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Taxi 4
non je ne met pas de photos!
En 1998, la France découvrait au cinéma, un film « d'action » familiale, qui allait devenir au fil des années, très populaire auprès du grand public. Accueillit à bras ouvert lors du premier volet, le second opus vit le jour en l'an 2000 et connu quant à lui, un succès retentissant. Ayant quitté le Marseille natal pour la capitale, l'osmose n'est plus au rendez-vous. Mais grâce à son très bon score au box office, EuropaCorp comprend que le filon à bel et bien été trouvé, ils oseront donc nous en remettre une troisième couche en 2003, car comme on dit : « jamais deux sans trois » ! Nouveau volet, même personnages, même voiture, sauf que celle là est capable de tout comme du pire, comme dévaler les pistes enneigées de la station de ski de Tignes. Bref, cela sent le roussit depuis le deuxième opus, malgré le succès qu'il remporte, car le public suit le mouvement comme des moutons, et qu'ils adhèrent tous à cette surenchère de pitreries burlesques sans queue ni tête. Par contre, chose à laquelle on n'aurait jamais imaginé, ni même espéré, c'est qu'un jour on puisse découvrir un quatrième volet de la saga ! Toujours réalisé par le même réalisateur, toujours interprété par les mêmes acteurs, mise à par Marion Cotillard, qui était trop occupée sur le tournage de La Môme (biopic sur Edith Piaf). Bref, si dans le troisième, la guest star était Sylvester Stallone, cette fois-ci, c'est Djibril Cissé qui le remplace. Au menu de cet énième navet cinématographique qui cumule durant près d'une heure trente des gags enfantins : des absurdités et autres dialogues tous plus idiots les uns que les autres, des personnages trop caricaturales et fatigants. Bref, le scénario a été à peine travaillé, on constate rapidement que le manque d'idée et d'originalité prédomine. C'est donc (et ce depuis le deuxième opus) sans surprise que l'on retrouve toute la bande à Besson, dans une énième suite, qui espérons le, signe là, son accomplissement. Et que l'on en entendra plus jamais parler ! !

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[b]Par contre, chose à laquelle on n'aurait jamais imaginé, ni même espéré, c'est qu'un jour on puisse découvrir un quatrième volet de la saga !
Tu veux dire, je suppose, "et qu'on aurait encore moins espéré"? Blague à part, j'ai une mauvaise nouvelle : il y a eu en tout, je crois, SEPT Police academy. Luc Besson, le seul cinéaste Français à être aussi haï que Paul anderson?
The sky is blue and all the leaves are green.
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ouwned 
ouais j'avoues c dla daube, quand on pense qu'il suffira qu'on les achetes pas pour que ca se vende plus, comme a dit un grand sage...
mais bon y'en a quand meme quelques uns qui se sont fait du blé avec cette histoire, et je pense pas que frédéric diéfenthal aurai fait carrière dans le cinéma (va savoir si c'est une bonne ou une mauvaise chose ^^)
en tout cas pour samy nacery ca a rien changé vu kil etait en prison entre le 3 et le 4, on dit que c'est la pauvreté qui engendre le crime mais sur ce coup la je crois que c'est vraiment une question de connerie, ils ont bien choisi l'acteur principal hein?
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ouwned
ouais j'avoues c dla daube, quand on pense qu'il suffira qu'on les achetes pas pour que ca se vende plus, comme a dit un grand sage...
Coluche

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Putain mais Psycho, vire moi cet avatar de con, tu veux me tuer à chacun de tes posts ou quoi ?


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Sexy boys
J'ai décidé de ne pas vraiment faire de résumé. Pourquoi, je vais vous le dire, car tout ceux qui ont vu au moins un djeun's movie connaissent déjà l'histoire. Il y a le personnage principal désespéré qui va rencontrer une fille avec qui il ne s'entendra pas forcément bien (ce qui est réciproque), vont apprendre à se connaître puis s'aimer, avoir un coup de gueule qui entraînera un break, pour enfin revenir ensemble après un mea culpa tonitruant. Tout cela au milieu des problèmes (sexuels, cela va sans dire) de ses meilleurs copains. Mon dieu, j'ai raconté la fin ! Visiblement, l'originalité n'a pas été le but des auteurs, alors peut-être l'humour ?.. Il faut avouer, bien que l'on soit hermétique à ce genre de potacheries, on rigole à quelques reprises. Sérieusement. Bien sûr, il ne s'agit que de quelques exceptions, puisque le djeun's movie dans sa forme la plus aboutie rassemble les gags les plus dégoûtants (on se souvient tous du verre de Stiffler dans American Pie premier du nom) et les multiplie. Alors évidemment, quand on connaît déjà le scénario, et qu'en plus on nous attaque à coups de masturbation dans des spaghettis, la note baisse. Néanmoins, il faut reconnaître que cet essai français ne démérite pas par rapport à ses concurrents directs, mais peut-on parler d'acte glorieux ?..
Sexy Boys se place dans la catégorie djeun's movie potache, s'amusant du sexe et de l'attitude des djeun's envers lui. Pas beaucoup d'ingéniosité, mais un certain savoir-faire qui le ferait presque passer pour la dernière production ricaine.
Last edited by human bomb (2008-12-25 13:21:30)

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Du calme mec! j'ai pas le temps de suivre!
Sexy boys c'etait effectivement de la crotte

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Si je poste pas now ces critiques je m'en souviendrais pas par la suite:
Bon, je peux me tromper mais si j'en juge ses posts, Buuud devrait aimer ce film: Japonais, déjanté, gore, violent, con et érotique. ai je raison?
Un apprenti Yakusa noue une étrange relation avec une jeune hôtesse de téléphone rose. Cette dernière s'installant chez lui, c'est tout le rapport à la réalité qui se fausse chez ce garçon. Il est persuadé d'entendre par la voix de la fille des appels aux meurtres qu'il ne peut réfréner.
Naoyuki Tomomatsu s'est forgé un (petit) nom en signant le délirant STACY, un film de morts-vivants supra-gore à mi-chemin entre la parodie et la comédie sentimentale. Un effort à ce jour assez unique qui donne envie d'en savoir plus sur ce réalisateur culotté. EAT THE SCHOOLGIRL (alias OSAKA TELEHONE CLUB), son premier long-métrage, ne propose cependant pas d'aller dévorer de l'écolière nippone à la manière zombie mais d'une façon plus canailloux. Soyons clairs d'emblée, ce premier effort est avant tout un "Pinku" (un film érotique japonais)
EAT THE SCHOOLGIRL fait donc la part plus que belle à des scènes de fesses où l'intégralité du casting finit à un moment ou un autre à quatre pattes dans un lit (ou ailleurs). Des séquences redondantes filmées en pilote automatique, qui provoquent plus l'ennui qu'une quelconque sensualité. Tomomatsu ne limite pourtant pas ses ambitions à filmer de la chair entrelacée puisqu'il caviarde son film de gore crade ainsi que d'une bonne rasade de déviance sexuelle. La mécanique du récit est simpliste puisqu'elle suit les errances du héros serial-killer, des rapports plus ou moins consentants avec ses victimes féminines jusqu'à leur meurtre sauvage avec pour final, le clou, l'éjaculation du malade sur le stigmate sanguinolent. En tout point charmant ! Dégueulasse et provocateur, EAT THE SCHOOLGIRL l'est assurément. Le film ne nous suggère pas grand-chose, voire même rien du tout. Les fluides sont cadrés avec jubilation en gros plan, que ce soit les gouttes de sperme qui viennent s'écraser sur les plaies ou le vomi qui se déverse sur le corps semi-nue d'une femme tandis qu'elle se fait rouer de coups. Moment fort du spectacle, des yakusas prodiguent un lavement anal à une pauvre fille après l'avoir copieusement battue et violée. On imagine très bien la suite, toujours en gros plan ! Il n'y a donc pas grand-chose à sauver de cette obscure bobine. La réalisation est certes parfois inspirée, mais le scénario nous perd très vite dans les méandres de ses "subtilités" sans nous laisser la moindre chance de compréhension (les rappels à l'enfance du héros notamment). Le traitement fait à l'énigmatique personnage féminin, qui donne les ordres meurtriers au héros, laisse là aussi pantois. Si le cinéma japonais a une longue tradition d'érotisme atypique et parfois même déviant, il faut se rendre compte que l'on touche le fond du bidet avec ce EAT THE SCHOOLGIRL. Les premiers efforts du réalisateur du futur STACY ne changent rien à la bêtise de ce métrage dont la raison d'être est de traîner ses personnages féminins dans le sperme, le sang, le vomi et le caca. Au secours !

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En meme temps pourquoi tu regarde sexy boys? tu croyais y trouver une bonne surprise?


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Aliens Vs predator
A la base, une idée de scénario séduisante: organiser la confrontation entre deux icônes du cinéma fantastique contemporain, à savoir l'alien et le predator. A l'arrivée, un résultat plus que mitigé au regard des franchises d'origine et qui ne pourra que décevoir les fans.
Un satellite de Charles Bishop Weiland detecte une activité calorifère anormal sous la banquise. Il décide alors d'envoyer une équipe sur place pour étudier le phénomène sans se douter qu'elle va se retrouver au centre d'un conflit opposant deux races extraterrestres particulièrement hargneuses.
La première erreur commise dans le film c'est de ramener les humains à un semble rôle de couveuse: porter les aliens qui seront les futures proies de jeunes predators. Cela revient à faire l'impasse sur les deux PREDATOR qui faisaient de l'être humain une proie particulièrement motivante. Nous en arrivons donc à la deuxième erreur. Le film se déroule de nos jours (il se veut une séquelle aux deux PREDATOR et une préquelle à la série des Alien) et les Predator visitent notre planète depuis quelques millénaires. Or, visiblement, aucun humain ne semblent être au courant de leur présence. Danny Glover et Arnold Schwarzenegger ont pourtant affronté ce super chasseur. Il est difficile de croire qu'un homme aussi riche et influent que Weiland ne soit pas au courant de ces faits. La troisième erreur est d'avoir beaucoup trop édulcoré la violence qu'un tel film aurait imposé, même si j'ai bien conscience que cela l'aurait coupé d'un important public qu'il fallait absolument séduire!
pour le rentabiliser. N'oublions pas en effet que le dernier Alien et le deuxième Predator n'avaient reçu, en dépit de leurs qualités, qu'un accueil mitigé. Toutefois, l'expérience a toujours montré qu'une telle position ne faisait pas bon ménage avec des films fantastiques. Le résultat est que l'on obtient des predators particulièrement "soft", c'est à dire sans cadavres dépecés, sans trophées...bref, loin d'inspirer la crainte à défaut de peur. Les Aliens ne sont pas mieux lotis avec à peine un plan de "Chest Burster" à la milite du subliminal (pauvre Agathe de la Boulaye). De même, le faciès des predators est beucoup moins effrayant que dans les films d'origine. Il s'agit sans doute de susciter une certaine sympathie à l'égard d'un extraterrestre qui était pourtant, par le passé, un tueur impitoyable. Tous ces détails montrent bien la volonté de faire un film uniquement commercial orienté grand public et reniant totalement les matériaux originaux dont il s'inspire.
Paul Anderson a écrit et réalisé le métrage et montre les mêmes faiblesses que dans Resident Evil: du gore propre et une manière de filmer qui ne fait que trahir l'histoire et les personnages. Pourtant, c'est un garçon compétent, on se souvient de Mortal Kombat (la seule adaptation réussie d'un jeu vidéo) et surtout d'un Event Horizon particulièrement flippant. Même le début de Soldier était plutôt réussi. Il est jeune et il peut encore se resaisir. Toutefois, il faudrait qu'il s'arrête de s'autoproclamer fan de la première heure de tel ou tel sujet s'il n'arrive pas à le prouver de manière plus convaincante dans ses prochaines réalisations. N'est pas Guillermo del Torro qui veut !
Bon, vous aurez tous compris que j'ai été particulièrement déçu par ce film et que je ne lui mets 2 que par respect des sagas originales. Il aura au moins eu le mérite de remettre en lumière deux monstres mythiques.


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Aliens Vs predator 2 requiem:
En voila un métrage qui sent la pourriture à des kilomètres! Qui plus est, suite du honteux Alien Vs Predator de ce tacheron de Paul Anderson. Fort heureusement, le sus nommé était absent de toute responsabilité autour de la conception du film et permettait d'espérer naïvement une offrande horrifique digne de ce nom. De quoi nous souhaiter une bonne année...
Plus sérieusement, qui aurait pu croire en la réussite d'une commande pareille, si ce n'est sans avoir vu un premier opus aussi navrant qu'ultra-formaté pour les citernes à sebum. La seule interrogation pouvait résider en la personnalité des frères Strause, tous droits sortis de la case effets spéciaux et susceptibles de pouvoir, de VOULOIR redonner une légitimité à une saga dénuée d'intérêt artistique et de personnel compétent. Le miracle n'aura bien évidemment pas lieu d'être, les vilains fonctionnaires de la Fox n'ayant de cesse de délayer un scénario inepte et envahi de clichés, surplombé d'une mise en scène racoleuse au montage abominable et à la photographie digne des pires séries Z que l'on aie eu la malchance de visionner.
Mélant avec envie et culot les pires ingrédients du genre, les deux frangins, non contents d'obéir à des producteurs qui n'ont décidément rien compris aux deux franchises dont ils espèrent se faire garants, insistent dans leur bétise multipliant sans peine les combats nocturnes illisibles où ne cessent de se cotoyer séquences grand-guignolesque et pantouflardise assumée. Sans doute dans un esprit de conformité avec les catastrophes du genre, la 20th century fox a tout l'air d'avoir voulu miser sur la continuité, avec pour preuve de confiance en soi ultime, le non visionnage du film après post-prod (ou alors, avec port de lunettes infrarouges). Et ce ne sont même pas les acteurs qui parviendront à me faire mentir, sans doute abattus par des personnages caricaturaux aux attitudes incohérentes et aux dialogues boursouflés de vacuité.
Mais la pègre du septième art est égale à elle-même, et fait décidément très bien son boulot tout en prouvant donc une énième fois que si faire de la merde reste possible, c'est avant tout grâce à nous.
![]()
ca etre predalien, ca tres fort! ca tres mechant!


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A propos du premier AVP, y'a t'il quelqu'un d'autre que moi qui a eu l'impression, à la fin du film, que le prdator et l'héroïne, quand ils courent ensemble, allaient se prendre la main et se rouler une pelle?
A part ça, je confirme : un bon film pour une soirée pizza sans cerveau entre amis, pas pour regarder un bon film.
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A propos du premier AVP, y'a t'il quelqu'un d'autre que moi qui a eu l'impression, à la fin du film, que le prdator et l'héroïne, quand ils courent ensemble, allaient se prendre la main et se rouler une pelle?
.
Oui le coup du prédator gentil a tué le film encore plus que la série B honnete qu'il etait.

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J'ai vu bienvenue chez les chtis.....:(
Rien que cette intro vous donne la couleur...Je ne suis pas révulsé par ce film, loin de là, mais il ne mérite absolument rien des médailles accordés. Un bourrage de crane médiatique qui continue encore aujourd'hui. Avec toutes la franchise du monde, je n'ai quasiment pas rit du film, à part la scène de la beuvrerie assez plaisante, nous avons une avalanche de clichés des plus ridicules: les femmes sont vu ou comme des castratrice (mère de Danny) ou des nunuches royales (copine), les multiples caricatures des marseilais tel que le flic, et le clichés ultime du "vilain marseillais plein de préjugés" qui se transforme en "gentil ami des ch'tis au graaaand coeur ayant retrouver sa joie de jeunesse" est déprimant de déjà vu et de simplicité grossière. Ensuite, il n'y a évidemment aucune ambition artistique, c'est d'une simplicité déprimante, les personnages sont d'une mièvrerie affligeante: c'est nul! Au final, ce film ressemble à un bete telefilm du samedi après midi et trouvera très bien sa place dans le panthéon de la beaufferie de TF1...mais pas dans le mien.

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juste pour dire que j'ai enfin vu diary of the dead... j'ai tenter à plusieurs reprises de me crever les yeux durant ce "film"

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Bizarre, normalement, tu vomis au bout de 10 minutes 

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un film où le pack de bière s'impose...

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juste pour dire que j'ai enfin vu diary of the dead... j'ai tenter à plusieurs reprises de me crever les yeux durant ce "film"
Pourquoi t'es tu imposé cette épreuve?

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Le jour et la nuit
Je met meme pas de photos
" J'ai vu trop grand, trop haut, trop loin... Et les gens n'ont pas suivi ! "Tels étaient les propos du cinéaste BHL, devant Bernard Pivot à Bouillon de Culture, quelques temps après la sortie du film. Le maître refusa de montrer son film à la presse (en dehors de deux ou trois "amis" journalistes) et déclencha une campagne de promotion mammouth d'on on croyait seul Georges Lucas capable. Et, effectivement, devant le résultat...on comprend mieux les manipulations de Mr Levy.sans nul doute le plus mauvais film de tous les temps car prétentieux ( plus que ça , c' est pas possible) . Je n' ai pas cherché à le voir mais suis tombé dessus par hasard un soir sur France 2. Je n' ai jamais autant ri de toute ma vie devant un film ( je le jure ). Pourquoi ? Car le film se veut sérieux au delà du possible .Et sombre chaque seconde dans un magma affligeant de pseudo réfléxions nullissimes . Et ce décalage provoque forcément l' hilarité Pour moi ce film est culte . à voir entre amis . Certaines sont totalement incompréhensibles et n' ont rien à voir avec la trame ( la scène de la flagellation sur le lit ) : à mourir de rire . Alain est vraiment devenu Alain Deloin (seulement): à se demander si c' est bien lui : il nous fait le numéro du vieil ermite bougon qui a besoin de réfléchir loin de tout : c' est ignoblement interprété et à se plier en deux de rire. Arielle Dombasles fait vraiment partie des gens qui ne devraient plus persister au cinéma: archi mauvaise , elle supersurjoue. Karl Zero a bien eu raison de ne pas persister, lui car le constat est le même . J' ai compris au bout de trois secondes de génériques ( temps réel , je le jure ) que le film sera archi mauvais et il ne faut pas être spécialement doué pour cela : il suffit de regarder Karl Zéro et Arielle Dombasles descendre du train au tout début de ce long ( très long , très très long) métrage.On voit déjà qu' ils jouent comme des pieds : Karl zéro feignant l' exaspération : la notre ne tardant pas à venir . Non vraiment , ne manquez pas l' occasion de passer un bon moment au détriment de BHL qui nous livre là un monument de prétention . Cultissime et à ranger à côte de "Plan 9 from outer Space " d' Ed Wood : qui lui au moins n' avait de prétention que celle de nous distraire . Cultissime et nullissime: quel beau paradoxe sur lequel BHL devrait se pencher pour écrire un prochain long métrage aussi joussif.

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OMG

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Pour AVP : un classique qui permet de dédramatiser (un petit peu...) :
http://www.gametrailers.com/user-movie/alien-vs-predator-poker/39404
Apart ça, la bouse de BHL me fait penser à ce qui reste encore aujourd'hui mon pire souvenircinématographique en dehors de absolutely fabulous (le film, pas la série, qui avait l'air sympa) : hommes femmes, mode d'emploi(je pourrais mettre des photos, mais j'ai pas envie). Claude Lelouch avait alors pondu quelque chose que j'avais trouvé assez fort : une comédie sans gag, sans ressort comique, sans humour, sans acteur (même Fabrice Luchini n'a pas réussi à nous pondre quelque chose d'intéressant, c'est dire... ;Tapie ou Ophélie Winter, c'est normal, mais Fabrice Luchnini, quand même ! ), et avec une réalisation dont j'aurais dit qu'elle était faite à l'arrache si je n'avais pas fini par me rendre compte qu'il l'avait pensé avec le plus grand sérieux, et surtout en se prenant très au sérieux.
Ce film avait aussi été un choc à l'époque, parce que j'avais décidé de le regarder après avoir lu une critique très enthousiaste et une idée de départ assez amusante (la seule du film, je suppose que c'était pour attirer le spectateur) . En fait, il se résume à une longue suite de dialogues plats vaguement interprétés par des acteurs qui s'emmerdent, l'ensemble étant en parfaite harmonie avec une réalisation vide, triste et déprimante, censée faire penser à l'hiver de la vie ou une idiotie du genre, et qui fait surtout penser à cette célèbre phrase de Musset "Il est doux de se croire malheureux, quand on n'est que vide et ennuyé."
BRef, une grande leçon sur la dureté de l'existence : ne faites jamais confiance aux critiques professionnels...
Ce film ne mériterait pas d'être cité sur ce forum, même sur un topic destiné aux merdes, s'il n'avait pas un intérêt pratique très simple : non seulement il constitue un excellent somnifère, mais en plus, si vous essayez de le suivre sérieusement, vous en sortez suffisamment lobotomisé sous couvert d'alibi culturel pour passer une bonne nuit sans souci. Par contre, comme film, ça vaut même pas du Paul Anderson.
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De toute facon Lelouch a t'il fait un bon film ?

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Perso, je peux pas répondre, c'était mon premier et mon dernier de lui. En même temps, d'aucuns y verraient comme une relation de cause à effet...
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la réponse était dans la question 

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Street Fighters : The Chun Li Story
pour faire bref. On regrette Van damme. Ca devrait répondre a vos questions ^^ Scénario useless, combats bidons, Vega baclé mais honteusement (il est pas espagnol, il est pas beau, il a un masque épais comme celui de predator... oui j'aime le vega originel) Bison pas ressemblant et a côté de la plaque, balrog sans interet, Gen inutile, des gens on se demandent ce qu'ils foutent là....
Le but du film est censé apporter un semblant de réponse a l'histoire chun li / shadow law / son pere, et ca te pourrie le truc honteusement....
l'interet du film c'est ptet l'histoire de bison (et encore, m'étonnerais que capcom y est mis son grain de sel) et (oh joie) l'annonciation d'une suite (?) qui serait peut etre le tournois et la présence de ryu.
Bref, une bouse.

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