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La prostitution au Japon, parallèlement aux réseaux classiques pratiqués dans la plupart des pays du monde, comporte plusieurs caractéristiques liées à sa culture. Le terme de geisha, généralement mal compris en Occident, n'est pas synonyme de prostituée. On remarque au Japon l'existence de réseaux parallèles ou informels, pratiquement absents dans les autres sociétés occidentalisées, de prostitution de jeunes filles et d'adolescentes scolarisées.
Une partie non négligeable des étudiantes japonaises (étudiantes, lycéennes et collégiennes, notamment parmi les kogaru) sont amenées à se prostituer occasionnellement, soit volontairement, soit suite aux requêtes des hommes qui les approchent. D'après un rapport de la National Police Agency en 1996, « un tiers des cas de prostitution connus impliquent des adolescents. (...) Environ un quart des étudiantes japonaises entre 12 et 15 ans auraient participé à des conversations téléphoniques roses. Les conversations sont prévues à des dates fixées à l'avance et sont généralement sujettes à un accord préalable pour un service sexuel particulier, au prix fixé. »
Ce phénomène typiquement japonais se distingue de la prostitution « classique » par les motivations supposées des jeunes filles impliquées : plutôt qu'une source stable d'argent, c'est une source occasionnelle d'argent de poche ou d'appoint qui serait visée, souvent stigmatisée par le désir de se procurer des produits de marques.
* « Jusqu'en 1997, Tōkyō et Nagano étaient les seules zones au Japon où le sexe avec des enfants n'était pas illégal. »
* « Une nouvelle loi japonaise a pris effet le 16 décembre 1997, faisant du commerce sexuel avec un mineur en-dessous de 18 ans un acte criminel, pouvant donner lieu à un an d'emprisonnement et une amende équivalent à 2600 livres sterling. Avant cette loi, le contact sexuel avec un enfant de moins de 13 ans était illégal, mais autorisé avec un mineur consentant de plus de 13 ans. » .
* « En 1998, le Japon était le plus grand producteur de pornographie enfantine au monde, et le Parlement japonais a récemment refusé de passer une loi interdisant la pornographie enfantine pour des « raisons commerciales ». »
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Un Japonais armé d'un couteau a été pris, dimanche 8 juin, d'un coup de folie meurtrière dans un quartier animé de Tokyo, tuant au moins sept personnes et blessant une douzaine de passants, ont rapporté la police et les médias. Les motifs de l'agresseur, qui a été arrêté, restent encore vagues, mais son attaque coïncide avec l'anniversaire de l'un des crimes les plus horribles du Japon moderne : la tuerie de huit enfants dans une école élémentaire en 2001.
Peu après midi, un homme au volant d'un camion a foncé dans la foule près de la gare d'Akihabara, connu sous le nom "Electric Town" pour ses magasins de produits électroniques et ses centres de jeux vidéos très fréquentés par les jeunes. Il est ensuite descendu de son véhicule et armé d'un couteau, a attaqué au hasard les passants, blessant 17 personnes, dont certaines grièvement, jusqu'à ce qu'un policier armé parvienne à le maîtriser, ont indiqué les pompiers et la police.
Selon les agences de presse japonaises Jiji et Kyodo, sept personnes ont été tuées (six hommes et une femme ) au cours de cette agression, un événement extrêmement rare à Tokyo, réputée pour sa sécurité. "Le suspect a raconté à la police qu'il était venu à Akihabara pour tuer des gens'', a déclaré le porte-parole de la police de Tokyo Jiro Akaogi, confirmant que Tomohiro Kato, 25 ans, avait été arrêté sur le lieu du crime." Il a dit qu'il était las de la vie. Il a dit qu'il en avait marre de tout''. Les médias locaux avaient rapporté dans un premier temps que le jeune homme affirmait être un yakuza, un membre de la mafia japonaise, une information infirmée par NHK plus tard.

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Un comique Français, j'ai oublié son nom, avait raconté une fois cette anecdote à propos des Japonais : il proposait à un producteur Japonais un concept de caméra cachée aassez classique, du genre se faire arrêter par un policier pour avoir roulé dasn une voiture jaune, ou voir les réactions d'hommes qui se faisaient mettre la main au cul par une très jolie jeune femme. Le producteur lui avait répondu un truc dans ce style : "tout ça, c'est démodé depuis longtemps, chez nous. Ici, si vous voulez faire rire aevc une caméra cachée, vous devez faire enlever quelqu'un par des hommes armés et encagoulés qui l'emmèneront dans un entrepot abandonné, l'attacheront à une chaise et lui mettront un pistolet sur la tempe avant de lui dire "c'est une blague" ! ". Réponse du comique Français, qui a définitivement renoncé à chercher de nouveaux marchés au Japon : "vous avez raison, le Japon est très en avance sur la France"
The sky is blue and all the leaves are green.
The sun's as warm as a baked potato.
I think I know precisely what I mean,
When I say it's a shpadoinkle day.
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Essentiellement connu pour ses effets spéciaux, Yoshihiro Nishimura, réputé pour être particulièrement branque, franchit le cap en passant derrière la caméra tout seul comme un grand. Et pour une première fois, il n'a pas fait les choses à moitié. Son premier long métrage qui s'annonce très bizarre se déroule à Tokyo, annonce du gore et cherche des misères à la police. Son titre ? Tokyo Gore Police. Naturellement.

Accrochez vos ceintures : Yoshihiro Nishimura est connu dans le petit monde du cinéma nippon pour ses effets spéciaux délirants qui rivalisent de folie baroque et d'imagination débridée. Depuis ses débuts, il a compris que le bon goût était l'ennemi de la créativité. Récemment, il a donné un coup de main au très attendu Machine Girl, de Noburo Iguchi, une autre bizarrerie venue du soleil levant, dont les images promettent un festin aussi cru qu'excitant. Mais ce spécialiste de la loufoquerie n'est pas né d'hier. Dans son CV, il compte également des participations aux Meatball Machine, de Yudai Yamaguchi & Jun'ichi Yamamoto ; et au Dîner de Noriko, de Sono Sion. Dans de telles prédispositions cultes, logique qu'il passe à l'étape suivante. A savoir accoucher sur pellicule un machin totalement incontrôlable ne ressemblant qu'aux choses bizarroïdes qui s'acharnent dans son esprit.

Son premier long métrage Tokyo Gore Police suivra une charmante femme flic qui ne se sépare jamais de son katana et appartient vaillamment à une équipe de fous furieux chargés de chasser des mutants coriaces de la planète Terre (on peut d'ores et déjà les baptiser «MutantBusters»!). Derrière la discorde, se cache un savant fou, responsable du chaos qui entretient avec la miss un lourd secret commun (ils ont tous les deux tués leurs papas). Et si les mutants symbolisaient la culpabilité ? Rien n'est moins sûr dans ce trip qui ne devrait pas se prendre au sérieux (c'est tout le mal qu'on lui souhaite). Ceux qui ont voués un culte à l'extraordinaire Audition, de Takashi Miike, seront ravis de revoir leur icône Eili Shiina au cinéma dans un rôle qui s'annonce diamétralement opposé. C'est d'autant plus sympa que les premières images visibles du film font immédiatement pensé à l'univers de Takashi Miike. Reste à savoir si on croisera une strip-teaseuse qui lance des fléchettes empoisonnées avec son vagin (Fudoh) ou une femme qui accouche littéralement d'un homme en pleine copulation (Gozu). Ou si on verra encore pire.

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Ces premières réponses vous conviennent ?
merci mad movies 

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Des lecteurs de mad movies 

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D'ailleurs, j'viens de me désabonner, après pas mal d'années de bons et loyaux services. Avec le nouveau rédac' en chef, ça devient trop un chiffon pour les Saw et cie, et délaisse complètement le cinéma fantastique pour le cinéma gore only. Triste.
int random() { return 4; }
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LOl japon
quand on fait une caméra cachée au japon, on fait croire au mec qu'il va mourir
http://warmingglow.uproxx.com/2009/10/ha-ha-good-one-japan

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