Le fast food manga a emporter

Mary Christmas · 2008-08-25 00:51:05

Flag Fighter

SYNOPSIS

À cause de la trop grande violence qui fait rage un peu partout à travers le monde, de nombreux combattants professionnels ont été châtiés des tournois d'arts martiaux et autres compétitions de ce genre. Ainsi, ce groupe d'exclus qui sont avant tout des combattants purs et durs, et pour qui le combat est toute une vie, se réunit dans les rues pour se battre. Chacun amène avec lui un drapeau symbolisant l'essence même de sa propre existance. C'est comme cela qu'est né le "Flag Fight", duel dans lequel le perdant doit remettre son drapeau à l'adversaire. Et pour couronner le tout, une rumeur dit que celui qui parviendrait à rassembler mille drapeaux gouvernerait le monde. Mais la vérité est tout autre, et c'est ce que va essayer de vérifier Reppa Kagura.

AVIS

Né de l'esprit d'un certain Masaomi Kanzaki, Flag Fighter est ce qu'on pourrait appeler un shônen manga typé par excellence. Tout (ou presque) a déjà été vu autre part, les inspirations sont nombreuses, les schémas narratifs classiques au possible. Décortiquons : nous avons un héros aux aptitudes impressionnantes mais dont le potentiel est caché, il rencontre un vieux maître pervers qui va l'aider à trouver cette force. On a bien sûr droit au type taciturne qui se la pète grave avec son style de beau gosse et qui s'alliera momentanément avec le héros, mais aussi la fille garçon manqué etc... Vous l'aurez compris ce n'est pas ce qu'il y a de plus original quoi. Composé de cinq volumes seulement, certainement parce que le public japonais l'a boudé, ce manga n'a pas pu être aussi développé que prévu. Et pourtant une fois tout ça digéré, l'air de rien, il a plein de qualités qui pourraient bien séduire le public masculin (essentiellement). Les dessins sont vraiment bons, on retrouve en ce qui concerne la musculature des personnages un style proché à celui de Toriyama (vous savez le côté "carré"), d'ailleurs à un moment il y a une référence à Dragon Ball, tous les traits sont nets et précis, les combats sont bien construits et très rythmés grâce à un cadrage percutant et très bien découpé... De ce côté-là, c'est du grand art. On note aussi que l'auteur est beaucoup influencé par les jeux vidéo, notamment ceux de baston, les adeptes auront sûrement relevé des ressemblances entre le "Sonic Blast" d'Okamura et le "Sonic Boom" de Guile issu de Street Fighter, ou encore le "Black Dog" de Jinpachi avec le "Plasma Sword" combiné avec l'attaque de Poppy, le chien de Galford dans Samurai Spirits, mais bon je dois vous ennuyer avec mes références en jeux vidéo ! Pour continuer dans les ressemblances, on remarquera que le héros de l'histoire, Reppa donc, a un "petit" air d'un certain Hiei dans une "petite" série nommée Yûyû Hakusho, de plus ils maîtrisent tout deux une technique de "dragon"... Enfin, outre l'aspect baston qui prédomine bien évidemment dans l'histoire, l'auteur nous interroge aussi sur un problème assez intéressant, à savoir la frontière entre l'enfant et l'adulte. Grâce à de très bons passages, une certaine émotion parviendra peut-être à touché le lecteur, en tout cas, c'est ce que j'ai ressenti en lisant ce manga.

Une œuvre qui certes peut être considérée comme un banal amusement pour les plus jeunes, ce qui n'est pas faux quand on lit la plupart des répliques des protagonistes, mais qui montre tout de même des bonnes choses : un dessin très maîtrisé et une certaine réflexion sur un problème de société. Maintenant il est dommage que tout s'est arrêté brutalement, on voit bien en lisant que l'auteur planifiait d'autres bagarres à l'horizon. Enfin je ne vous mentirais pas en vous disant que ce manga est réservé plus particulièrement aux amateurs de combats, et même si ce n'est pas ce qu'il se fait de meilleur, ça reste très bien fait sur ce plan-là.

ADAPTATION FRANÇAISE

Sorti depuis bien longtemps et arrêté d'être publié au moment où j'écris ces lignes, et pour cause, l'éditeur Manga Player a déposé le bilan, Flag Fighter a bénéficié d'une adaptation hasardeuse en ce qui concerne les deux premiers volumes. L'impression est ratée et rappelle les premières éditions Tonkam, c'est-à-dire qu'on ne voit pas le noir et que tout est grisé voire pixélisé. La police de caractère n'est pas idéale pour le style de dessin de l'auteur mais reste lisible. Puis à partir du volume 3, on passe à ce qu'on connaît chez Pika (Manga Player est devenu Pika pour ceux qui l'ignoraient), à savoir un encrage bien meilleur et une nouvelle police assez bien choisie. Les jaquettes sont hideuses, notamment à cause de logo "Manga Player", mais aussi parce qu'il manque des fonds par rapport à la version originale (qui au passage a été rééditée au Japon en version Deluxe avec de plus belles couvertures). Les onomatopées sont retravaillées mais cachent une bonne partie du dessin (surtout à partir du volume 3), le sens de lecture est occidentalisé, ce qui entraîne des inversions de kanji, parfois retournés parfois non. Et pour finir, on note que les traducteurs ne sont pas les mêmes entre les volumes, dans les premiers les gros mots fusaient assez facilement alors que vers la fin ça s'est calmé, même s'il en reste encore, c'est disons plus tempéré, là je ne saurais vous dire qui a été le plus fidèle parmi les traducteurs. Une adaptation qui méritait mieux... Enfin comme Pika ne se décide pas à reprendre l'adaptation de ce manga, ça ne sert à rien de revenir dessus.

Du même auteur
- Bio Diver Xenon
- Hagane
- Street Fighter II

En bref :

Dessin : 16/20
J'aime beaucoup, on sent une bonne maîtrise de la part de ce dessinateur qui puise ses inspirations de diverses sources.
Scénario : 13/20
Très classique, des tournois de bastons mais il y a une petite problématique qui se cache derrière tout ça.
Fun : 15/20
Une lecture on ne peut plus fluide, surtout que c'est à base de combats !
Adaptation : 10/20
À l'intérieur ça va mieux qu'à l'extérieur, mais bon, c'est trop aléatoire dans l'ensemble et trop cher.
Intérêt : 70 %
Vraiment dommage que le manga ait connu une fin si prématurée, c'était bien parti pour être une œuvre intéressante et, qui sait, novatrice. Là c'est juste du déjà-vu, mais bien réalisé.

ed2k://|file|[Manga.FR].Flag.Fighter.-.SA.-.Intègrale.1.à.5.-.darsh.repack.for.Sharemanga.&.EmuleBDz.rar|149445542|90EF49E0CF4CEA964E3CC3D0017E7275|/

Last edited by Mary Christmas (2008-08-25 00:51:33)

toorop · 2008-09-05 01:07:09

Bonne idée de topic, et bonne idée, les notes (même si il ne faudrait pas que ça devienne obligatoire ou systématique)

sancy · 2008-11-08 21:58:11

Titre Original : Jigoku Shoujo
Année de production : 2005
Studios : STUDIO DEEN & ANIPLEX
Genre : Horreur, fantastique
Auteur : Kenichi Kanamaki
Directeur : Takahiro Omori
Chara Designer : Mariko Oka
Volumes, Type & Durée : 26 EPS 24 mins

Introduction :
"Ce monde que nous connaissons est celui du Karma. Les liens qui unissent les hommes s'enroulent tel un pétale de Lycoris, fragile et affligé. Quand les hommes se perdent dans la colère, la tristesse et les larmes, les vengeances enfouies sont accomplies derrière le rideau de minuit."

Synopsis :
Une légende urbaine raconte qu'il existe un mystérieux site, le Jigoku Tsushin, auquel on ne peut accéder qu'à partir de minuit... Il est dit que si vous voulez prendre votre revanche sur quelqu'un, il suffit d'y inscrire le nom de celui-ci, le lendemain, la "Jigoku Shoujo" viendra emmener votre ennemi en Enfer, à la condition que vous lui confirmiez votre désir de vengeance. Cependant, une fois la revanche effectuée, votre âme sera damnée, et se perdra en Enfer le jour de votre mort... Mais n'est-ce pas le prix à payer lorsqu'il n'y a plus d'espoir ?

Avis personnel :
Il y a comme une atmosphère pesante qui se dégage de cet anime, c'est normal me direz-vous, c'est un manga d'horreur... il y a aussi comme du déjà vu, comme une touche de Death Note, toujours copié mais jamais égalé... ou l'inverse ? puisque publié avant... m'enfin... L'on a droit à plusieurs situations, les épisodes ne sont pas véritablement liés, seulement avec l'histoire de fond, où l'on doit inscrire le nom de la personne de qui l'on veut se venger sur le site. Ce n'est que par la suite que l'histoire prendra tout son sens, mais je n'ai pas été au de-là de l'épisode 12...
Petit hic pourtant... On a l'impression que toutes les situations sont expressament faites pour qu'elles s'empirent, et que forcément la victime de la situation doit inscrire le nom de la personne dont elle veut la mort sur le fameux site... Et quand on croit que celle-ci va y renoncer, bah non, y aura toujours un truc qui pousse la personne à retirer cette ficelle rouge...

Mais dans l'ensemble Jigoku Shôjo vaut le détour, les persos sont charismatiques et ont la grande classe, et la perso principale fait flipper grave XD !!! L'intrigue est bien taillée, un peu répétitif certe, limite rébarbatif, mais l'on tient le coup !

Affaire à suivre...

papy tromblon · 2009-03-08 02:59:29

Golden Boy

Golden boy est un ecchi, un genre qu'on pourrait rapprocher du porno soft, sauf qu'ici, rien a voir, le sexe est un element parmi d'autres d'une serie largement originale et dont le sens profond se revele plus complexe encore que du shirow!

Kintarô Oe (son prénom peut se traduire par 'Bonhomme d'or', d'où le titre du manga) est un homme à tout faire : balayeur, cuisinier, colleur d'affiches politiques... tout métier est bon pour lui.
Sa devise est : étudier, étudier.
Étudiant à la prestigieuse Tōdai (Université de Tōkyō), en droit, il a interrompu ses études car il avait déjà tout appris.
Depuis, il parcourt le Japon sur son fidèle vélo, apprenant à l'école de la vie.

Le manga mélange allègrement humour, réflexion et érotisme.
Humour car kintaro ne peut s'empecher d'agir comme un vrai pervers, un looser ultra charismatique.

reflexion qui vont bien plus loin que les simples questions habituelles sur la vie au japon (facon GTO ou larme ultime) mais qui poussent a une vraie remise en question de l'amour, de l'egoisme, de ce qu'est l'ecole, de ce qu'est le sexe, la dépendance, l'arrogance.
des prises de positions tres tres originale, parfois a la limite de l'immoralité et qui frise le coup de poing dans la gueule d'un niezche par exemple.

erotisme car tout est pretexte a montrer de la culotte et plus encore, avec un heros qui baise comme un fou au cours de toute la serie (ce qui est assez rare sorti du porno en général, meme des mecs comme ryo saeba serrent peu)Egawa est un petit malin et vous fait voir des scenes de baise dantesque ou il distille sont message profondement humaniste mais hautement anti politiquement correct.

bref si vous avez des couilles, un semblant de cerveau et ras la couenne des petites series gentillettes (meme quand elles sont gores a crever) jetez vous la dessus NOW

tonkam réédite en ce moment les volumes (ils en sont au 3eme tome) et il existe une serie en 6 oav facile a trouver en francais big_smile

(pour ceux qui penserait qu'il y a un bug dans la matrice, oui krom avait deja fait un article mais il m'a demandé de le réécrire)

krom · 2009-03-08 03:01:56

Je confirme: mon article en copier coller ne pese rien face a la vrai critique.

papy tromblon · 2009-03-08 15:29:28

un heros modeste

gogole · 2009-03-09 15:53:30

Bakuman

L'histoire

Ecrite par Takeshi Obata et Tsugumi Ohba, Bakuman est l'histoire d'un jeune élève Moritaka. Il se fond dans la masse, et mène au jour le jour une existence léthargique et monolithique à l'image hélas de la plupart d'entre nous. Ne se démarquant en rien de la masse inconsciente des étudiants sauf peut être par ses incroyables facultés et talents de déssinateur. C'est ainsi qu'il avait prévu de mener son existence, dans le sillage monotone d'une vie sociale prédestinée. Mais, contre toute attente, ce jeunôt décide d'un coup de devenir mangaka et de trancher sur le future désilusionné qui l'attendait, mais dans sa famille il y a déjà eu un mangaka, son oncle qui n'a pas survécu à l'échec en tant que mangaka. Mais ce qui motive réellement Mashiro, c'est l'espoir de pouvoir un jour épouser Azuki, la plus belle fille de son école.

Les personnages principaux

Mashiro

Mashiro est notre personnage principal,tout le monde l'appèle Saiko. Très jeune il accumulait les trophés de concours d'art mais n'avait jamais envisagé d'en faire une profession. Il voyait la vie de travers mais maintenant qu'il envisage sérieusement une carrière de mangaka, il fait preuve d'une détermination formidable ou presque. Il est attiré par la plus jolie fille du collège Azuki qu'il a demandé en marriage d'une façon plus qu'originale. Il croit devoir faire face à la vision de son avenir selon ses parents mais, contre toute attente, il reçoit leur bénédiction malgré la funeste incursion de son oncle dans le monde du manga.

Takagi

Tout le monde l'appelle Shuto mais Mashiro l'appelle Shûjin (qui est l'équivalent de forçat ^^). C'est lui qui met les choses en place pour convaincre Mahiro de déssiner pour lui. Oui, il y a souvent un écrivain (auteur) et un dessinateur (illustrateur) dans une équipe de mangakas. Il a de son côté gagné quelques prix dans le domaine de la littérature dans le cadre académique et il est bien vu des professeurs et de quelques élèves car réunissant les meilleurs notes. Son espoir de devenir mangaka se fonde essentiellement sur le fait qu'il n'a pas le physique pour être sportif, ni la voix pour être chanteur. Être mangaka étant donc pour lui le seul moyen de parvenir à la richesse et la popularité loin d'un paisible travail de bureau.

Azuki

Oui, la fille la plus belle de l'école selon Takagi, et sûrement de la Terre selon Mashiro. Elle ne se démarque pas, n'attirant pas l'attention sur elle mais, son rêve est de devenir un jour une actrice vocale (ces gentils personnes qui interprêtent les voix dans les animes). Elle a déjà entreprit les démarches pour parvenir à ce rêve bien que vivant dans une mansion gigantesque et à supposer disposant de la fortune qui va avec. Elle a accepté la demande en marriage de notre Mashiro tourmenté mais seulement lorsqu'il aura eu un succès relativement aigü dans le monde de l'anime.

Niizuma Eiji
Le rival de Mashiro et Takagi. Voici un mangaka assez spécial qui a un don inné pour créer des histoires et des personnages hors pairs. Particularité : il devient de plus en plus humble et sympathique au fil des chapitres. De plus, il embauchera Mashiro comme assistant quelques temps et ils apprendront l'un de l'autre.

Hattori
L'éditeur "personnel" des deux jeunes. Employé de Shueisha il leur donnera des conseils précieux et leur conseillera d'employer des noms d'artistes Ashigori Muto (une portion du nom de chaque et d'autres...). Assez compréhensif il va faire face à leurs caprices sans jamais jetter l'éponge. Il doit faire face à la concurrence des autres éditeurs au niveau de son département.

Les auteurs

Takeshi Obata et Tsugumi Ohba sont évidemment des Mangakas. L'un est l'auteur de Death Note et a attendu deux ans avant de s'associer avec Ohba pour pondre une histoire toute différente de celle de Death Note. Pour certains, Bakuman serait une façon pour ces auteurs de faire une sorte d'autobiographie parce que, il s'agit de deux garçons et non d'un seul qui monteront graduellement et difficilement les marches de l'univers du manga.
Pour les fans, ils ont eu la gentillesse de faire de temps en temps allusion à Death Note histoire de nous garder heureux. laugh.gif

Mes impressions

+++
Après avoir lu les deux premiers chapitres, je suis anxieu de lire la suite car, même si les auteurs se sont éloignés de l'univers et du concept de Death Note, ils se donnent à fond dès le départ et c'est sur qu'il continueront ainsi. Death Note a le mérite d'avoir été une série pensée sur la durée, succinte mais pleine de rebondissements et j'en espère autant de celle-ci.

- - -
J'ai eu un mal dingue je l'avoue à passer le cap des trente premières pages du premier chapitre. C'est vrai qu'il y a de l'humour et l'intrigue se déssine quelque peu mais le manga a eu du mal à m'accrocher. J'ai failli laisser tomber ce sujet car, le perso principal a failli me démoraliser en cours de route tellement il est péssimiste. De plus, même si l'histoire s'en éloigne, le décor m'a instinctivement ramené à Death Note dans les premières pages (normal puisque c'est les mêmes auteurs).

En somme toute, ce manga selon moi a de l'avenir même si il devra arracher à prix fort la liberté et une parcelle de lumière hors de l'ombre que son prédécesseur maccabre lui fait.

Si vous avez plus d'infos concernant ce mangas ou si vous désirez juste poster votre avis, vous êtes les bienvenus.
(Même si c'est pour me donner des conseils quant à la façon de présenter les topics de mangas.... sad.gif )

papy tromblon · 2009-03-09 15:54:39

gogole wrote:

(Même si c'est pour me donner des conseils quant à la façon de présenter les topics de mangas.... sad.gif )

Tes smileys marchent pas big_smile

coaster · 2009-10-11 09:43:39

Majin Tantei Nougami Neuro

voici un petit résumé

L'héroïne de cette histoire est Yako Katsuragi, dont le père a été tué dans une pièce fermée de l'intérieur, et cela de plus apparemment sans raison. Ce mystère commence à tourmenter Yako au point de plonger sa vie peu à peu dans le chaos jusqu'à ce qu'apparaisse Nōgami Neuro (littéralement, Neuro le mangeur de mystères), un démon souhaitant devenir détective. Neuro se « nourrit » de mystères, et, après avoir avalé tous les mystères de l'enfer, cherche donc sur Terre l'ultime mystère, celui qui le rassasiera pour l'éternité. Cependant, ne pouvant devenir trop célèbre sous peine d'avoir sa véritable nature dévoilée, il oblige Yako (sous peine de torture) à jouer les détectives, pendant que lui fait tout le raisonnement.

Concrètement, Neuro peut sentir les crimes mystérieux avant même qu'ils ne se produisent. Une fois sur place, les deux détectives profitent de leurs connaissances dans la police afin de rentrer sur la scène de crime, où Neuro déploie alors une panoplie de sorts lui permettant de trouver des indices très facilement. Le criminel trouvé, Yako, n'y connaissant strictement rien en énigme, se contente de pointer du doigt le coupable que Neuro lui a désigné. Celui-ci poursuit les explications concernant la façon dont s'est déroulé le crime, et au moment précis où le puzzle est résolu, Neuro avale les sentiments de haine et de colère provenant du criminel. Parfois, Neuro punit aussi le criminel en le rendant fou, pour tester la résistance du cerveau humain.

Bref un gros sadique il n'ya qu'a voir sa tete pour comprendre

l'anime est fini et est facilement trouvable sur dailymotion en vostfr

quant au manga si je me souvient bien les premier tomes sont sortit aux editions glénat mais continue de sortir au japon voila n'hesitez pas a me faire parvenir vos avis ^^ que ce soit sur l'animé ou le manga papier

Sous-culture : là où les geeks se sentent chez eux

#1 2008-08-25 00:51:05

Le fast food manga a emporter

#2 2008-09-05 01:07:09

Re: Le fast food manga a emporter

#3 2008-11-08 21:58:11

Re: Le fast food manga a emporter

#4 2009-03-08 02:59:29

Re: Le fast food manga a emporter

#5 2009-03-08 03:01:56

Re: Le fast food manga a emporter

#6 2009-03-08 15:29:28

Re: Le fast food manga a emporter

#7 2009-03-09 15:53:30

Re: Le fast food manga a emporter

#8 2009-03-09 15:54:39

Re: Le fast food manga a emporter

#9 2009-10-11 09:43:39

Re: Le fast food manga a emporter

Board footer