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Il y a quelques jours, j'ai retrouvé cet article paru dans le courrier international n°898 (semaine du 17 au 23 janvier 2008) . Pour une fois qu'on parle des jeux-vidéos dans la presse généraliste sans prendre les clichés des geeks-sociopathes-rendus-violents-par-les-jeux-vidéos (vous savez, ces petits machins faciles à rhétorique guerrière où on doit seulement tirer dans le tas et qui abrutissent la jeunesse vertueuse ?) , j'ai pensé que ça pourrait intéresser les gens qui n'avaient pas acheté le courrier international cette semaine-là.


Last edited by toorop (2008-04-16 20:37:41)
The sky is blue and all the leaves are green.
The sun's as warm as a baked potato.
I think I know precisely what I mean,
When I say it's a shpadoinkle day.
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C'est vrai que de plus en plus de jeux forcent le joueur a se prendre pour le héros. Hors, ce genre de naration permet une meilleure intégration mais géne selon moi au scénarios en général:
un perso qui ne dit rien n'est qu'une poupée sans vie, un robot, ce qui gache a long terme les implications: comment un robot peut prendre parti pour tel ou tel faction?
Prenez half life 2: on ne sait pas si freeman cherche a aider les autres ou a survivre.
Un bon compromis: des choix a certains moments façon Stalker ou Zelda.
Moi c'est KROM
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Pour du CI c'est plutot pas mal, et pas trop stéréotypé.

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