radines après le succès des missions le contraint à surveiller ses comptes tout au long de l'histoire. Cela aurait pu être un problème mais les développeurs du jeu l'ont semble-t-il voulu comme tel puisque ce point du gameplay permet de mettre en lumière le trafic de drogue. Élément essentiel de la progression du joueur, celui-ci lui permet, si tant est que vous ayez un peu de sang de commercial sans pitié qui coule dans vos veines, de garnir son compte de sommes parfois très importantes. Depuis les options de la map, l'utilisateur accède à tout un tas d'informations sur les dealers qui squattent les ruelles les plus sombres de Liberty City pour faire leur business. Pour commencer un trafic, il faut dans un premier temps acheter des doses. Blanche, coke, taz, LSD, beuh, calmants... Toutes les poudres ou cachetons qui font halluciner sont au rendez-vous. A vous ensuite d'utiliser les données de votre PDA pour refourguer la camelote au plus offrant et plus en manque, avant de réinvestir chez celui qui fait les meilleurs prix. Commence alors un commerce qui n'a pas de fin et qui peut rapporter très gros. Répartis un peu partout sur la map, les dealers refuseront en revanche de traiter avec vous si vous êtes pistés par les flics. Des flics qui pourront vous surprendre à tout moment. C'est le prix à payer. Enfin, sachez que vous pourrez toujours tenter de vous faire un peu de blé autrement, en jouant à des jeux de grattage, en livrant des nouilles ou en accomplissant les missions taxi/ambulance/police.
Les deux éléments que nous venons d'aborder, à savoir le trafic de drogue et les courses-poursuites avec la police contribuent au rythme assez élevé de l'aventure. Pour ainsi dire, on ne voit guère le temps passer, bien que la map soit immense et calquée de près sur le modèle GTA IV de Liberty City. Toutefois, Chinatown Wars n'est pas parfait et toussote quelques petits défauts qui ne suffisent cependant pas à lui enlever sa qualité de jeu exceptionnel. On pense notamment à quelques phases durant lesquelles le stylet s'avère peu précis, au moment de lancer un projectile par exemple ou lorsque l'on peine à utiliser l'écran du bas en pleine action. En effet, votre pouce gauche sur la croix directionnelle, le droit sur les touches d'action, il peut être bien compliqué d'attraper le stylet pour switcher d'arme ou pour effectuer un massage cardiaque sur le mourant que vous transportez et qui supporte mal les secousses. Autre imperfection récurrente, l'étroitesse des rues de Liberty City qui débouche sur une conduite manquant de fluidité tant il est difficile d'éviter de rentrer fréquemment dans le trafic. La direction assistée (désactivable) tente bien de remédier à ce problème en replaçant automatiquement votre véhicule parallèlement à la route mais sans totale réussite. Enfin, on regrette que les conversations entre Huang et les autres protagonistes du jeu se contentent de dialogues écrits et ne soient pas doublés, ce qui est sans doute lié au support, un peu limité dans cet exercice.
GTA : Chinatown Wars comprend également un mode multijoueur à deux qui nécessite de posséder deux cartouches. Composé de quatre modes de jeu, celui-ci s'inspire vaguement de ce qui se fait sur consoles de salon. Deux d'entre eux sont orientés courses, les principales variations concernant la façon dont on peut gagner une épreuve, avec ou sans item, en tuant ou non ses adversaires. Ce multi propose également un mode Course au Butin. Composé de cinq scénarios, celui-ci consiste à braquer un fourgon rempli de drogue après qu'il ait apparu aléatoirement sur la map, puis de le conduire jusqu'à votre propre planque. Enfin, le dernier larron répond au nom de Défense de la base. Il s'agit évidemment de repousser des vagues d'ennemis successives qui se font de plus en plus intenses. Ce mode présente un grand intérêt dans la mesure où c'est le seul qui permette à deux joueurs de coopérer à travers huit scénarios. La valeur ajoutée du multi n'atteint pas forcément des sommets mais au final, Chinatown Wars est immensément riche et prenant en solo et s'impose comme l'un des jeux DS les plus profonds que la machine ait connu jusqu'à présent.

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Incontestablement un très grand jeu ! je trouve la vue du dessus bien plus adapté pour les courses poursuites et avec un peu d'entrainement on s'en sort bien mieux qu'avec une version 3d. Quel plaisir de rejoindre cette ville gigantesque et participer a tous les plaisirs ( du genre illégaux ) qu'elle nous proposent. Les missions sont nombreuses et très variés, on a toujours l'impression de faire autre chose ! Le système de deal est très au point et c'est un plaisir de parcourir la ville en quête d'argent facile, avec souvent les flics au cul. En tout cas tout le long de la partie on est surpris et on ne voit pas les heures passer, car pour une fois, c'est bien pendant des heures que vous allez scotcher votre ds. Un très grand jeu, surement le meilleur jeu ds.

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Un test de la DSI qui a l'air pas trop mal (ce sont des testeurs de psp qui la testent donc)
http://www.pspgen.com/dsi-wiggen-vous-presente-version-euro-images-actualite-186581.html

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la psp ds wii

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Entrée en matière habituelle de la série, vous débutez dans la peau d'un jeune homme sans véritable passé visible et à qui vous devez trouver un patronyme. Première surprise, certains noms sont interdits. Deuxième surprise : votre avatar, tout de pixels vêtus, possède la parole et ne se gène pas pour en abuser. Il est en effet étonnant, dans une série connue pour le mutisme presque dogmatique de ses héros (à part celui du troisième opus), de nous offrir une vraie pipelette, inconscient du danger et avide de bons mots. Ce qui ne l'empêche pas néanmoins de se trouver confronté à des événements qui vont le dépasser, et à se voir conférer une place de chef de guerre. Reprenant le principe des mondes parallèles, déjà un tantinet esquissé dans certains opus de la saga, Suikoden Tierkreis le met, quant à lui, au centre de son propos en faisant reposer toute sa trame sur l'existence de ces univers mystérieux. Confronté au fataliste Ordre, sorte de groupe religieux, imposant au peuple une vision de l'avenir prédéterminée et immuable, vous devrez créer des alliances avec les royaumes résistants de votre monde, mais également avec ceux d'autres univers, faisant face à des tensions similaires. Fresque géopolitique mondiale mais également dimensionnelle, Suikoden Tierkreis repose de ce fait sur des trahisons, des choix cruciaux et des impératifs politiques, tout en proposant un scénario bien moins "sombre" qu'à l'accoutumée. Ce qui n'empêche pas le titre de réserver un bon nombre de rebondissements, plus ou moins prévisibles, mais suffisamment dignes d'intérêt pour pousser le joueur à poursuivre l'aventure aux côtés de personnages très attachants, et pour la plupart disposant d'un background assez fouillé. C'est ici que commence une quête des 108 étoiles surprenante. Car à nouveau monde, nouvelles habitudes.
Les adorateurs inconditionnels de la saga de Konami risquent en effet d'être très surpris par la tournure de cet épisode DS. Conservant l'ambiance, les spécificités de base qui définissent un Suikoden, le soft apporte néanmoins un remaniement assez imposant aux rouages intemporels de la série. Suivant la voie du quatrième volet, Suikoden Tierkreis repose sur des combats incluant quatre personnages au lieu des 6 habituels. Le jeu conserve toutefois la présence d'un soutien, inopérant pendant les batailles mais conférant un bonus à l'équipe. Cette diminution d'effectif pourra choquer les puristes, mais reste dans les faits un choix plutôt pertinent, tant les batailles manquent d'un certain dynamisme et d'un véritable challenge. Car lorsqu'une facilité générale assez déconcertante rencontre des combats aléatoires (à la fréquence proche du délire), il n'en ressort rien de bien constructif. Fort heureusement, il est toujours possible de faire appel à l'attaque automatique, afin d'éviter le choix rébarbatif des commandes pour chacun des protagonistes. Seuls les boss et quelques ennemis exceptionnellement puissants, vous demanderont d'appliquer une vraie stratégie et de vous servir de vos marques des étoiles, afin de déclencher des pouvoirs spécifiques plus ou moins dévastateurs. Car dans son entreprise de détachement conscient de la saga, Suikoden Tierkreis laisse de côté les classiques runes au bénéfice d'un système de magie plus convenu. Frappés par la "marque des étoiles" après avoir touché un livre magique, les divers personnages possèdent des capacités spéciales se diversifiant au gré des autres ouvrages effleurés. D'un type particulier, elles doivent être classées et gérées précisément, vos guerriers ne disposant que de quatre emplacements destinés à accueillir ces pouvoirs. Si cette façon de procéder ne diffère pas complètement de l'équipement (également limité de runes sur chaque individu), la manière de s'en servir est, elle, bien plus prosaïque.
En effet, vous possédez désormais des points de magie (ou MP dans le jargon oh oh oh je m'y connais pas vous, I am jay!!!!!) et non plus d'un nombre d'utilisations bridé d'actions magiques. Ce système agit pour beaucoup dans la courbe de difficulté très faible du soft, puisque certains coups particulièrement puissants pouvent être utilisés dans des proportions trop élevées, ne sacrifiant qu'un faible nombre de MP. Le point positif de cette aisance dans la progression est bien évidemment de pouvoir se laisser happer tranquillement par le rythme très agréable du développement de l'histoire. Les "donjons" s'avérant relativement étendus et labyrinthiques, la courte durée des affrontements évite au moins de ressentir une impression de laborieuse frustration, à défaut de prendre un réel plaisir ludique dans le feu de l'action. Autre nouveauté, ou plutôt disparition, les duels à base de QTE ne font plus partie du casting ludique de ce Suikoden Tierkreis. Remplacés par de simples combats lambda, introduits par une courte saynète, ces derniers conservent bien évidemment leur importance scénaristique particulière, mais laissent malheureusement de côté l'aspect intense du mano a mano, ainsi que la mise en scène spéciale de rigueur. Un choix dommageable, qu'il aurait été possible de minimiser avec la présence des légendaires combats de masse type RTS propres à la saga, confrontant des armées entières dans une ode à la stratégie épique et puissante. Un conditionnel de mise, car celles-ci ont également disparues. Certes, il vous incombera parfois de repousser des vagues d'opposants en formant des groupes distincts, mais vous n'aurez jamais le plaisir de fouler de grands champs de bataille. Des lacunes impardonnables pour les puristes et qui enlèvent nettement de la profondeur au soft. Mais à bien y réfléchir, ces soucis ne font pas de ce Suikoden Tierkreis un mauvais titre, très loin de là. Car sous le titre Suikoden, se cache également un RPG.

Censé avoir des influences sur les monstres rencontrés, le système des saisons n'est au final qu'un petit plus sympathique sans grande utilité, ne modifiant que peu l'expérience de jeu, qui se suffit par ailleurs largement à elle-même. Centrée sur un schéma de base bien old school, celle-ci oublie ses origines et se contente de s'avérer simplement carrée, agréable et sans mauvaises surprises, faisant de Suikoden Tierkreis un bon RPG, à défaut d'être un vrai Suikoden. Car si l'absence de carte du monde véritable peut paraître un frein à l'exploration, le titre de Konami balaie ce défaut d'un revers de main en proposant un système de missions à la Final Fantasy XII plus qu'imposant, incluant autant vos objectifs principaux que vos quêtes annexes. En sachant que ces missions peuvent vous permettre de recruter au moins indirectement une cinquantaine de personnages, il faudra vous investir de longues heures si vos désirez accomplir la recherche mythique des 108. Certaines de ces tâches pourront néanmoins être confiées à un détachement, vous autorisant à continuer l'aventure sans forcément sacrifier votre temps. Fonctionnant sur le principe de Final Fantasy Tactics Advance, ces dernières se déroulent sur un nombre de jours définis, s'écoulant dès que vous effectuez un voyage sur la carte et permettent de récolter énormément d'argent ainsi que des armes difficiles à trouver dans le commerce. Vous ne serez donc jamais bien longtemps séparé de vos hommes, ni même de votre demeure.

La base est un des éléments majeurs de la mythologie Suikoden, et Suikoden Tierkreis ne déroge pas à la règle malgré ses infidélités. Commençant sous la forme d'un vulgaire tas de ruines sans vraiment d'utilité, elle deviendra rapidement un QG très pratique dans lequel vous accueillerez de nouvelles recrues au fur et à mesure de vos rencontres. Si certains compagnons se joindront à vous en combat, d'autres resteront bien tranquillement derrière ces lourds murs de pierre afin d'exercer divers métiers. Vous aurez donc rapidement à votre disposition des vendeurs d'objets, un médecin, une aubergiste, etc., sans oublier un forgeron qui n'a dans cet épisode qu'une maigre importance. En effet, les personnages peuvent porter n'importe quelle arme et ne sont plus soumis au passage obligé de la forge pour améliorer leurs caractéristiques. Dans cette même volonté de simplification générale, votre QG n'est que très peu modifiable, comportant d'ailleurs un nombre étonnamment restreint de pièces. C'est avec ce dernier exemple que l'on se rend bien compte de la volonté de Konami avec ce Suikoden Tierkreis, à savoir mettre en avant le jeu pour le jeu, sans chercher de complications. Ce Suikoden ce veut avant tout accessible, diffusant une immense aura de sympathie et se révélant convaincant dans sa sobriété. Plus qu'un spin-off, Suikoden Tierkreis semble être l'amorce d'un nouveau pan de la saga, à destination unique de la portable de Nintendo, tant il remet en cause les bases de la série.
Souligné par une bande-son d'une qualité ahurissante, portée par un Masaharu Iwata (Final Fantasy Tactics, Baroque), un Norikazu Miura (Suikoden) et un Yoshino Aoki (Breath Of Fire 3 et 4) dans une forme olympique, tout en s'affranchissant quasiment du processeur sonore limité de la DS, Suikoden Tierkreis parvient à se créer sa légitimité. Certes, il n'a plus de Suikoden que le nom, voire quelques petites spécificités ça et là, mais le soft de Konami contient encore et toujours cette part d'âme qui fait la force de la saga. Grâce à cette petite lueur faite d'aventure, d'une quête dantesque, d'un scénario aux multiples enchevêtrements et d'un casting des plus attachants, Suikoden Tierkreis réussit sans mal à s'imposer comme un bon RPG dont le plus gros défaut est de porter un nom qui ne lui correspond plus. Mais malgré cet anonymat étrange, sous ces lunettes noires mal agencées, on retrouve des qualités qui ne trompent personne. De fait, il reste une question, à quand un Suikoden VI ?
LES PLUS
* Une réalisation 2D exceptionnelle
* Une bande-son fabuleuse
* Un gameplay solide
* Un chara-design très inspiré
* Une durée de vie très correcte
* Un doublage américain convaincant
* Bonne traduction malgré quelques fautes
* Les cinématiques animées
LES MOINS
* Des lourdeurs dans la gestion de l'équipement
* Une 3D inutile et peu réussie
* Des villes découpées
* Manque certain de profondeur
* Ce n'est plus vraiment un Suikoden
* La fréquence des combats aléatoires
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Ah ah je sais que Fafane m'a beaucoup parlé de ce jeu 

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Ayant laché ma Ds pendant quelques temps, Suikoden Tierkreis m'a permis de la ressortir et c'est avec bonheur que j'ai déja bouffé 10h de jeu en a peine 1 jour et demi : Des graphismes vraiment travaillés pour la console portable de Nintendo, des cinématiques qui ponctuent bien l'histoire, un gameplay simple mais efficace, un scenario qui met du temps a s'installer, mais qui au final s'avère très sympatique..Bref, je vous le conseille fortement ! les seuls bémol que je pourrais citer sont les effets des sorts qui laissent franchement a désirer et les combats beaucoup trop classiques pou ne pas s'en lasser par moment. Pour répondre a certains commentaires disant qu'il y a trop de dialogues: je n'ai jamais trouvé de RPG sans autant de dialogues, faut bien une narration,et ici avec les voix anglaises, c'est très efficace. Enjoy !
Moi c'est KROM
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ouaip, un bon petit jeu, une bonne petite claque, il y a même des moment où je retrouve la "puissance" d'un rpg console, ne serait-ce qu'avec les nombreux dialogues doublés et les nombreuses scènes animés ^^

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ouaip, un bon petit jeu, une bonne petite claque, il y a même des moment où je retrouve la "puissance" d'un rpg console
Vous voyez que la DS c'est pas une console 

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je vous conseille de suivre CECi de tras pres:
http://www.gamekult.com/tout/jeux/fiches/J000093763.html

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Metroid Prime Hunters

Dans tous les produits de Big N, on retrouve les Metroid Prime avec un opus nommé Metroid Prime Hunters sorti sur la DS devenu grâce à sa compatibilité CWF Nintendo en multijoueurs depuis sa sortie en Mai 2006 un des meilleurs jeux online sur DS .Il est également le tout 1er jeu sur DS à offrir un chat sur DS. Petit test pour découvrir ce jeu devenu une des références en jeu online sur la console à 2 écrans.
Scénario :
Une puissante civilisation, les Alimbics, régnait sur le Cluster Alimbic, vaste région de la galaxie Tétra, territoire non contrôlé par la Fédération Galactique. Mais leur espèce s'éteignit subitement et mystérieusement en laissant derrière elle des artefacts, reliques de leurs puissance. Aujourd'hui, un message télépathique est reçu à travers tout l'univers évoquant une « puissance suprême » dans le Cluster Alimbics dont l'expéditeur est inconnu. La Fédération confie donc à Samus la mission d'enquêter sur cette puissance pour la sécuriser ou la détruire. Mais, comme l'évoque le titre du jeu, d'autres chasseurs de prime ont vent de ce message et font route vers la galaxie Tétra pour utiliser la Puissance selon leur bon vouloir. La tache de Samus dans ce jeu est captivante dans le fait d'analyser les messages laissés par les Alimbics qui nous indiquent comment ont-ils disparus, vécus.à travers le Cluster Alimbic composé de 2 stations et 2 planetes. L'action se déroule entre Metroid Prime et Metroid Prime 2 : Echoes.

Graphismes :
Les graphismes ne surpassent pas ceux rencontrés dans Metroid Prime mais ils restent impressionnants vu la machine qu'est la 1ere DS.
La 3D est maîtrisée, le style visuel des Metroid Prime est retrouvé pour des batailles acharnées sur les différentes maps (qui restent malgré tout perturbées par des bugs en wifi) et des heures d'exploration du Cluster Alimbic. On note que les maps en multijoueur sont toutes tirées du mode scénario. Dans le mode scénario, on retrouve quelques cinématiques tels que l'arrivée face à un boss, sa destruction, la possession d'un octholith.qui sont également très réussies.

Bande-son :
Les musiques du mode scénario sont véritablement captivantes. Elles nous plongent directement dans l'ambiance mystérieuse, dangereuse et sinistre du jeu dès notre arrivée dans la 1ere station et dans l'ambiance tendue et stressante dans les comptes à rebours. En revanche, elles sont peu nombreuses en mode multi joueurs.
Gameplay
Le joueur dirige Samus Aran en mode solo. L'écran supérieur montre une vue classique de jeu de tir à la première personne, tandis que l'écran du bas fait office de radar détecteur d'ennemis et d'items et permet de diriger la visée (à l'aide de l'écran tactile), d'activer le viseur d'analyse, de changer d'arme ou encore de se transformer en boule morphing si toutefois le mode tactile a été choisi. Une carte en 3 dimensions des pièces visitées est accessible en appuyant sur le bouton Start. Il est possible de zoomer sur cette carte avec les gâchettes L et R et de la visualiser sous des angles différents à l'aide du stylet. Le joueur doit régulièrement retourner au vaisseau de Samus pour pouvoir sauvegarder sa progression dans le niveau. À certains endroits, des portails menant à la salle d'atterrissage permettent d'éviter de devoir parcourir tout le niveau lorsque l'on veut effectuer une sauvegarde. Ceux ci sont disponibles après avoir récupéré quelques artefacts.
En mode multijoueurs, les contrôles sont les mêmes, mais vous ne pouvez activer le viseur d'analyse (qui ne servirais à rien de toute évidence). Le joueur a le choix entre les différents chasseurs rencontrés en mode solo. Il peut également les débloquer tout simplement en les battant une seule fois en multijoueur afin de l'utiliser (ce qui est bien regrettable pour le mode scénario). Chaque chasseur possède une arme préférée dont il modifie l'effet, ainsi qu'une forme alternative aux avantages variés. Chaque joueur possède sa propre licence avec divers stats intéressantes que les amis et rivaux enregistrés peuvent consulter. Il peut évoluer dans 5 rangs de chasseurs.
Voici la liste des différentes armes utilisées au cours du jeu (celles-ci n'ont rien à voir avec Metroid Prime) :
Le Rayon de Puissance ( Power Beam) : Munition illimitées, puissance faible, c'est l'arme standard à tout les Metroid.
Le Lance-Missile (Missile Launcher) : Arme à la précision faible et aux dégats élevés. L'arme favorite de Samus, quand elle l'utilise, le missile se téléguide vers un ennemi, cela ne change rien dans les corps à corps.
Le Magma (Magmaul) : Arme tirant des gros cailloux incandéscents qui rebondissent contre les murs (sauf au Rayon de Charge) ,ce qui est pratique pour toucher un adversaire dans un couloir. Explose au contact. L'arme favorite de Spire, quand il l'utilise, le Rayon de Charge brule les ennmis pris dans l'explosion.
Le Justicier (Judicator) :Arme tirant du plasma gelé qui rebondit contre les murs. Puissance et précision faibles corrigée par le Rayon de Charge qui tire 3 fois d'un coup. L'arme favorite de Noxus, quand il l'utilise, le Rayon de Charge produit un champ de glace qui gèle l'ennemi 3 secs.
L'Impérialiste (Imperialist) : L'arme la plus utilisée du mode Online, quelque soit le chasseur prit. Elle se présente sous la forme d'un laser rouge fin relativement puissant. La fonction Zoom spécifique à cette arme augmente sa puissance et peut tuer d'un coup si on réalise un HeadShot sur un chasseur (d'où sa popularité). La cadence de tir est faible mais c'est pas plus mal ainsi. L'arme favorite de Trace, quand il l'arme, il est semi invisible (ce qui ne sert à rien puisque le radar indique sa position (si on est proche de lui) et il reste malgré tout visible de loin)
Le Voltar : Version améliorée du Rayon de Puissance, plus puissante sur tout les points mais Rayon de Charge lent. L'arme préférée de Kanden, quand il l'utilise, le Rayon de Charge brouille la vue de l'ennemi si celui-ci est touché.
L'Hélicoïchoc (ShockCoil) : Il s'agit n'y plus ni moins de la Force qui foudroie une cible mais qui est émise d'un canon. Cette arme émet en effet de l'électricité qui inflige qque dégats à l'ennemi puis apres 2 secs de contact avec cette même arme, les PV baissent à une vitesse folle ce qui force le repli en forme alt et c'est donc pour ça que bien que puissante, cette arme ne tue presque jamais (presque pour les noobs). L'arme favorite de Sylux, quand il l'utilise, les dégats infligés à l'adversaire sont convertis en vie à Sylux.
Le Marteau (BattleHammer) : Non, ce n'est pas un maillet avec lequel on écrase la tête des autres chasseurs, mais un rayon tirants des « tites boules » qui s'écrasent sur le sol avec une onde de choc. Puissance faible, onde de choc faible, aucun Rayon de Charge, c'est l'arme la moins utilisée du jeu. L'arme favorite de Weawel, quand il l'utilise, l'onde de choc produite est plus grande, mais la puissance reste la même.
Durée de vie :
Une fois fini, le mode scénario ne présente plus grand intérêt mais nous scotche longtemps malgré tout. Le mode multi permet grâce à la wifi de rallonger la durée de vie du jeu de par le système de licence mais surtout le seul FPS disponible en wifi pour les amateurs du genre . La quète à la 5e étoile à accrocher à la licence est véritablement longue ainsi que celle de l'octolith étincelant bien plus rare.
Conclusion :
Un passage du grand écran de la TV aux 2 petits de la DS très réussi qui respecte l'univers de Metroid Prime. La possibilité de viser avec le stylet, la compatibilité Wifi du jeu, les graphismes réussis et les quelques gros moments rencontrés en mode scénario colleront des centaines d'heures devant leurs 2 écrans les fans de FPS et autres amateurs du genre. La machine est véritablement bien exploitée en tout point et difficile de faire des reproches au jeu comme les bugs en online et la sur-présence de joueurs utilisant l'AR. Après 2 ans, Metroid Prime Hunters est toujours le meilleur FPS sorti sur la DS.

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erf, désolé pour moi un metroïd c'est du shoot 2d ou ce n'est pas...

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Dis tout de suite que tu n'as pas lu mon test complet jeune freluquet 

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si si je l'ai lu pourquoi?
ce que je voulais dire c'est que les "prime" que ce soit sur le cube, la wii ou la ds ne sont (pour moi) qu'un vautrage de la série dans un genre où trop de titres les surpassent...
m'enfin ce n'est que mon avis ^^

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Je sais 

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Mise a jour de l'EZ! j'en connais qui vont kiffer
http://www.wiigen.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=2777&Itemid=1

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Youpi ! Des linkers a jour avec la DSI !
http://ds.jeuxvideo.org/2009/08/10/linkers-compatibles-avec-la-ds-14/#more-2080

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demo du prochain layton en anglais
http://ds.jeuxvideo.org/2009/07/17/professeur-layton-et-la-boite-de-pandore-la-demo/

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