Metal gear

aglon · 2007-07-10 22:14:35

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Metal Gear est une série de jeux vidéo créée par Hideo Kojima et édité par Konami. La série, qui a initié le genre infiltration, a débuté en 1987 par l'opus Metal Gear et s'est poursuivit jusqu'en 2007 avec la sortie annoncée de Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots.

C'est une oeuvre uchronique du genre techno-thriller. L'intrigue tourne autour d'une arme de destruction massive éponyme, le Metal Gear, un char d'assaut bipède capable d'agir sur un long rayon d'action. La série suit le plus souvent les opérations d'un soldat d'élite (Solid Snake, Naked Snake ou Raiden), qui doit s'infiltrer en terrain ennemi pour contrer une menace terroriste. La série affiche un message pacifiste, antimilititariste et anti-nucléaire
La « petite histoire » retiendra que Kojima avait comme idée de départ de créer un jeu d'action assez musclé. Or la MSX n'ayant pas les capacités techniques pour afficher autant de soldats à l'écran que Kojima le voulait en plus des balles déchargées, ce dernier a décidé donc que le joueur ne devait plus affronter les ennemis mais les contourner, d'où l'introduction de la notion de furtivité.

metal gear

En 1995, en Afrique du Sud un groupe de mercenaires provoque une crise, en s'emparant de la forteresse « Outer Heaven ». D'après les renseignements, ils sont sur le point d'obtenir une nouvelle arme qui pourrait changer le cours de la guerre. L'équipe d'élite Fox Hound doit intervenir et trouver des informations sur cette arme. Gray Fox, leur meilleur agent, est donc envoyé espionner « Outer Heaven ». Gray Fox ne parvient qu'à transmettre deux mots à l'issue de sa mission : Metal Gear.

Solid Snake est ensuite envoyé par Fox Hound pour enquêter sur la disparition de Gray Fox et son mystérieux dernier message.

metal gear's snake revenge

Metal Gear: Snake's Revenge est un jeu d'infiltration sorti sur NES en 1990. Il se veut la suite de Metal Gear créé par Hideo Kojima. Il faut cependant différencier ce Metal Gear: Snake's Revenge (second Metal Gear sur NES) de Metal Gear 2: Solid Snake sur MSX, véritable suite de Metal Gear. Sur NES, ce Snake's Revenge est plus orienté action que le premier et doit être considéré comme un hors-série.

metal gear 2: solid snake

Un pays de mercenaire : Zanzibar Land. Un scientifique capturé en vue du développement d'un carburant économique et puissant : L'OILIX. L'agent Solid Snake est envoyé à Zanzibar pour libérer Kio Marv (inventeur de l'OILIX) et détruire le nouveau prototype de Metal Gear entreposé à Zanzibar.

Très vite, le jeune agent découvre que son père qu'il avait pourtant tué auparavant à Outer Heaven supervise la création de l'"Arme Ultime". Pire encore, il devra affronter son ancien camarade de l'unité FOXHOUND : Gray Fox. Un combat à mort dans un champ de mine, dénué de toute envie meurtrière : "c'était comme un sport" déclarera Solid Snake par la suite.

sancy vous en dit plus : http://papytromblon.free.fr/upload/viewtopic.php?id=144

metal gear solid

Tout en reprenant les grandes lignes du genre revisité, l'espionnage, le jeu emprunte de nombreux éléments aux films New York 1997 et Rambo, que l'auteur semble particulièrement apprécier (la voix du héros, Solid Snake, son mentor, ersatz du Colonel Trautman, l'ultimatum, le virus, etc.)

Metal Gear Solid est suivi par deux nouveaux épisodes, Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty, puis Metal Gear Solid 3: Snake Eater dont l'histoire se déroule avant les évènements du premier et du second. Une autre suite est actuellement en développement, Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots dont la sortie au Japon est prévue pour 2007.

Metal Gear Solid fut porté sous windaube en 2000 et une nouvelle version du jeu, nommée Metal Gear Solid: Twin Snakes, a été développée en 2004 par le studio Silicon Knights sur Gamecube.

Si le jeu a fait l'unanimité des joueurs et critiques sur PlayStation, sur PC le jeu étant été édité que plus tard, les réactions ont été plus mitigées :

* « Le background est réussi et l'on passe un bon moment, dommage que celui-ci soit trop court » (connards!!!!)
* « Les dialogues (sont) d'une lourdeur assomante » (cooooooonards!!!)
* « Il arrive trop tard, Deus Ex est bien plus complet. »

Metal Gear Solid vous place dans la peau de Solid Snake, un agent d'élite spécialisé dans les opérations de type commando d'intervention. Parti à la retraite, il était loin de penser que le major Campbell allait faire appel à lui pour la résolution d'une affaire pour le moins tendue. En effet, un groupe de terroristes armés dirigé par des membres de la Fox Hound a pris d'assaut un complexe militaire dont la principale activité est le stockage de missiles nucléaires. La mission confiée à Snake consistera à sauver le chef de la DARPA retenu en otage dans le complexe, et à savoir si les missiles sont bel et bien armés. Le cas échéant, Snake devra neutraliser les coupables. Cela va sans dire, le mot d'ordre est la discrétion. Notre héros, tel un James Bond des temps modernes, devra s'infiltrer sans être repéré et éliminer tout ennemi qui pourrait nuire à sa mission. Hideo Kojima a bien entendu oeuvré dans le sens de l'action mais n'a pas du tout négligé l'aspect narratif de son jeu. Au contraire, le jeu distille bon nombre de scènes cinématiques, de coups de théâtre, de rencontres etc... Metal Gear Solid prend bel et bien une dimension cinématographique, sans négliger la part d'interactivité nécessaire à un jeu vidéo.

Cette interactivité dépend de la manière d'appréhender le jeu. Soit MGS n'est qu'un jeu d'aventure comme un autre et chaque ennemi doit finir au cimetière, soit l'aspect "infiltration" prend le pas sur l'action pure et dure. C'est dans ce dernier cas que le titre de Konami révèle toute sa valeur. Le principe est simple. Vous êtes seul, ils sont nombreux. Vous n'êtes que très peu armé. Ils le sont jusqu'aux dents. Ils peuvent vous repérer, vous devez leur échapper. Chaque garde dispose d'une intelligence que l'on peut mesurer à sa faculté d'entendre et de voir. Une carte placée en bas à droite de l'écran affiche les secteurs angulaires de la vision des gardes ou des caméras. Entrer dans le champ de vision d'un garde sera synonyme du déclenchement de l'alarme. Tous les ennemis dans votre secteur vous poursuivront alors. Un chronomètre se déclenche (mode alerte) et si votre héros ne part pas très vite se cacher (mode escape), il sera une cible facile pour les tirs de FAMAS. Mais les gardes ne sont pas sourds.

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Marcher dans une flaque d'eau ou courir à proximité d'un garde éveillera l'attention de ce dernier. Une attention symbolisée par un point d'exclamation qui conduira le garde à approcher de la zone près de laquelle Snake a commis l'indiscrétion. Un point important du gameplay est la faculté de Snake de s'adosser aux murs afin de voir ce qui se passe dans le couloir adjacent. Une méthode incontournable pour détecter la présence de caméras, gardes et autres pièges. Plus concrètement, Snake peut frapper contre les murs pour attirer un garde vers lui, libérant ainsi l'accès vers une pièce ou un couloir voisin. Les tactiques d'infiltration s'affinent à mesure que l'on parcourt le jeu. En effet, Snake a tout un arsenal d'armes et d'objets technologiques à sa disposition. Du FAMAS au lance-missiles à tête chercheuse, de la simple cigarette aux lunettes infrarouges, autant d'outils qui seront nécessaires pour passer inaperçu. Comment une cigarette peut-elle vous aider dans votre mission ? Simplement parce que la fumée peut être un bon moyen de déceler la présence de lasers infrarouges. Il serait possible de parler du système de jeu de Metal Gear Solid pendant des heures, mais cela nuirait à la découverte du titre. Sachez simplement que vous disposez également d'un vue subjective, que les munitions sont en quantité limitée, que certains objets sont combinables pour plus d'efficacité. Vous serez également doté d'une radio qui vous permettra de rester en contact avec les principaux alliés que vous rencontrerez pendant la mission. A condition bien sûr de trouver la bonne fréquence d'appel...

Les personnages secondaires occupent une place prépondérante dans le jeu. Non seulement parce qu'ils sont sources d'informations via la radio, mais aussi parce que la trame dramatique en dépend. Amis, ennemis, Solid Snake ne peut se permettre d'accorder sa confiance à n'importe qui. La jeune et belle Meryl constituera la première rencontre amicale de Snake au sein de la base militaire. Elle-même prisonnière du complexe, elle aidera notre héros à se dépêtrer de cette affaire pour le moins tendue. Bien entendu, Snake ne se fera pas que des amis. Au fur et à mesure, il apprendra à connaître les membres principaux de la Fox Hound responsables de tout ce fatras. Cyber Ninja, Revolver Ocelot, Psycho Mantis, Vulcan Raven ou encore Sniper Wolf et le doublon Liquid Snake font partie des ennemis qui joueront le rôle de boss tout au long du jeu. Par leurs entrées fracassantes, ces personnages contribuent au rendu dramatique du jeu. Un aspect appuyé par la déferlante de scènes cinématiques.
Ici, pas question d'images de synthèse ou de 2D. Metal Gear Solid est intégralement en 3D temps réel. Les textures sont bien en place et relativement détaillées. Mais le plus frappant reste le rendu de l'ambiance du jeu. Fumée, brouillard, jeux d'ombres et de lumières, traces de pas dans la neige sont autant d'éléments catalyseurs d'émotion et de crédibilité. On n'évite malheureusement pas la légère pixellisation découlant de la plupart des moteur 3D sur PlayStation. Mais Hideo Kojima tenait à ajouter à son bébé une touche cinématographique et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y est parvenu. A l'heure où le marché est envahi par les Tomb Raider et autres jeux d'aventure sans réelle consistance, Metal Gear Solid constitue un grand coup d'air frais. Bien sûr, certains lui reprocheront sa durée de vie limitée (de 6 à 8 heures pour parcourir le jeu) mais devant une telle oeuvre, on ne peut se limiter à un aspect quantitatif. Le titre de Konami est en tout point un grand jeu, par sa réalisation, par son ambiance, par sa jouabilité.

metal gear missions speciales

Metal Gear Solid: Missions Speciales est un jeu qui complète le jeu Metal Gear Solid premier du nom. Sorti sur Playstation le 25 octobre 1999 cet add-on de Metal Gear Solid ne peut être joué sans posséder le jeu Metal Gear Solid qu'il faut insérer dans la Playstation avant de pouvoir y jouer.
Le jeu contient environ 330 missions supplémentaires, d'où le nom de missions spéciales. En revanche, du point de vue du scénario, cet opus de la fameuse série de Hideo Kojima n'apporte rien de nouveau. En effet, présenté sous la forme d'un menu, on choisit les missions que l'on veut effectuer ce qui permettra de débloquer d'autres missions et de fil en aiguille de finir le jeu à 100%.

Bien qu'un des atouts principal de Metal Gear Solid soit le scénario captivant mêlant souvent embrouilles politiques à un soupçon de science fiction (L'intrigue se passe souvent environ cinq ans après la date de sortie du jeu...), Metal Gear Solid: Missions Speciales présente aussi ses intérêts. En effet, ce CD-Rom permet au joueur d'utiliser au mieux les armes qu'il a obtenues au fil du jeu et qu'il aurait bien voulu tester un peu plus.

De plus, les missions sont variées: on pourra passer d'une séance de coupe-coupe en controlant Gray Fox, le ninja (jouissif!), à une séance d'enquetes (si, si), en passant par un shoot de gardes géants... Metal Gear Solid: Missions Speciales donne l'occasion de découvrir les potentialités de tout son équipement tout en proposant des missions restant dans le style de cette série phare; c'est-à-dire les missions plus ou moins furtives. Par exemple il est difficile dans le jeu de réussir à poser une charge de C4 sur un garde afin qu'il fasse exploser une caméra hors d'accès, et bien avec Metal Gear Solid: Missions Speciales ce sera une condition sinéquanone pour finir fièrement le jeu.

metal gear solid integral
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Il s'agit de la version international de Metal Gear Solid avec des contenus additionnels et un disque supplémentaire contenant des missions additionnelles (connues sous le nom de missions en réalité virtuelle: VR missions). Les contenues incluent des nouveaux costumes, le mode de difficulté "très facile" et trois modes de jeu, dont un utilisant la PocketStation.
Les missions supplémentaires sont également sorties dans une expansion en dehors du Japon, aux Etats-Unis sous le nom de Metal Gear Solid: VR Missions et en France sous le nom de Metal Gear Solid: Missions Speciales. Elles incluent des missions d'entraînement au combat et à la furtivité, dans l'esprit d'infiltration de la saga Metal Gear. Il y a également du contenu moins sérieux, comme des enquêtes sur des meutres, des batailles contre des ovnis ou des soldats géants. Le jouer peut également contrôler le soldat Gray Fox. Se trouver également un preview de metal Gear Solid 2 et un mode photo de Mei Ling et Naomi Campbell.

metal gear solid the twin snakes

Remake de Metal Gear Solid (1998), le jeu culte d'Hideo Kojima, The Twin Snakes a été adapté par Silicon Knights et édité par Konami en 2004 sur GameCube.

Ce remake a été développé en collaboration avec Hideo Kojima et Shigeru Miyamoto. La mise en scène des cinématiques a été réalisée par Ryuhei Kitamura. Elles furent d'ailleurs critiquées à demi mot par Hideo Kojima pour leur manque de réalisme.

Par rapport à l'épisode original, sorti en 1998 sur PlayStation, MGS: The Twin Snakes bénéficie d'une réalisation technique plus poussée. Par ailleurs, le jeu se voit enrichit des éléments de gameplay apparus dans Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty en 2001 : nouveaux mouvements, possibilité de cacher des soldats dans les casiers...

voir papy detruire ce jeu : http://papytromblon.free.fr/upload/viewtopic.php?id=108

metal gear solid 2 sons of liberty

Le jeu a été développé par Konami Computer Entertainment Japan et édité par Konami en novembre 2001 sur PlayStation 2. Il s'agit du quatrième opus de la série Metal Gear et de la suite directe de Metal Gear Solid.

Sons of Liberty a connu un succès public et critique international, avec plus de 7 millions d'exemplaires de jeu vendu à travers le monde. En 2002, une édition étendue du jeu, intitulée Metal Gear Solid 2: Substance, a été commercialisé sur PS2, Xbox et windaube. Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots, actuellement en développement, doit en constituer la suite directe.

Lors de sa sortie, Metal Gear Solid 2 s'est fait remarquer par sa réalisation technique poussée (mêlant graphismes détaillés, animations réalistes et bande-son de qualité), par sa mise en scène cinématographique et par son gameplay novateur, qui repoussait les limites du genre, le jeu d'infiltration. Les développeurs ont notamment particulièrement soigné l'intelligence artificielle des ennemis.

Lors d'une première partie, 15 et 20 heures de jeu sont nécessaires pour finir le jeu, mais 4 à 5 heures sont en fait constituées de cinématiques et de dialogues « par codec ». C'est d'ailleurs l'un des reproches les plus fréquents fait au jeu.

La « rejouabilité » du titre (ou replay value) est importante, notamment grâce à la quête des dog tags, qui consiste à prendre par surprise le maximum d'ennemis afin de récupérer leur plaque d'indentification et de débloquer de nouveaux accessoires (camouflage optique, nouveaux costumes...). Le jeu recèle également d'innombrables scènes cachées, souvent de nature humoristique.
Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty est souvent considéré comme une oeuvre majeure dans l'Histoire des jeux vidéo. Il y a un avant et après MGS2. Dans un sens, la démarche d'Hideo Kojima rappelle celle de Stanley Kubrick avec 2001, l'odyssée de l'espace. Lorsque le cinéaste s'en prenait à la science-fiction, il lui fallait l'humanité tout entière, un désert sidéral regorgeant de symbôles, de la grande musique... De grands moyens vers l'infini et l'au-delà. Ainsi était 2001, pensé comme une révolution et qui continue aujourd'hui de briller par sa solitude. Spectaculaire à tout point de vue (gameplay, réalisation technique, mise en scène, musique) et transfiguré par un scénario dont la complexité se mesure à son ambition, le jeu de Kojima demeure lui aussi (cinq ans après sa sortie) toujours aussi beau, seul et suffisant.

Entre deux longues cinématiques explicatives, le joueur (qui incarne la recrue Raiden) poursuit ses objectifs de soldat (sauver les otages, neutraliser les terroristes). Snake, le héros légendaire de la série, n'est alors plus qu'une ombre fuyante, une idôle lointaine. C'est pourtant sur ces traces que le joueur doit continuer pour finir par arriver là où le mythe finit par s'étioler : « Désormais, tout le monde peut être Solid Snake » dit l'espion des Patriotes. Une manette et une console suffisent.

Par ces va-et-vient constants entre activité et passivité, Kojima tient à mettre le joueur face au jeu plutôt que dedans, réalisant la première expérience d'un « méta-jeu » assez conceptuel. De cette permanente incertitude entre jeu et cinéma, Kojima tire une surface puissamment réflexive sur l'action ludique et la condition de joueur.

La séquence finale déploit ainsi sa portée lourdement métaphysique à propos de la civilisation et de son rapport conflictuel à la liberté. « The Sons of Liberty » (en français, « Les Fils de la Liberté ») est le nom du groupuscule qui vise la destruction des Patriotes, un pouvoir secret contrôlant et apportant ses connaissances au monde et déterminant du même coup son évolution. Faut-il détruire toute cette science à partir du moment où elle est surtout un instrument de pouvoir ? Faut-il au contraire l'accepter et envisager la liberté dans les limites d'un contexte immuable ? Certains la veulent totale, osant le chaos inhérent à une vraie révolution (on pense ici à la fin de Escape from L.A. où un autre Snake renvoyait in fine l'humanité à l'âge de pierre). D'autres se contentent d'une liberté surveillée.

Kojima semble pencher pour cette seconde option, certainement parce qu'elle lui semble le mieux résumer ce qu'est un jeu vidéo : de l'aléatoire malgré l'enfermement du joueur dans des codes et des calculs préalables.

une critique poitue de papy : http://papytromblon.free.fr/upload/viewtopic.php?id=46

metal gear solid 2 substance

Metal Gear Solid 2: Substance propose l'aventure principale Sons of Liberty (identique à l'originale) à laquelle viennent s'ajouter environ 500 missions annexes (indépendantes de l'aventure) et, pour la version PlayStation 2 uniquement, un DVD additionnel comprenant The Document of Metal Gear Solid 2, un documentaire interactif sur le développement de MGS2.

Sur le principe de Metal Gear Solid: Missions Speciales, Substance comprend 300 missions en VR (réalité virtuelle), de courtes missions qui prennent place dans des décors abstraits. A cela s'ajoutent 200 "missions alternatives" qui se déroulent dans les environnements de l'aventure de MGS2. Toutes ces missions sont déconnectés de la trame principale de l'aventure et ne présentent d'intérêt que du point de vue du système de jeu.
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The Document of Metal Gear Solid 2 est un making of très complet sur le développement de Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty. Il contient de nombreux documents de travail, des visuels, des storyboards, l'ensemble des trailers du jeu, des musiques, une chronique du développement, etc...

La version PlayStation 2 étant désormais très rare et recherchée par les collectionneurs, le jeux se négocie à plus de 100 euros sur internet.

metal gear solid 3 snake eater

MGS 3 sorti sur PlayStation 2 en Europe en mars 2005. Bien que ce soit le troisième opus de la série Metal Gear, l'histoire se déroule antérieurement aux histoires des autres épisodes.

L'histoire se déroule en 1964, au début de la guerre froide. Le joueur incarne Naked Snake, un soldat d'élite chargé de récupérer un scientifique russe capturé par un groupe terroristes voulant renverser Khrushchev. Ce chercheur du nom de Sokolov a mis au point une arme destructrice : le Shagohod, un tank capable d'opérer en solitaire et de lancer des ogives nucléaires de n'importe quel type de terrain, précurseur du terrible Metal Gear.

Alors que les précédents épisodes se déroulent principalement dans un environnement urbain, Metal Gear Solid : Snake Eater prend principalement place dans une jungle d'URSS.

Continuant sur la lancée de Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty, le jeu diffère néanmoins sur de très nombreux points. Ainsi, plus question de radar, de robot bipède, de mission virtuelles ou autres éléments technologiques. Metal Gear Solid 3 ayant lieu en 1964 et dans un contexte naturel (forêts, déserts, collines, ruisseaux, etc.), le côté basique de l'infiltration a été privilégié, bien loin du florilège de gadgets auquel le joueur été habitué dans les précédents jeux de la série. Un réalisme et une animalité poussée à l'extrême, offrants de nouveaux horizons à Hideo Kojima qui nous a concocté de nouveaux concepts de gameplay. Snake ne se contente plus d'être indetectable, il lui faut desormais survivre en milieu hostile.

* Soins : le système de soins, offre un scanner permettant de voir les blessures dont souffre Snake à l'image des fractures, coupures, et autres brûlures, pour réaliser les opérations chirurgicale nécessaire (appliquer un onguent, placer un bandage, stopper une hémorragie, installer une atelle, recoudre une coupure, etc.). Cependant il n'y aucune réelle intéractivité. En effet, le joueur sélectionne les actions une par une pour mener à bien les opérations, sans manipuler les outils.

* Chasse : très porté sur la survie, Metal Gear Solid 3 marque aussi l'arrivée de la chasse dans le jeu, qui offre à Snake la possibilité de capturer mort ou vif la faune et la flore que le joueur peut rencontrer tout le long de cette épopée. Entre autres : lapins, champignons, poissons, volatiles, mais aussi des captures nettement moins ragoutantes comme des grenouilles, des serpents et des chauve-souris.

* Camouflage : le système de camouflage permet de se vêtir selon l'environnement et ainsi de se fondre dans la nature environnante pour mieux échapper au regard aiguisé de l'ennemi.

Ces modifications de gameplay ne sont pas si anodines qu'il n'y paraît, puisque Metal Gear Solid 3 s'appréhende très différemment de ses précédecesseurs. Le joueur ne crains plus l'ennemi, il le contourne, il s'immobilise dans les hautes herbes, ou il le prend en chasse. De plus, le jeu laisse la liberté au joueur d'utiliser le décor, qui fourmille de détails, comme il le souhaite.

Comme pour Metal Gear Solid 2, la sortie japonaise (16 décembre 2004) de Snake Eater a été retardée d'un mois après la sortie de la version nord-américaine (17 novembre). Toutefois, contrairement aux titres précédents de Metal Gear, beaucoup de différences existent entre ces deux versions en terme de contenu. La version japonaise comporte des modèles de camouflage supplémentaires en plus des trois initiaux existant dans la version américaine. Cela inclus notamment un modèle pour la nouvelle année, un modèle pour la Saint Valentin, une tenue de camouflage urbain tigrée ainsi qu'un modèle arc-en-ciel très discret. De nouveaux modèles peuvent également être téléchargés à partir de produits connexes, comme le CD de la bande sonore, ou le CD simple titre Snake Eater. Les clients qui ont acheté le jeu chez WonderGoo (un magasin de vente au détail japonais) peuvent par exemple utiliser un modèle exclusif WonderGoo en apportant leur carte mémoire et une preuve de leur achat au magasin.

Comme pour les deux premiers titres de Metal Gear Solid, le jeu est sorti en deux versions au Japon : la version standard et le Premium Package. Le Premium Package contient le jeu, (avec la couverture et la jaquette du jeu revisitée), un livre de 400 pages (intitulé R), un livre illustré (intitulé L), une vidéo en DVD et une figurine au 1/144 du Shagohod (une arme se trouvant dans le jeu).

Pour la sortie européenne qui a eu lieu bien plus tard (3 mars 2005), Konami a ajouté plusieurs éléments tels que des peintures additionnelles pour le visage basées sur les drapeaux des divers pays européens (tout en conservant ceux des versions nord-américaine et japonaise), un nouveau mode de difficulté (European Extreme), un mode Demo Theater (qui permet de revoir les cinématiques du jeu), un mode duel (qui permet d'affronter successivement tous les boss du jeu) et un niveau additionnel (Snake vs. Monkey). Plusieurs modèles de camouflage de la version japonaise ont été conservés, et les modèles contenus dans les CD de la version japonaise peuvent être exploités, d'autres encore peuvent être débloqués en finissant le mode duel.

Sorti en octobre 2006 sur PlayStation 2, Metal Gear Solid 3: Subsistence est une version étendue de Snake Eater. Ce qui inclut tous les ajouts exclusifs à la version européenne de MGS3, d'autres modèles de camouflage, une nouvelle caméra à la 3ème personne placée dans le dos du personnage, et un mode de jeu en ligne en multijoueur.

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Sur le principe de Metal Gear Solid Integral et Metal Gear Solid 2: Substance, le titre constitue une version étendue de Metal Gear Solid 3: Snake Eater, sorti en 2004.
Le jeu contient trois DVD-ROM, intitulés Subsistence, Persistence et Existence (tous uniquement lisibles sur Playstation 2).
Le premier disque contient le jeu Metal Gear Solid 3: Snake Eater. Comparé à l'original, cette version bénéficie d'un système de caméra libre, permettant au joueur de déplacer l'angle de vue autour du personnage. Cette ajout a été implémenté en réponse aux critiques de certains joueurs qui trouvaient le système de caméra initial trop restrictif. De nouveaux camouflages et peintures faciales ont également été implémentées.

Le disque comprend aussi le mode « Demo Theater », lequel permet de revoir l'ensemble des scènes cinématiques du jeu. En remplissant certaines conditions, il est aussi possible de déverrouiller le mode secret « Coup d'oeil ».

Le second disque donne accès au mode de jeu en ligne. Jusqu'à 8 joueurs peuvent prendre part simultanément aux batailles en réseau. Cinq types de missions sont proposés : mission d'infiltration, mission de capture, mission de sauvetage, match à mort par équipe et match à mort en solo. Dans les modes par équipe, le joueur a le choix entre trois unités : le GRU, le KGB et l'unité Ocelot. Le joueur qui possède le meilleur score a le privilège d'incarner le personnage spécial de son équipe (Major Raikov, Sokolov et Revolver Ocelot) et en devient par la même occasion le meneur. Une équipe bonus, appelé Rowdy Reiko, permet d'incarner le personnage Reiko Hinomoto, de la série de jeu de catch féminin Rumble Roses. Les confrontations prennent part dans douze environnements différents.

Le disque contient également les jeux Metal Gear et Metal Gear 2: Solid Snake, respectivement sorti en 1987 et 1990 sur les ordinateurs MSX. Les jeux sont fidèles aux originaux et ont été traduit en français.

Enfin, le disque contient aussi des niveaux supplémentaires pour le mode « Serpent contre Singes », le mode « Duel », le mode « Secret Theater » (qui propose des vidéos parodiques, parfois inédites, parfois entrevues sur le site officiel de MGS3).

Le dernier disque propose un montage de cinématiques et de séquences de jeu d'une durée totale de trois heures et demi. Moins pensé comme un film narratif que comme un résumé de « l'expérience » du jeu, il permet au joueur et au non-joueur de vivre l'aventure sans toucher à la manette. Si le film ne présente aucune nouvelle scène par rapport au jeu original, le découpage des séquences et les angles de vues sont parfois différents.

Le disque « Existence » contient aussi le premier trailer officiel de Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots, lequel a été présenté pour la première fois en mai 2005 lors du salon du jeu vidéo de l'Electronic Entertainment Expo.

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MGS GB a été développé et édité par Konami en 2000 sur Game Boy Color.

Dans ce jeu, qui n'a pas vraiment de lien avec les autres opus sortis sur PlayStation, Solid Snake sera encore amené à sauver le monde de la menace du Metal Gear, en infiltrant la forteresse Gindra, située en Galuade, autrefois appelée... Outer Heaven ! Cette mission, qui se déroule 7 ans après Metal Gear 1, sera menée par le Colonel Campbell, assisté par plusieurs autres personnes dont... Mei Ling ! L'inventeur du radar utilisé par Snake dans Metal Gear Solid.

metal gear acid

Metal Gear Acid est un jeu vidéo de stratégie au tour par tour développé et édité par Konami en 2004 sur PlayStation Portable.

Dérivé de la série Metal Gear, le titre se présente comme un jeu de cartes mêlant stratégie et hasard.
Le vol 326, un avion transportant 517 passagers, dont le Sénateur Hatch, candidat aux futures élections présidentielles américaines, est détourné en plein vol. Un gaz toxique, le bromure de vécuronium, est utilisé pour paralyser progressivement tous les passagers, ce qui ne laisse pas beaucoup de temps aux autorités pour satisfaire la seule exigence du pirate de l'air: qu'on lui livre "Pythagoras".

Après des recherches effectuées par le gouvernement américain sur la signification du mot "Pythagoras", ils ont découvert qu'il s'agissait du nom donné à un projet de recherche prenant place sur l'île de Lobito, appartenant à la République de Moloni, un petit pays du sud de l'Afrique.

La mission de Snake consiste donc, dans un premier temps, à infiltrer cette île et à y découvrir ce qu'est exactement "Pythagoras"...
Le nom Metal Gear Acid (ou Ac!d) aurait trois significations possibles.
* Le terme Acid ferait référence à la césure brutale avec les autres jeux de la série des Metal Gear de part le gameplay totalement différent de cet opus.
* Le terme Acid ferait aussi référence au gaz utilisé pour la prise d'otage dans l'avion, le bromure de vécuronium.
* Le terme Acid serait aussi un acronyme de Active Command Intelligence Duel qui fait bien évidemment référence au système innovant de combat de ce jeu.

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Metal Gear Acid 2 reprend le système de jeu instauré par le premier épisode mais en corrige la plupart des défauts. La difficulté a été revue à la baisse, le rythme de jeu accéléré et les graphismes en cel-shading sont plus colorés ce qui aide à la lisibilité de l'ensemble.

Le jeu a la particularité d'être livré avec le « Solid Eye », un accessoire qui se pose au-dessus de l'écran de la PSP et permet de jouer en relief.

Le joueur incarne une nouvelle fois Solid Snake ainsi qu'un nouveau personnage féminin, Venus, dans une aventure inédite, parallèle à l'histoire principale de la saga.

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Spécifiquement développé pour la PSP, cette épisode se déroule dans les années 70 et constitue la suite chronologique de Metal Gear Solid 3: Snake Eater. Le joueur y incarne Big Boss, le père génétique de Solid Snake.
Si la saga Metal Gear était déjà passée sur PSP avec deux épisodes Ac!d et la BD interactive Digital Graphic Novel, les fans de Snake attendaient avec impatience un vrai Metal Gear Solid fonctionnant sur le même principe que les trois volets sortis sur PS1 et PS2. Leur voeu est aujourd'hui exaucé, et de fort belle manière.

Metal Gear Solid : Portable Ops se déroule en 1970, soit six ans après les évènements relatés dans Snake Eater. Naked Snake, surnommé Big Boss depuis son affrontement mémorable contre son mentor The Boss, a quitté l'unité spéciale FOX et se considère désormais comme retiré des opérations secrètes menées par les Etats-Unis.Snake seul au mondeLe jeu débute alors que Snake se réveille dans une prison inconnue qui se révèlera être située en Amérique du Sud, dans la péninsule de San Hyeronimo appartenant à la Colombie. A peine notre héros a-t-il repris ses esprits qu'il est interrogé par le Lieutenant Cunningham de son ancienne unité FOX. Ce dernier, spécialiste des interrogatoires musclés, cherche à savoir où est passé le reste de l'Héritage des Philosophes dont la CIA n'aurait récupéré que la moitié après les évènements de Groznyj Grad. N'étant pas en mesure de donner une réponse satisfaisante, Snake encaisse les coups de son ancien coéquipier qui se retire ensuite et le laisse seul dans sa cellule.

C'est alors qu'un prisonnier d'une cellule voisine qui n'est autre que Roy Campbell s'adresse à Snake et lui donne quelques précisions sur la prison dans laquelle il se trouve. Celle-ci fait en réalité partie d'une base qui aurait été construite secrètement par les Russes après la crise des missiles de Cuba afin de leur assurer un positionnement stratégique vis-à-vis des Etats-Unis. Le financement des opérations militaires étant difficile durant cette période, les autorités de Moscou n'avaient pu achever les travaux et, à la fin de la Guerre Froide, avaient purement et simplement abandonné le projet. Plus grave, et afin de préserver ce secret qui aurait pu déclencher un nouveau conflit s'il avait été révélé, les dirigeant du Kremlin décidèrent de couper les vivres aux quelques soldats restés la pour protéger les installations.

Fort de ces quelques renseignements, Snake parvient à s'évader de sa cellule et tente d'entrer en contact avec son ancien officier Major Zero depuis le centre de communication de la base secrète. C'est via la même fréquence radio que celle utilisée durant l'opération Snake Eater qu'il joint ses anciens partenaires Para-Medic et Sigint. Ces derniers lui apprennent que Major Zero a été arrêté et qu'il est lui-même soupçonné de trahison envers son pays : l'unité FOX s'est en effet rebellée sous l'influence d'un officier nommé Gene et a décidé de bâtir une nation militaire dans laquelle les soldats ne seraient plus au service des politiques d'un pays mais deviendraient eux-mêmes les dirigeants. Profitant de l'amertume des soldats russes abandonnés à San Hyeronimo, Gene les rallie à sa cause et s'approprie la base secrète dans laquelle il installe une arme dérobée aux américains : dans ce contexte, les des deux pays deviennent otages de FOX puisque les Russes ne peuvent avouer l'existence de leurs installations et les Américains perdraient la face en révélant le vol dont ils ont été l'objet.

Une fois tous les éléments en main, Snake n'a plus qu'une solution : mettre un terme aux agissements de Gene et de l'unité FOX afin d'éviter une catastrophe et de prouver son innocence. Face à des soldats aussi entraînés que lui et sans aucun soutien logistique, sa tâche se révèle compliquée. Heureusement, il trouvera toute l'aide dont il a besoin sur San Hyeronimo !Une structure inhabituelleCar l'une des principales originalités de Metal Gear Solid : Portable Ops par rapport à ses prédécesseurs sur consoles de salon est en effet d'offrir une approche en équipe de l'infiltration. Alors que vous ne pouviez compter que sur vous-même à Shadow Moses (MGS 1), sur le tanker et la plate-forme (MGS 2), puis dans la jungle soviétique (MGS 3), vous aurez ici la possibilité, et même l'obligation, de recruter des alliés. Mais attardons-nous tout d'abord sur la structure du jeu, elle aussi bien différente de ce à quoi Hideo Kojima nous avait habitué.

Une fois échappés de la prison, Snake et Campbell établissent une base mobile à bord d'un camion dérobé aux forces ennemies. C'est à partir de ce dernier que les deux équipiers échafauderont leurs plans et mettront au point les missions leur permettant d'atteindre leur objectif final. Portable Ops ne se présente donc pas comme une aventure continue telle que ses aînés, mais plutôt comme un ensemble de missions à accomplir dans un ordre plus ou moins établi. Certaines d'entre elles sont nécessaires à la progression du scénario alors que d'autres sont purement facultatives mais vous permettent souvent de récupérer des objets qui peuvent se révéler bien utiles. L'interface depuis laquelle vous préparez et lancez vos missions se présente sous la forme d'une carte depuis laquelle vous avez accès à différentes zones de la région (il en existe 18 en tout). Il vous suffit de sélectionner l'une d'entre elles pour vous y rendre à bord de votre camion.

Sur le terrain, on retrouve une jouabilité quasiment identique à celle des précédents Metal Gear Solid, si ce n'est que les contrôles ont été adaptés à la PSP dont on regrette toujours autant l'absence de stick droit. Dans la configuration par défaut, on déplace Snake avec le stick et on modifie la caméra grâce à la croix directionnelle, cette dernière pouvant être replacée derrière notre personnage d'un simple appui sur L. Trois autres configurations sont disponibles permettant à chaque joueur de choisir la disposition des touches qui lui convient le mieux. La touche R permet lorsqu'elle est maintenue de passer en vue à la première personne et on utilise alors le stick pour regarder autour de soi et la croix directionnelle pour déplacer son personnage. Le bouton Carré sert toujours à tirer, Croix à s'accroupir, Rond à donner des coups selon la technique du CQC qui fait ici son grand retour, et Triangle à se plaquer au mur, à ouvrir les portes et à enjamber les obstacles. Précisons aussi que maintenir le bouton Rond appuyé affichera votre inventaire (L2 et R2 n'existent pas sur PSP !) qui ne contient ici que quatre emplacements différents : à vous de les gérer au mieux ! Même si un temps d'adaptation est nécessaire pour s'habituer à ces quelques changements de contrôle, on se sent rapidement à l'aise à l'exception des phases de combat durant lesquelles la visée se révèle parfois un peu compliquée.

metal gear solid 4

L'histoire prend place quelques années après les évènements de Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty. Après les incidents de Manhattan, les interventions militaires en pays étrangers se sont restreintes, provoquant l'émergence de compagnies militaires privés (Private Military Compagny : PMC). Snake explique en voix off que les USA ont exporter bien trop de forces armée a travers le monde, et qu'ils en payent à présent le prix. Les cinq plus importantes PMC se révèlent être contrôlées par une même compagnie mère, Outer Heaven. Disposant d'une réserve de mercenaires sans égales et de moyens technologiques avancées, la puissance militaire d'Outer Heaven est colossale. Au commande de cette immense armée, Liquid Ocelot compte poursuivre les desseins idéalistes de Big Boss et se prépare à déclencher une insurrection armée au Moyen-Orient. Malade et vieillissant, Solid Snake est le seul à pouvoir l'arrêter. Ce sera sa « dernière mission »...

Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriot propose un nouveau concept qu'Hideo Kojima a introduit par le slogan « Nulle part où se cacher » (« No Place To Hide »). Le jeu prend place dans des environnements ouverts qui, à la différence des précédents épisodes, offrent donc peu de cachettes. Selon Hideo Kojima, le gameplay traditionnel de la série, qui est basé sur l'infiltration, n'est pour autant pas remis en question. Le joueur dispose désormais de plus de choix dans la réalisation de ses objectifs, et peut plus ou moins miser sur la furtivité ou sur des confrontations frontales. Certains soldats rencontrés sur le champ de bataille ne sont a priori ni des ennemis ni des alliés, et c'est le comportement du joueur qui devrait déterminer la nature de leur relation. Il pourrait même être possible de créer des alliances avec certains combattants, un peu dans la continuité de ce que propose Metal Gear Solid: Portable Ops.

Certains éléments de gameplay ont été dévoilé lors d'interviews ou dans les bandes-annonces présentés lors des salons de l'Electronic Entertainment Expo et du Tokyo Game Show.

Parmi les accessoires, un nouveau type de camouflage optique fait son apparition : la tenue « Octocamo ». Pour passer inaperçu de l'ennemi, la combinaison de Snake peut se fondre dans le décor en reproduisant les textures et les couleurs de l'environnement immédiat. Le dispositif exige de se tenir immobile pour fonctionner.

L'arsenal du jeu est plus réaliste que dans les épisodes précédents et est largement modulable : adjonction d'un lance-grenades, d'une lunette de visée, d'une visée laser, d'un silencieux, etc. Par ailleurs, Solid Snake se voit désormais accompagné par un petit robot, le « Metal Gear Mk. 2 », lequel est contrôlé à distance par Otacon. Le Mk. 2 permet aux deux hommes de communiquer mais peut également servir à neutraliser les gardes en les électrocutant.

Le système de combat rapproché introduit dans Metal Gear Solid 3: Snake Eater, le « CQC » (Close Quarter Combat), est réutilisé. Par ailleurs, MGS4 propose un système de caméra libre, déjà expérimenté dans Metal Gear Solid 3: Subsistence.

Un nouveau type d'ennemi, les Gekkou, fait également son apparition. Les Gekkou sont des robots bipèdes, de moins d'une dizaine de mètres de hauteur, qui font office de tourelles de tirs mobiles mais peuvent également porter des coups avec leur grandes pattes. Produites en série, ce sont des machines de guerre puissantes et agiles qui se déplacent en groupe et dont le comportement renvoie à des caractéristiques animales.

Hideo Kojima prévoit d'exploiter les capacités de détection de mouvement de la Sixaxis. Il dit aussi envisager d'utiliser la PSP comme contrôleur additionnel, notamment pour diriger le Mk. 2. Enfin, Metal Gear Solid 4 devrait proposer des modes de jeu en ligne, jouables via le PlayStation Network.

Hideo Kojima a confirmé le développement de Metal Gear Solid 4 en mars 2005 lors d'une conférence de presse donnée à Berlin. Cette information venait contredire l'idée selon laquelle Metal Gear Solid 3: Snake Eater cloturait la trilogie MGS. Lors de cette annonce, Kojima se présentait comme le producteur du jeu, Shuyo Murata, en étant le nouveau directeur.

En mai 2005, à l'occasion de l'Electronic Entertainment Expo (E3), une première vidéo fut présentée à la presse et au public. De nature décalée et humoristique, celle-ci ne reflétait en rien l'apparence ou le contenu du jeu; elle avait pour but, d'une part, d'introduire le nouveau concept du jeu (« No Place to Hide »), d'autre part, d'annoncer le retour d'Hideo Kojima comme directeur de cette épisode (aux côtés de Shuryo Murata).

Le premier véritable trailer du jeu fut présenté en septembre 2005 au Japon, à l'occasion du Tokyo Game Show (TGS). Dans un style auto-référenciel, la vidéo exquisse la nouvelle orientation du jeu, plus réaliste. Si les jeux de la série Metal Gear ont toujours traité de la guerre, et notamment de la guerre froide, cette épisode est le premier à se dérouler sur un champ de bataille. Solid Snake y apparaît malade, en proie à un vieillissement accéléré.

Le second trailer du jeu fut dévoilé en mai 2006, lors de l'E3 à Los Angeles. La mini-fresque de quinze minutes à la tonalité tragique se cloture par une séquence choc dans laquelle Solid Snake, vieilli, fatigué et désespéré, retourne son arme contre lui-même. Peut-être le moyen pour Solid Snake d'en finir avec le cercle vicieux de l'histoire. Peut-être aussi le moyen pour Hideo Kojima d'en finir avec la série elle-même. Celui-ci confesse : « Il est dur de tuer un héros [...] mais pour être honnête, j'aimerais bien. L'année prochaine, nous fêterons son vingtième anniversaire. Je veux révéler tous ses secrets, je veux clore la saga. Je ne sais pas ce que feront les gens qui me remplaceront - peut-être sentiront-ils le besoin de reprendre Solid Snake, peut-être voudront-ils commencer un nouveau chapitre. Mais en ce qui me concerne, MGS4 apportera toutes les réponses que je voulais donner. ». La vidéo confirme en image le retour de personnages emblématiques de la série : Hal 'Otacon' Emmerich, Colonel Roy Campbell, Liquid Ocelot, Naomi Hunter et Meryl Silverburgh. Raiden, héros controversé du second épisode, fait également une apparition remarquée dans la séquence finale où il terrasse successivement douze Gekkou sous la figure - caractéristique de la série - du ninja.

En septembre 2006, durant le TGS, une nouvelle vidéo dévoile les premières phases de jeu. Une version étendue (Extented Version) fut également réalisée.

En juin 2007, une nouvelle version du trailer de l'E3 2006 fut montrée. Celle-ci tourne sur une version plus récente du moteur de jeu et présente en conséquence diverses améliorations d'ordre techniques.

les troxiens en parlent : http://papytromblon.free.fr/upload/viewtopic.php?id=138

solid snake

Le premier opus, sur MSX, conte l'histoire d'une jeune recrue d'une unité spéciale d'intervention et de renseignement américaine, Fox Hound. Nous sommes en 1995. Solid Snake, doit infiltrer une forteresse nommée Outer Heaven, érigée par un groupuscule terroriste en Afrique du Sud. Cette base militaire contiendrait un char bipède capable de lancer un missile à puissance nucléaire...

A l'époque, le personnage est encore stéréotypé : jeune militaire aux capacités hors-normes et au sens du devoir aigu, Snake se distinguait toutefois de la horde des héros musclés et sans peur par son mode d'approche du camp ennemi : l'infiltration. Pour la première fois dans l'histoire des jeux vidéo, le joueur ne dirige pas un Rambo dézinguant plus vite qu'il ne réfléchit, mais une représentation moderne du ninja. Un garde lui tourne le dos, le serpent se faufile, sans un bruit, en un souffle. Un jeu de cache-cache stressant mais ô combien jouissif qui icônise rapidement son protagoniste. Snake termine sa mission en détruisant le Metal Gear et en tuant son supérieur et mentor, Big Boss, qui a trahit Fox Hound pour devenir le chef de la rebellion de Outer Heaven.

Tout aurait pu en rester là ; le jeu se serait suffit à lui-même et jamais le héros n'aurait été sacralisé. Seulement, les épisodes suivirent, élaborant peu à peu une véritable mythologie qui mène Snake aux quatre coins du monde : Afrique, Asie, Alaska... Le personnage, vieillit, mûrit, et devient le catalyseur de questions philosophiques. Régulièrement manipulé, autant par ses supérieurs que par ses ennemis, il apprend en février 2005, lors de sa mission à Shadow Moses, qu'il est le résultat du projet « Les Enfants Terribles », une expérience de clonage dont le modèle biologique est Big Boss, et qui vise à créer le soldat ultime. Sa mission en Alaska se solde par un combat fratricide avec le chef des terroristes, Liquid Snake, deuxieme copie du projet « Les Enfants Terribles » et frère génétique de Snake. Mis a part les cheveux blonds de Liquid, leur ressemblance est incontestable.( à noter que Solid Snake apparait blond avec des cheveux longs lors du briefing de metal gear solid 1 il est apres teint en brun avec des cheveux courts pour les besoins de la mission.Il apparait ensuite avec des cheveux plutot chatains dans metal gear solid 2)
Dès lors, Snake n'aura de cesse de comprendre qui il est, de quelle liberté il dispose réellement et quel sens il peut apporter à son existence de soldat. Démissionnant définitivement de Fox Hound, il deviendra un guerrier solitaire, oeuvrant avec Hal « Otacon » Emmerich afin d'éradiquer la menace Metal Gear dans Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty. Nous le retrouvons donc en 2007, agé de 34 ans, sur un tanker transportant un nouveau modèle de Metal Gear. Encore ? Oui, mais n'y voyez pas tant un manque d'originalité scénaristique que l'aboutissement d'un canevas métaphorique : le char à puissance nucléaire représente le summum de la technologie de destruction, l'Apocalypse mécanique. En le combattant régulièrement, Snake n'en devient que davantage la représentation tant du bien que de la liberté.

Cet opus sur Playstation 2 apportera son lot de surprises, jusqu'au paroxysme, amenant Snake à combattre des ennemis omnipotents mais insaisissables, les Patriotes. Modelant les faits à leur guise, ils créent des contextes qui tiennent lieu de vérité pour la totalité des personnes impliquées, leur but élevé (et auquel ils tenteront d'aboutir en 2009) étant de contrôler finalement la globalité des informations terrestres, créant un carcan contextuel dans lequel l'humanité pourra se développer plus rapidement...jusqu'à l'extase divine ? Une évolution basée sur le mensonge et qui coûtera cher à Snake puisque les Patriotes lui détruiront sa réputation sur le Tanker et tenteront de le tuer... Mais cette fois, c'est Solid lui-même qui manipulera les grandes puissances en se faisant passer pour mort...

En 2009, une station de décontamination est érigée dans la baie de New York afin d'effacer toute trace de pollution due au naufrage du Tanker, deux ans plus tôt. Nous sommes toujours dans le même épisode, mais le joueur doit soudain contrôler un tout nouveau personnage, un certain Jack au nom de code de Raiden. Ce jeune homme sera lui aussi l'instrument du complot des Patriotes et ayant passé au travers des missions virtuelles basées sur celles de Snake. Il affrontera des épreuves initiatiques sous l'oeil bienveillant de son mentor... Pour la première fois, Snake n'est plus jouable, au grand dam des fans de la série. En contrepartie, il devient un guide spirituel, pour Raiden, pour le joueur, s'élève dans son expérience de la vie jusqu'à devenir une sorte d'Ange gardien inaccessible, le porte-parole des idéaux de son créateur, Kojima. Un regard extérieur des plus originaux. À la fin, si la vaste manipulation des Patriotes se révèle être un semi-échec, grâce au duo des héros, ces étranges illusionistes restent un mystère total, pour lequel Snake se prépare à une nouvelle quête...

Mais peut-il y avoir une suite ludique à cet épisode, sachant que chaque opus approfondit un peu plus son héros et que ce dernier semble justement avoir atteint son but ultime ? Dave s'est à présent libéré de son héritage génétique : il est bien le parfait soldat. Mais cependant pas grace a son bagage génétique puisqu'il est le maillon inférieur mais l'utilisation qu'il en fait : un combat perpétuel pour la transmission de l'essence humaine, sans limitations, sans mensonges. Le nouvel épisode de la série Metal Gear Solid 3: Snake Eater ne nous remettra d'ailleurs pas aux commandes de Solid Snake, malgré les apparences, mais effectuera un formidable retour aux sources en nous faisant incarner Big Boss durant la Guerre froide, avec un scénario se déroulant en 1964.

Last edited by aglon (2007-07-10 23:11:03)

papy tromblon · 2007-07-10 23:05:35

ah je n'ai pas le temps de tout lire, et de donner mon avis, mais je tiens juste a relever ca:

aglon wrote:

La version PlayStation 2 étant désormais très rare et recherchée par les collectionneurs, le jeux se négocie à plus de 100 euros sur internet.

je voulais juste dire que je l'avais wink

aglon · 2007-07-10 23:09:05

con de cul !

papy tromblon · 2007-07-10 23:12:19

moi quand aglon me dit con de cul, qu'il sent des coudes et qu'il veut asecher l'antartique, je joue du flutiot ca me revitalise

anus · 2007-07-11 20:00:10

Je reconnais le style de mes articles wink

Metal gear, je suis assez fan, du scénario avant tout, car au niveau gameplay, j'aurais a reprocher un immense manque de liberté, une linearité totale et une lourdeur scénaristique assez frustrante (quand je souhaite jouer, je ne tiens pas a avoir deux plombes de cinématiques certes superbes mais casse couilles)

Le bon compromis est le MGS3 pour moi, consistant niveau gameplay, replay value, et doté d'un scénar en or.

sancy · 2007-07-31 18:49:19

metal gear ou la frustration de kojima de toujours vouloir faire du cinoche, vaille que vaille.
ses scenarios sont de la pompe pure et dure de tout et n'importe quoi mais le patchwork fonctionne.
et c'est tout ce qui compte

Elrohir · 2008-06-10 12:43:47

Le deux est un réel bijou.
Bon, j'ai commencé (comme tout le monde je pense) sur le premier opus sur PS One. J'avais été ultra impressioné. Jamais un jeu ne m'avait autant immergé. J'avais aussi les mission spéciales, il m'en manquait plus qu'une à débloquer je crois! D'ailleurs, j'ai prêté mes CDs niquels et tout, complet. Je les ai jamais revu (à hood, enfoiré).

Le deuxième, je me le suis fait récemment... J'me suis grave emmerdé les premières heures... Mais plus on avance, plus on rentre dedans, et on commence à comprendre l'intelligence du tout... C'est simple : si je devais donner une définition du mot jeux vidéos, je dirai sans problème sons of liberty. On est clairement au centre d'une aventure, à laquelle on prend part. Alors oui, y'a beaucoup de cinématiques... Mais ça fait parti comlpètement du jeu pour moi. On se fait manipuler du début à la fin, et Raiden nous représente. Scène ultime: la fin, où ce dernier jette sa plaque avec notre nom. La fin de la manipulation, de notre panipulation.

Le trois, je l'ai, j'me suis fait chier. Mais là, ça passe pas. C'est surtout le gameplay qui me saoule. Ramper par terre dans les fougères, c'est marrant. Mais avec la maniabilité d'un MGS, c'est à chier.

psycho · 2008-06-11 11:46:00

Il faut que tu te procure mgs3 subsistence, il te permet de jouer avec la camera a 360° (splinter cell like) en plus il est bourré de nouveaux trucs comme des camos cachés et des armes en plus (aaaah le phazer)

Si tu n'aime pas le 3, avance quand meme et finis le, tu me dira a la fin, et seulement la, ce que tu pense du jeu (car tu es loin de te douter que....)

Elrohir · 2008-06-11 12:01:08

Hum, faut que je vois... Parce que 3 là, vraiment du mal à jouer. Bon, j'me force dès que j'ai du temps ^__^

papy tromblon · 2008-06-11 18:24:46

Il m'a fait le meme chose durant tout le prologue (en gros la vertueuse mission)
joue en normal pour vraiment avoir l'adrenaline pure de ramper comme un dingue au milieu des bestioles et joue surtout au casque ou avec un environment calme pour vraiment te fondre dans le trip nature et serenité.

passé ce prologue, le jeu montre enfin sa gueule et elimine des defauts de gameplay.tu sera surpris par la richesse des environnements car la jungle n'est absolument pas l'unique decor du jeu (j'en dirais pas plus)

moi aussi j'ai été decu par le debut mais la suite est si bonne que je le place au dessus de mgs pour le gameplay en juste en deca pour le scenar (mais vraiment parce qu'il y a pas le ninja et sniper wolf)

en parlant de ca, si tu aime le sniper, il y a une scene mythique du trois qui te fera kiffer

Elrohir · 2008-06-11 20:24:23

J'viens de racheter quelques Final Fantasy que j'avais plus (jamais joué). Donc quand j'ai du temps, ok j'le recommencerai. Mais c'est pas pour demain :-( (c'était trop bien la vie étudiante, on avait que ça à foutre de jouer, snif)

psycho · 2008-06-12 09:51:51

:°(

tonton_fafane · 2008-06-13 16:05:22

Elrohir wrote:

(c'était trop bien la vie étudiante, on avait que ça à foutre de jouer, snif)

diantre! c'est bien vrai ça mon bon...

mode déprime : ON

:'(

tonton_fafane · 2008-06-13 16:18:20

papy tromblon wrote:

(mais vraiment parce qu'il y a pas le ninja et sniper wolf)

ya pas sniper wolf mais question émotion... ya the boss! et si tu voulais du combat de snipe, il y en a un qui a sa place au panthéon du jeu vidéo ^^

et pour ce qui est du ninja... bah tant pis big_smile le seul vrai ninja c'est gray fox d'abord! et tâte le portable ops pour voir les débuts de ce type ^^ (ps: il me semble que la psp commence à être bien émulée)

anus · 2008-06-13 20:50:07

tonton_fafane wrote:

Elrohir wrote:
(c'était trop bien la vie étudiante, on avait que ça à foutre de jouer, snif)
diantre! c'est bien vrai ça mon bon...
mode déprime : ON
:'(

on passe tous par la.
pour l'emule psp je ne suis pas sur mais l'emule ps2 est enfin complete, manque plus que certains jeux.
la flemme de vous filer un lien mais allez sur emunova de ma part

tonton_fafane · 2008-06-16 01:39:41

anus wrote:

pour l'emule psp je ne suis pas sur

ouaip en effet, je tiens à corriger mon erreur, comme je ne m'intéresse pas trop à l'émulation de la dernière génération, j'étais resté sur des rumeurs... apres quelques recherches il s'est avérer que pour le moment les émulateurs psp ne font tourner QUE les jeux 2D (puyo pop,...)

psycho · 2008-06-16 10:02:16

C'est une question de temps: l'emule psp varie peu de l'emule ps1 selon les connaisseurs, en plus pas de conneries complexes a émuler façon wiimote ou styler donc ça devrait arriver vite flash.

aglon · 2008-06-17 10:51:54

Bordel j'ai fini le 4 big_smile

merci a mon cousin d'etre parti en vacances et de m'avoir laissé son jeu (Adrien si tu nous lis, je t'aime d'amour)
Je redige un test pour le post mgs4, j'attendrais un peu pour cet article de la saga

Elrohir · 2008-06-20 16:29:16

Le MGS 4 a l'air vraiment dementiel... J'me tate vraiment d'acheter (euh pardon, d'économiser pour) une PS3 juste pour y jouer...

sancy · 2008-06-20 19:50:48

Elrohir, on regrette d'avoir dit que les suites de mgs étaient pas justifiées? wink
Il y a un test dans actuel de Aglon je crois.

Elrohir · 2008-06-20 20:30:14

Non, mais j'étais jeune et insouciant à l'époque ! Pardonnez-moi !

coaster · 2008-06-20 21:09:58

Pour ta défense on a tellement vu de suites de merde/inutiles que les bonnes nous surprennent

old bud · 2008-06-21 22:40:15

faudra que je me force vraiment a faire le 3 alors apparemment...

MGS c'est le premier jeu que j'ai fait sur une ps piraté, un gros moment d'émotion, j'ai et j'adore ce jeu, le deux m'a bien plus aussi, maisj e l'ai peut être pas assez fouillé, et là le 3 ben... c'est come elrohir t papy, j'arrive as a me motiver pour passer ne serait-ce que le premiere patrouille de gardes :x

marrant d'ailleurs, tous les mgs ont, du moins pour moi, les mêmes défauts, a savoir une maniabilité toute particuliere qui donen envie de péter sa manette quand ce con d'avatar (jsuis pommé entre les big boss, solid liquid, alors je simplifie) se decolle d'un mur et se jette devant un ennemie alors qu'on voulais jsute jeter un oeil en coin...

bon, je me motiverais, promis.

mode kikoolol ON :

............................................monkeys ??

mode kikoolol OFF.

papy tromblon · 2008-06-22 00:51:37

j'ai jamais dit que j'avais du mal a le faire! c'est mon mgs preferé pour l'instant!

human bomb · 2008-06-22 13:57:57

Elrohir wrote:

(c'était trop bien la vie étudiante, on avait que ça à foutre de jouer, snif)

:°(

Sous-culture : là où les geeks se sentent chez eux

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Metal gear

#2 2007-07-10 23:05:35

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