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a moi il me plait!
la hache

Une hache est un outil formé d'une lame de métal (d'acier le plus souvent) attachée à un manche de bois. Elle est le plus souvent utilisée pour couper du bois, mais elle fut également employée comme arme. Les pompiers l'utilisent parfois pour ouvrir des portes.
L'origine de la hache est plus ou moins datée du VIe millénaire av. J.-C., c'est-à-dire au Mésolithique, en Europe. Le nom proto indo-européen pour dire "hache" pouvait être pelek'u-, donnant le grec π?λεκoς (pelekos) et le sanskrit parashu.
Les premières haches étaient formées d'une lame de métal insérée entre deux planches de bois serrées l'une contre l'autre avec une corde, qui servait également à faire tenir la lame en place. Les plus récentes sont formées d'une lame percée où l'on fait passer le manche.
La hache est aussi utilisée comme une arme de combat rapproché. Plus difficile à manier qu'une épée en raison du poids et du manque d'équilibre (en effet, une épée est quelque peu équilibrée par son pommeau), la hache permet cependant des frappes plus puissantes. Les haches franciscaines étaient des haches à double tranchant. Les haches pouvaient également être lancées mais elles étaient dans ce cas plus petites et plus légères.




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le phaser

le phaser est une arme de science fiction qui envoie un puissant rayon d'energie invisibe a l'oeil nu. La phaser est de different types et son rayon a tendeance a siffler.
Quelques rares auteurs expliquent comment ca marche: en gros par micro ondes irradiantes.
le plus célébre est le phaser de star trek qui ressemble a s'y meprendre avec une telecommande de television.

(je vous defends de trouver la moindre info sur ce gun)

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le desert eagle

Le Desert Eagle est un pistolet semi-automatique particulièrement imposant et puissant. Contrairement à l'immense majorité des pistolets semi-automatiques dont le mécanisme est opéré par le recul, celui du Desert Eagle est actionné par un emprunt de gaz, donc par les gaz émis par la combustion lors du tir. Ce système habituellement utilisé sur les fusils ou les mitrailleuses permet de tirer des munitions de grande puissance dans un pistolet alors que cette tâche est généralement dévolue au revolver et permet de ne mettre la culasse en mouvement qu'une fois que la balle a quitté le canon.
Outre une capacité légèrement supérieure à celle d'un revolver, le Desert Eagle bénéficie également d'un recul perçu plus faible que celui d'un revolver grâce :
au mouvement de la culasse qui restitue l'énergie du recul dans la durée alors que le recul du revolver s'applique directement et sans délai au bras du tireur,
au mécanisme emprunt de gaz qui réduit l'énergie des gaz ne participant pas à la propulsion de la balle s'échappant par la bouche de l'arme, tout en assurant une action moins brutale de la culasse,
à la largeur de sa poignée qui en répartit bien le choc.
Il a été produit par IMI et mis sur le marché en 1981 dans sa première version chambrée en .357 Magnum. En 1986 une version .44 Magnum a été commercialisée. Mais les concepteurs du Desert Eagle ne se sont pas arrêtés là puisqu'ils ont développé une version chambrée pour une munition spécifique, d'un calibre inhabituel pour une arme de poing contemporaine construite en série, le .50 Action Express.
Le Desert Eagle est un tour de force technique qui suscite l'admiration des amateurs d'armes de poing de gros calibre. Le cinéma s'est rapidement approprié ce pistolet que l'on voit apparaître dans de très nombreux films.
En plus de présenter une capacité limitée (7 à 9 coups selon les modèles), sa masse et son encombrement le rendent difficile à porter en permanence comme arme de défense. Par ailleurs, comme toutes les armes de poing il est impropre au rôle d'arme d'assaut. Par conséquent, et contrairement à une conception largement répandue par son apparition dans de très nombreux films d'action et jeux vidéo, il n'est pas employé par les forces militaires ou de police.
Il rencontre un vif succès sur le marché civil pour le tir récréatif à sensations fortes, les compétitions de tir à la silhouette métallique et la chasse.
Pour convertir un pistolet vers certains autres calibres il suffit de disposer du canon dont la chambre est au calibre souhaité. C'est le cas des conversions entre deux des calibres suivants : .50 AE, .44 Mag. et .440 Cor-Bon.
La version Mark XIX (2005) n'est plus chambrée qu'en .357 Magnum, .44 Magnum et .50 AE.
dans les jeux videos ce flingue est synomyme de puissance absolue, il a un recul leger et envoie les enemis ad patres avec une force hallucinante.



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le cocktail molotov![]()
(esperons que ca n'a pas fait de degats)
Le cocktail Molotov est le nom générique donné pour une série d'armes incendiaires à l'apparence artisanale. Bien que communément associées aux forces militaires irrégulières et aux manifestations, elles sont aussi massivement utilisées par des armées régulières en manque d'armes anti-char. Dans le civil, elles sont plus fréquemment utilisées pour allumer des incendies criminels. Le nom « cocktail Molotov » est un hommage ironique des soldats finlandais à Viatcheslav Molotov, ministre des affaires étrangères de l'Union soviétique alors qu'elle envahissait la Finlande
L'armée finlandaise était mal équipée en armes antichars et largement dépassée en nombre contre les chars d'assaut de l'Armée rouge, aussi emprunta-t-elle un dispositif incendiaire improvisé de la Guerre d'Espagne (1936-1939). Dans ce conflit, les nationalistes du Général Francisco Franco avaient utilisé cette arme contre les chars T-26 soviétiques qui soutenaient les républicains espagnols dans un assaut raté près de Tolède en 1936 : un cocktail Molotov lancé sur un char détruit la machine, la chaleur faisant prendre feu à son réservoir d'essence.
Quand Molotov clama dans des émissions de radio que l'Union soviétique ne bombardait pas mais livrait plutôt de la nourriture aux Finnois affamés, les Finnois commencèrent à appeler les bombes aériennes soviétiques les « paniers pique-nique de Molotov ». Bientôt ils répondirent en saluant l'avancée des chars soviétiques avec des « cocktails Molotov ». D'abord le terme a été employé pour décrire seulement le mélange brûlant lui-même, mais dans l'utilisation pratique le terme a été bientôt appliqué par métonymie à la combinaison de la bouteille et de son contenu.
Cette utilisation finlandaise de l'explosif à main se répandit en conséquence très vite à travers toute l'Europe durant la guerre, malgré les dangers de leur utilisation.
freddy se fait tuer avec
La production de ces armes de fortune commença en série dans une distillerie d'État à Rajamäki, qui évoluèrent, et finirent plus tard par contenir des capsules d'acide sulfurique enflammant le liquide lors du bris de la bouteille, évitant ainsi au lanceur d'avoir à allumer une mêche. Entre décembre et mars 1939, cette usine de 92 personnes produira 542 194 cocktails Molotov.![]()
Pendant la Guerre israélo-arabe de 1948, les membres du kibboutz israélien de Degania sont parvenus à arrêter un assaut syrien de chars en utilisant des cocktails Molotov. Ils ont été aussi fréquemment employés contre les chars soviétiques avec une grande efficacité lors de l'insurrection de Budapest en 1956. Elles seront aussi utilisées lors des émeutes en Irlande du Nord.
De nos jours ces armes sont plutôt utilisées dans des manifestations qui dégénèrent
Un cocktail Molotov se compose d'une bouteille en verre en partie remplie de liquide inflammable, habituellement de l'essence ou de l'alcool (généralement méthanol ou éthanol). L'embout de la bouteille est bouché par le haut avec un bouchon hermétique (essentiellement liège ou caoutchouc), et un morceau de tissu est solidement fixé autour du haut de la bouteille. L'arme est utilisée en imbibant préalablement le chiffon dans un liquide inflammable juste avant de l'employer et une fois le chiffon allumé, la bouteille est alors jetée sur la cible. La bouteille se brise sur l'impact, renversant son contenu inflammable sur la cible, qui est alors mis à feu par le chiffon incandescent.
Au cours de l'Histoire, diverses substances ont été ajoutées au cocktail Molotov de base pour en augmenter sa capacité destructrice :
des substances auto-inflammables (telles que le phosphore blanc) garantissent l'explosion de la bouteille lorsqu'elle frappe la cible ;
des agents épaississants tels que le goudron qui font coller le liquide brûlant sur la cible. Le goudron cause aussi une épaisse fumée noire opaque ;
de l'acide qui aide à pénétrer les surfaces non-inflammables.
Les cocktails Molotov sont semblables au principe des bombes de napalm. Le napalm (acronyme de naphtalhène et palmitate) était à l'origine fait en combinant le naphtalène et de l'essence avec de l'acide palmitique comme agent d'épaississement ; ces deux derniers étant les ingrédients principaux des cocktails Molotov. Ce type de Molotov peut également être lancé d'un fusil de chasse modifié.


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les snipers
Un tireur d'élite est une personne apte à réaliser des tirs de précision à l'aide d'un matériel adapté tel que le fusil de précision.
Utilisés pour l'appui à moyenne ou longue distance des troupes au contact, ils se répartissent en deux catégories :
tireurs de précision
tireurs d'élite
La différence (en plus de la sémantique) réside principalement sur le calibre de l'arme utilisée, ainsi que sa portée et son pouvoir de pénétration.
Le tireur de précision utilise en général une arme chambrée en 7,62 mm d'une portée efficace comprise entre 400 et 600 m.
Le tireur d'élite utilise quant à lui une arme d'un calibre supérieur (en général du 12,7mm) qui permet des tirs précis à plus de 1800 m. Par ailleurs, le pouvoir de pénétration étant supérieur, ce calibre permet des tirs anti-matériels efficaces (destruction de transformateurs électriques, de moteurs non protégés, etc.)
Les tireurs d'élite/précision sont aussi fréquemment sollicités dans les prises d'otages, pour l'efficacité de leur tir à distance ou encore lors d'assassinat de personnalité politiques ou publiques protégées, ce fut le cas du président américain John F. Kennedy le 22 novembre 1963 lors d'une visite officile à Dallas, ou il fut abattu par un tireur d'élite alors qu'il traversait la ville en limousine décapotable. Depuis la guerre de Yougoslavie, les tireurs d'élite/précision sont utilisés comme des armes psychologiques par le biais de tirs plus ou moins ciblés visant des militaires comme des civils, hors des opérations de combat (ex : tirs de snipers à Sarajevo).

On peut dire que tous les fusils de précision comportent une lunette de visée téléscopique qui par son zoom permet de mieux voir sa cible (même s'il y a quelques rares exceptions comme le Fusil Type 99 en 7,7 mm japonais de 1939). Leurs caractéristiques sont très différentes selon le type considéré :
On distingue trois grandes catégories de fusils de précision, adaptés à différents usages :
le fusil d'assaut modifié, généralement par l'ajout d'une lunette, d'une détente modifiée, éventuellement d'une crosse plus ergonomique, d'un bipied et/ou d'un canon lourd voir flottant. Du fait de sa filiation avec le fusil d'assaut d'origine, il conserve son calibre et sa mécanique, et de ce fait tire en semi-automatique. Parmi les exemples on peut citer les dérivés du M16 (SPR Mk.12, SAM-R, SDM-R, etc.), le HK 33SG/1, le SIG 550 Sniper, etc. 

le fusil de précision de calibre moyen (généralement 7,62 mm), qui peut être :
dérivé d'un fusil d'assaut mais dans un calibre différent (Zastava M76 basé sur le mécanisme de l'AK-47, ou des dérivés des AR-15 et M16 comme le Knight's SR-25 qui a été adopté par les SEAL sous le nom de Mk.11 Mod 0)
dérivé d'un fusil militaire de gros calibre mais n'étant pas un fusil d'assaut (M21 et autres M14 modifiés, FR-F1 et FR-F2 dérivés du MAS 36, HK G-3SG/1, PSG-1 et MSG-90 dérivés du G-3), dont les caractéristiques sont alors proches de celui-ci
dérivé d'un fusil de chasse (M24 et M40 basés sur le Remington 700, FN SPR basé sur le Winchester 70, Ferfrans TSR n°1 basé sur le Savage 10)
être d'un modèle spécialement conçu pour cet usage (les fusils d'Accuracy International et de PGM, le Steyr SSG-69 ou encore le SVD dragunov, qui, contrairement aux idées reçues, n'est pas un dérivé de l'AK-47 Kalachnikov et n'a d'ailleurs pas le même mécanisme ni le même calibre ).
le fusil de précision de gros calibre (12,7 mm et plus) est apparu plus récemment (premières utilisations au Vietnam), qui permet d'atteindre des distances extrêmes (plus de 2000 m) et qui est surtout utilisé pour détruire du matériel adverse, ainsi que le contre-sniping, mais aussi pour la neutralisation de terroristes ou de preneurs d'otages, la première mise en service opérationnelle du fusil Français "Hécate 50" par le GIGN fut à l'occasion d'un détournement d'avion d'Air France par des terroristes islamistes Algériens: lors de l'assaut, un terroriste fut abattu à travers le pare-brise blindé de l'avion, ce qui est une bonne démonstration de la puissance et de la précision de ce type d'arme.
Il faut remarquer que toutes les variations sont possibles entre ces différents types, en particulier avec la multiplicité récente des calibres qui comblent les trous entre les calibres principaux : .338 Lapua Magnum intermédiaire entre le 7,62 mm OTAN et le 12,7 mm OTAN, puis .408 Cheyenne Tactical intermédiaire entre le .338 Lapua Magnum et le 12,7 mm, etc.

L'armée connaît traditionnellement deux types d'utilisation des tireurs d'élite sur le terrain :
le tireur de précision (aussi appelé sharpshooter, marksman, ou tirailleur), présent en faible proportion dans les groupes de combat d'infanterie et faisant partie des armes d'appui de ce groupe (au même titre que les mitrailleuses légères et les lance-grenades, mais évitant les dommages colatéraux). Cette catégorie utilise des fusils de petit ou moyen calibre et généralement semi-automatiques, car elle opère sur le front en plein combat et tire à des distances moyennes. Pour la même raison les tireurs de précision ne cherchent pas à se camoufler et n'utilisent pas de silencieux. 

le tireur embusqué (aussi appelé sniper - bien que ce terme soit actuellement abusivement utilisé pour désigner tous les tireurs d'élite -, ou canardeur), qui opère en solo ou dans un groupe réduit d'experts dans ce domaine (un ou deux autres snipers ou un observateur qui sert de protection) et n'opère pas selon les lignes de front. Il se dissimule avec des tenues de camouflage sophistiquées (Ghillie suit) et a pour tâche à l'origine d'abattre des officiers adverses et d'autres militaires importants (sapeurs, transmissions, etc.). Cette catégorie de tireurs d'élite préfère des fusils de moyen ou gros calibre à répétition manuelle car ils tirent peu et à grande distance.
Les snipers sont également utilisés dans certains conflits (comme en Bosnie lors du siège de Sarajevo en particulier, une rue fut surnommée "sniper alley") comme arme de terreur contre des populations civiles. Dans ces cas il peut même s'agir de soldats sans formation et utilisant des fusils d'assaut classiques.
A ces grandes catégories on peut ajouter :

le déminage : les fusils de précision employés peuvent être de type standard (utilisé pour les autres tâches) ou spécifiques (généralement de faible précision par rapport aux fusils employés par les tireurs, par exemple le M14 SMUD). Ils sont employés pour la destruction de mines (terrestres ou marines) ou de charges explosives non-explosées, emploi qui nécessite surtout des munitions spéciales. 
le tir antimatériel, permis depuis les années 90 par l'arrivée des fusils de gros calibre, qui permet de détruire des équipements légers (véhicules non blindés, avions au sol, hélicoptères au sol ou même en vol lent à basse altitude, antennes radar, etc.).
le contre-sniping, qui consiste à neutraliser les tireurs embusqués adverses, pour assurer la sécurité des soldats et/ou des civils. Dans cet emploi les fusils de gros calibre sont appréciés car ils permettent d'engager des tireurs embusqués adverses en restant hors de leur portée (si ces derniers ont des armes de catégorie inférieure), et de les neutraliser même s'ils s'abritent dans des bâtiments grâce à la puissance des munitions de gros calibre. 
le tir depuis des hélicoptères, phénomène assez récent, cette spécialité étant principalement enseignée au sein des forces spéciales.
Les unités d'intervention de la police utilisent des fusils de précision pour des interventions contre des personnes armées (forcenés, arrrestations de malfaiteurs, etc.), pour les libérations d'otages, et pour couvrir une zone où se trouve une personnalité à protéger (en complément des gardes du corps rapprochés). Ils servent à la fois d'observateur pour le chef de l'opération et pour engager les adversaires par surprise, ou en appui des groupes d'assaut.

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Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Fusil_de_pr%C3%A9cision »
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le lance roquettes![]()
je vous rassure c'est un tir d'exercice
Un lance-roquette est une arme capable de tirer une roquette. On les considère également comme des lance grenade propulsée par roquette. La dénomination militaire française du lance-roquette individuel est LRAC (pour lance-roquette anti-char).
[img]hthttp://slfuturesalon.blogs.com/second_life_future_salon/images/quakea_1.jpg[/img]
La majorité des lance-roquettes sont destinés à un usage anti-char, avec une munition dotée d'une charge creuse. On trouve néanmoins d'autres munitions, incendiaires, à fragmentation ou thermobariques pour l'attaque de fortifications notamment. Il n'est pas rare que ces armes soient jetables, car elles sont essentiellement constituées par la munition. Les lance-roquettes demeurent des armes simples et peu onéreuses qui sont remplacées par des missiles guidés pour le tir à plus longue portée. Au cours des conflits récents comme en Irak, des opération de guérilla urbaine mettent en oeuvre des RPG-7 pour tirer sur des hélicoptères en vol lent ou stationnaire à basse altitude. Bien que l'arme ne soit pas conçue pour un tel usage, elle s'est révélée assez redoutable dans ce contexte.
Lorsque l'on tire avec un lance-roquette, les gaz du moteur fusée sont éjectés à l'arrière. Il y a donc une zone de danger derrière le tireur qui varie en fonction de la puissance de la roquette mais qui fait couramment plusieurs dizaines de mètres de long. Cette caractéristique qui est susceptible de provoquer des accidents chez les troupes peu entrainées, interdit le tir depuis une zone non dégagée, comme un bâtiment par exemple.
La mise à feu de la roquette donne lieu à une détonation particulièrement bruyante qui soulève un nuage de poussière et qui rend le tireur très repérable. La capacité limitée à un coup, n'est par conséquent pas un handicap, le tireur devant changer de position immédiatement(bien que des modèles bitube aient vu le jour dans les années 1970).
Afin de contrer ces effets néfastes, certains constructeurs ont proposé des systèmes alternatifs, en introduisant par exemple une contre-masse constituée de pétales de plastique inoffensifs. L'arme gagne dès lors en discrétion et peut tirer avec un mur à quelques mètres seulement derrière l'arme.
Les organes de visée sont généralement optiques avec des échelles permettant d'ajuster le tir en fonction de la distance, du mouvement de la cible et du vent, notamment sur les armes entièrement jetables. Au cours des années 1980, certains lance-roquettes étaient équipés d'un fusil parallèle dont les munitions avaient des caractéristiques balistiques équivalentes à celle de la roquette. Le tireur pouvait ainsi ajuster sa visée en tirant à plusieurs reprise sur un blindé pour ensuite déclencher le tir de roquette. Des lunettes plus sophistiquées, éventuellement dotées d'un télémètre et de la vision nocturne sont éventuellement disponibles sur les modèles rechargeables ou dont seul l'organe de visée est récupéré sur des modèles jetables.

le bazooka
Bazooka est le surnom d'une arme de type lance-roquettes utilisé durant la Seconde Guerre mondiale.
Ce mot désigne depuis, pour des militaires comme des civils, tout lance-roquettes portable par un seul homme.
Construit par les États-Unis, sa portée et sa puissance n'égalait pas celles du Panzershreck de l'armée allemande, mais son poids réduit et son faible coût de production ont permis d'en équiper massivement les troupes alliées.
C'était une des premières armes anti-char destinées à être utilisées par un fantassin. Les canons anti-char de l'époque nécessitaient plus de servants et un moyen de tractage.
Si l'armée américaine dispose, après la Première Guerre Mondiale, de très nombreux canons anti-chars performants, elle n'est pas encore dotée d'une arme anti-char portable par un seul homme. Des travaux de recherche, aux premiers prototypes élaborés à partir d'un tube de mortier de 60 millimètres, sont effectués sous les ordres du Colonel Leslie Skinner.
Début 1942, le modèle définitif est au point et, en mai de la même année, 5000 exemplaires sont fabriqués.


ici c'est un cas un peu special, la roquette auto propulsée suit le tracer laser (on sait pas comment d'ailleur !)


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[i]hommage bud




de la part de magic crazy
Ultra connue...
Quake 3 Arena
Quake 1 ! 

Last edited by psycho (2007-06-01 15:31:10)

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la grenade
Une grenade est une petite bombe déclenchée volontairement (par opposition à une mine) par un dispositif pyrotechnique. C'est une arme particulièrement efficace contre un groupe dans un milieu relativement clos et qui ne peut pas être atteint directement. Elle est aussi utilisée dans les feux d'artifices.
Historiquement elles sont apparues avec les explosifs donc la poudre, mais leurs conditions difficiles d'emplois les ont réservé à des situations particulières comme la bataille de Culloden. La disponibilité de poudre plus efficace et les tranchées ont rendu son emploi fréquent pendant la Première Guerre mondiale jusqu'à créer des unités spécialisées.
Au cours des deux guerres mondiales, les forces alliées ont utilisé des grenades à main de forme sphérique ou ovoïde ressemblant à une balle ou un caillou qui demeurent aujourd'hui. Une goupille maintient le détonateur en position de sécurité. Une fois retirée, seule la main de l'opérateur maintenant une pièce de métal nommée cuillère contre le corps de la grenade empêche le dispositif de s'armer. Une fois lancée, un ressort libère la cuillère et enclenche un système de retardement qui fait exploser la grenade au bout de plus ou moins 4 secondes.
L'armée allemande utilisait des grenades à manche constituées d'une longue poignée de bois au bout de laquelle le dispositif explosif se trouvait fixé. Il fallait libérer un cordon et tirer dessus à la base du manche pour déclencher la grenade. Durant la Seconde Guerre mondiale, elles ont parfois été utilisées dans le combat anti-char notamment par l'armée allemande qui regroupait 4 à 6 grenades au bout d'un manche unique.
On distingue la grenade défensive de la grenade offensive. La première est plus destructrice car l'explosif est entouré d'une coque de métal qui se fragmentera à la détonation (exemple : grenade Mark II). Elle est utilisée dans des conditions où le combattant bénéficie d'un excellent couvert pour ne pas risquer d'être blessé par sa propre grenade, le plus souvent en position défensive. Le but de la grenade défensive est donc de gêner une offensive.
une arme anti geek?panquez vos goodies les mecs!
La seconde est moins dangereuse et peut donc être employée à courte portée et sans bénéficier d'une bonne couverture. Les grenades dites offensives sont composées d'une fine enveloppe de métal et de plastique et disposent d'une charge explosive plus importante (environ 200 g contre 90 g pour une défensive) ; en conséquence, elles produisent peu d'éclats mais génèrent une forte détonation.
faites gaffe quand meme les gars!
Les grenades à main explosives sont également utilisées dans le civil pour déclencher les avalanches artificiellement.
Des grenades fumigènes ont également été employées. Leur utilisation n'est pas directement destructrice, elles servent à signaler une zone particulière à d'autres unités (notamment aériennes) ou à donner un signal visuel à d'autres unités pour coordonner des manoeuvres. En dernier lieu, les grenades fumigènes permettent d'obstruer la ligne de visée adverse pour couvrir ses propres manoeuvres, la retraite le plus souvent. Des agents chimiques comme le phosphore blanc ont été également utilisés pour produire des grenades fumigènes. Bien que la fumée générée soit moins efficace que celles des fumigènes « classiques » en tant que couvert (le phosphore subit une montée et laisse des ouvertures dans le couvert fumigène), les grenades au phosphore blanc peuvent également être utilisées de manière incendiaire ou lacrymogène. Elles présentent l'inconvénient d'être relativement fragiles, ce qui provoque des accidents (par exemple en cas de choc, dans certains cas une chute suffit) car elles se consument en projetant jusqu'à environ 3 mètres des éclats de phosphore brûlants.
Les grenades se sont spécialisées : les grenades incendiaires sont destinées à mettre le feu à des locaux ou des équipements ennemis non blindés, ces dernières peuvent être équipées d'une charge contenant de la thermite et sont généralement utilisées pour détruire rapidement du matériel ou des équipements sur le point d'être capturés par des forces ennemies. En raison de la difficulté d'engager la réactions standard fer-thermite mais aussi à cause du fait que celle-ci ne produit quasiment aucune flamme et ne possède qu'un faible rayon d'action, la thermite est généralement couplée à d'autres ingrédients permettant d'accroître son potentiel incendiaire. Le Thermate-TH3 est un mélange de thermite et d'additifs pyrotechniques qui se révèle supérieur à la thermite seule dans le cadre d'une utilisation incendiaire. Sa composition est généralement de 68,7% de thermite, 29,0% de nitrate de baryum, 2,0% de soufre et 0,3% de liant. L'addition de nitrate de baryum augmente la capacité de dégagement de chaleur, crée une flamme en brûlant et réduit significativement la température d'ignition du mélange.
Bien que l'intérêt premier du Thermate-TH3 soit son effet incendiaire, il permet aussi de faire fondre le métal. À ce titre il peut être utilisé notamment pour détruire des pièces d'artillerie sans utilisation d'explosifs, ce qui permet une destruction relativement discrète de celles ci. Le second bataillon de Rangers utilisa des grenades a thermite contre l'artillerie allemande à la Pointe du Hoc durant l'invasion alliée de la Normandie.
Les grenades lacrymogènes sont utilisées par les forces de l'ordre et l'armée. Elles dispersent un gaz irritant pour quiconque ne porte pas de protection adéquate. Notons que l'armée utilise des gaz présentant une concentration beaucoup plus forte que celle de la police. Bon nombre des grenades utilisées par la police explosent avec une force modérée mais néanmoins suffisante pour déchiqueter la main d'un individu tentant de la relancer. Les grenades aveuglantes, ou flashbang en anglais, désignent un ensemble de munitions destinées à désorienter la cible en produisant un son assourdissant et/ou un flash puissant. Elles sont essentiellement utilisées dans les situations de prise d'otage afin de limiter les possibilités de réaction des cibles hostiles le temps de mener une action éclair pour les neutraliser.
Bien souvent ces grenades spécialisées, quand elles sont destinées à un usage manuel, prennent la forme d'un cylindre dont le fonctionnement est identique aux grenades à main conventionnelles.
grenade propulsée par fusil
Les grenades de 40mm ont été développées dans les années 1960 il s'agit d'une munition comportant une grenade et une douille qui peut être tirée depuis un canon spécifique. Les grenades de 40mm existent en version basse et haute vélocité, les premières sont destinées à être tirées depuis une arme légère, la seconde depuis des armes lourdes automatique posées sur trépied ou montées sur tout type de véhicule. Les grenades de 40mm à basse vélocité ne sont pas plus puissantes que les grenades à main malgré un volume plus important.
La grenade de 40mm ressemble à une grosse cartouche qui comporte une douille et un projectile. La grenade particulièrement lourde pour être tirée d'une arme légère est propulsée à une allure modérée par un système de haute/basse pression. La douille comprend ainsi une capsule dans laquelle la poudre est contenue. Quand le tir est déclenché, les gaz s'échappent de la capsule par une série de lumières d'un diamètre limité qui empêchent leur expansion trop rapide. Le projectile est alors propulsé plus progressivement et le recul est moins brutal.


Les grenades de 40mm sont stabilisées par leur rotation qui est provoquée par des bandes posées sur leur circonférence. Le détonateur est armé par la rotation du projectile, ce qui empêche la grenade d'exploser avant d'avoir parcouru une quinzaine de mètres. Les premières armes légères destinées à tirer des grenades de 40mm étaient des armes spécifiquement dédiées à cet usage, le soldat qui opérait cette arme
se trouvait néanmoins assez vulnérable car il ne possédait en général qu'un pistolet comme arme de défense. L'armée américaine se dota du M203, un lance grenade léger destiné à être attaché sous un fusil d'assaut. De nombreuses armes reprennent maintenant ce principe.
qui ne se souviens pas du célébre "pump!"
Comme les grenades à fusil, les grenades de 40mm sont des projectiles stabilisés munis d'un détonateur déclenchant la munition à l'impact ce qui a permis d'en développer des versions antichar dotées d'une charge creuse.

Il existe d'autres calibres de grenades, soit développés par les pays du pacte de varsovie, soit pour le maintient de l'ordre (grenade de 37mm), moins puissantes pour limiter leur dangerosité en cas de tir tendu et dispersant bien souvent des agents irritants.

et pour faire plaisir a magic
La Sainte Grenade (en VO : The Holy Hand-Grenade of Antioch) est une arme apparaissant dans le film Monty Python, sacré Graal des Monty Python. Cet élément comique se base sur le contraste entre la sacralité de cet objet qui apparaît ici comme cité dans des textes religieux, et la destruction généralisée qu'il est réputé provoquer.
La Sainte Grenade a été notamment reprise dans le jeu vidéo Worms, ou elle apparaît comme arme spéciale unique, semblable à une grenade standard, mais plus lourde, et également plus meutrière (elle inflige jusqu'à 95 points de dégâts, et à un rayon d'explosion parmi les plus élevés du jeu). Elle présente aussi la particularité de n'exploser qu'une fois immobile et après l'expiration du compte à rebours de trois secondes non modifiable (le délai effectif étant le plus long des deux). Avant l'explosion proprement dite, une fois l'immobilité atteinte, un Alleluia retentit, ajoutant environ 2 secondes au délai total entre le lancer et l'explosion effective (cela étant, la grenade étant alors immobile, cela n'est guère susceptible de modifier le résultat du lancer, sauf en ce qui concerne la fuite du ver actif et, possiblement, le délai avant explosion d'éventuelles mines déclenchées par le ver actif).
Dans Fallout, le joueur pourra trouver, s'il a beaucoup de chance, le groupe des chevaliers de la Table Ronde, qui recherchent la Sainte Grenade. La grenade est disponible à un seul exemplaire dans le jeu lors d'une autre rencontre spéciale, on peut également se faire un stock grace à un éditeur d'inventaire, ce n'est qu'un clin d'oeil au film, comme le Pont de la Mort de Fallout 2.
Le nom Sainte Grenade, toujours en référence aux Monty Python est devenu un objet en Orgonite. Ce nom a été donné au vu de l'utilisation possible comme une arme pacifique grâce à la possibilité d'effectuer du bien avec cet objet. Il est plus connu sous le nom original anglais Holy Handgrenade. La description de cet objet se trouve sur la page de l'Orgonite.

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de la part de magic crazy qui ne sait pas ecrire visiblement (viens me repondre toi!
)
lightning gun
dans ut: Remplaçant du sniper, adoré par certains, haïs par d'autre, il possède de la même façon, une lunette de visée à longue distance, mais son tir produit une longue trainé entre l'arme et la cible, qui permet de repérer le tireur.
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Quake 4 : Appelé plus communément Shaft par les connaisseurs. Cette arme avait pour principal avantage dans Quake 3 son knockback. C'est-à-dire le fait de pousser la cible sur laquelle on tirait, et donc de la contrôler un cours instant. Ce knockback a disparu dans Quake 4 mais sera réintégré à l'avenir dans un patch.

UT2004: Le Lightning Gun est un fusil à énergie de grande puissance capable de venir à bout de l'armure la plus lourde. L'acquisition d'une cible à grande distance exige une main de fer, mais l'effet stabilisateur du système optique réduit considérablement la courbe d'apprentissage de l'arme. Une fois la cible acquise, le tireur presse la détente, ce qui illumine la cible d'une « tache » de protons. Quelques millisecondes plus tard, le fusil émet un arc électrique à fort voltage qui recherche le différentiel de charge et annihile la cible.



autres
ce ne sont pas des fusil a electricité mais des hommes utilisant l'energie electrique directement avec leur mains.






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merci pour toute cette culture ^^
y fout quoi magnéto à côté des lighting guns ??? o_O
Manquait cette image pour les lighting_guns ! ^^
Last edited by Magic.Crazy (2007-06-03 01:00:15)
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merci pour toute cette culture ^^
y fout quoi magnéto à côté des lighting guns ??? o_O
lire les posts evite ce genre d'incomprehension

autres
ce ne sont pas des fusil a electricité mais des hommes utilisant l'energie electrique directement avec leur mains.

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c'est bien ce que je dis ! ^^
Magnéto contrôle les objets métalliques, pas l'électricité !
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Selon Ultimate comics (la source de base pour les comics les gars!)
"Magneto peut contrôler les champs magnétiques. Il s'en sert pour manipuler le métal au niveau moléculaire, projeter des rafales d'énergie électromagnétique, créer des champs de force et voler."
donc ok, il ne projete pas vraiment de rayons electriques
http://ultimatecomics.free.fr/ultimate_xmen/biographies/magneto.htm

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Sublime topic, l'un des plus cools que j'ai vu sur le forum!
C'est super!
>bud on attends tes armes 

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lances flammes
Le lance-flamme est un dispositif mécanique conçu pour jeter des flammes ou, plus correctement, pour projeter un liquide mis à feu. Il est employé par les militaires et également par ceux qui ont besoin de brûler des terres et des espaces boisés, comme dans l'agriculture ou dans l'aménagement forestier.![]()
Beaucoup de lance-flammes non militaires modernes n'utilisent pas un jet brûlant de liquide, mais mettent à feu un jet de gaz inflammable à haute pression, tel que le propane ou le gaz naturel, et sont considérés plus sûr pour l'usage agricole, industriel, ou récréatif.

De nos jours, un lance-flamme est un dispositif portatif qui se compose de deux réservoirs cylindriques portés généralement sur le dos. Le premier cylindre contient de l'huile inflammable; le second un gaz pressurisé dans la section inférieure et dans la section supérieure. Des modèles existe avec trois réservoirs: l'huile inflammable est simplement répartie sur deux récipients pour une distribution de poids plus symétrique et avoir une taille plus compacte. Il peut également y avoir une petite bouteille de gaz supplémentaire (environ 0,5 l) servant à allumer la flamme d'allumage (appelée aussi veilleuse) si nécessaire. Grâce à un levier, le gaz force la sortie du liquide inflammable par un tube et une mèche met le feu au dispositif dans un bec en acier.
Les gaz comprimés utilisés sont de l'azote, dioxyde de carbone, propane ou gaz naturel. Le produit inflammable est lui un dérivé du pétrole: essence, gasoil ou napalm.
Le feu grégeois datant d'environ 670 ayant disparu des arsenaux militaire, le premier lance-flamme, est dans le sens moderne, habituellement crédité aux recherches du scientifique allemand Richard Fiedler. Il a soumis des modèles d'évaluation de son Flammenwerfer à l'armée allemande en 1901. Le modèle le plus significatif pouvait projeter un jet flamboyant et d'énormes nuages de fumée jusqu'à 18 m avec deux minutes de temps de mise à feu. C'était un dispositif de tir unique. Le gaz utilisé était de l'azote et le produit inflammable un dérivé du pétrole.
Ce n'est qu'en 1911 que l'armée allemande accepta le dispositif, créant un régiment spécialisé de douze compagnies équipées de Flammenwerferapparate. En dépit de ceci, l'arme a été utilisée lors de la Première Guerre mondiale qu'en février 1916 où elle a été brièvement employée contre les Français à Verdun. Puis, elle ne fut plus utilisée jusqu'à juillet 1916 lorsqu'elle fut employée contre les tranchées britanniques à Hooge, où elle eût un effet limité mais impressionnant. En effet, l'adversaire fut démoralisé par la crainte de brûler vif et, paniqué, il quitta sa position. En 1915, cinquante pompiers du corps des sapeurs pompier de Paris intégrèrent les rangs du 1er régiment de génie français pour tester le lance-flamme français sur une attaque; mais comme en Allemagne, on délaissa rapidement l'invention.
On a découvert que l'arme a eu certains inconvénients: machine barbare, elle était encombrante et difficile d'utilisation et pouvait seulement être utilisée depuis une tranchée, limitant ainsi son utilisation sûre aux secteurs où les tranchées adverses étaient distantes de 18 m, ce qui n'était pas commun. Les opérateurs de lance-flammes étaient excessivement vulnérables, et n'étaient que rarement faits prisonniers, particulièrement quand leurs cibles survivaient. Les britanniques et les français essayèrent leur propres systèmes de lance-flammes mais les abandonnent très vite. L'armée allemande a continué à les déployer tout au long de la guerre et ils ont été employés à plus de 300 occasions, habituellement par équipes de six lance-flammes.
Du côté français, la brigade des sapeurs-pompiers de Paris testa au front des lance-flammes à la butte de Vauquois. Par manque d'expérience, à cause d'un vent contraire et d'une cible plus élevée, une vingtaine d'entre-eux moururent brulés, victimes de leur propre matériel.
Des lance-flammes ont été utilisés intensivement pendant la Seconde Guerre mondiale. La vulnérabilité des opérateurs à pied couplée à la courte portée de l'arme ont imposées des tests sur des systèmes embarqués par char d'assaut (appelé dans ce cas des Char d'assaut lance-flamme). Les marines américains utilisèrent le lance-flammes M2A1-7 et le trouvèrent particulièrement utiles pour pacifier les tranchées et les souterrains japonais dans la bataille du Pacifique. Là où les Japonais étaient indélogeables car retranchés profondément, les flammes ne pouvaient pas les atteindre mais consommaient l'oxygène, provoquant la suffocation. Les marines ont par la suite cessé d'employer leur M2-2 avec l'arrivée de la variante M4A3R3 Flamethrower doté du Système Ronson du char d'assaut Sherman M4. Les lance-flammes sont aussi efficaces contre les véhicules blindés. Ils ont été également utilisés pour dégager les bunkers et les blockhaus lors de la Bataille de Normandie (Opération Overlord): le Débarquement en Normandie de 1944. Les Allemands ont considérablement utilisé leur lance-flamme (appelée Flammenwerfer 35) pendant l'invasion de l'Europe de l'Ouest mais elle fut bientôt limitée aux opérations de représailles. Cependant, sur le Front russe, son utilisation sur le champ de bataille continua jusqu'à la fin de la guerre car elle correspondait bien à la politique de la "Terre brûlée".
Les lance-flamme sont soumis en France comme globalement en Union européenne, aux lois de contrôle concernant les armes de guerre et il est impossible pour un civil d'en acquérir légalement. Aux États-Unis d'Amérique, il n'y a aucune restriction à la détention à titre privée de lance-flamme.










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je kiff vos articles 
je vous prepare ca
Le lance-lapin :
Présent dans Shadow Warrior (j'ai passé 2h a rechercher ce jeu sur internet je me souvenais plus du nom...), un FPS de la vieille epoque auquel pas grand monde a joué (et c'est bien dommage), Le lance lapin est une arme devastatrice, alliant la puissance du lance roquette à la rapidité d'une arme a feu type revolver. Gros avantage de ce prototype, a l'impact le lapin ne fait que s'exploser lamentablement sur l'adversaire ou le mur (a vous de voir ce que vous trouvez de plus drole a faire) emais ne crée pas de retour de flamme, donc corps a corps autorisé 

Le Microwave gun :
Fusil a micro onde ayant la particularité de faire gonfler vos adversaires jusqu'a explosion.

Le shrinck ray :
Fusil propulsant un laser réduisant la taille de vos ennemis. Il vous suffit de marcher dessus pour les écraser 

Le Deodorant :
Arme terrifiante quand vous possedez un briquet, elle vous permet de fabriquer un chalumeau projettant un jet de flamme grace au gaz compris dans la bouteille. Il est également possible dans Blood d'en faire une grenade inflammable.

Le Freezer :
Diffusant un rayant givrant transformant vos adversaires en glacon, il vous suffit de porter un kick pour 'briser la glace'.
Le shotgun Riot :
Basé sur les munitions d'un fusil a pompe de base, cette arme devastatrice est couplé au systeme gatling avec quelques differences. Vous pouvez soit tirer canon par canon à une vitesse bien supérieure a un fusil de base, ou alors employer les differents canons ensemble pour un tir groupé fatal. A noter que son temps de rechargement est plus conséquent , bien que certains barillets existent pour recharger directement les differents tubes.

D'autres a venir 
le lance flammes humain (attention, ça consomme beaucoup de bières^^)
le lance flammes humain (attention, ça consomme beaucoup de bières^^)
le phoenix de la mort dans ses oeuvres! 
(c'est fafane lui meme)

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Je vois que bud sort les armes de la mort 
le couteau de boucher


Ce n'est pas une arme mais un ustensile déstiné aux bouchers pour coupe la viande. En inox et plus souvent en acier inoxidable, le couteau de boucher est lourd, solide et coupant.
C'est l'arme du bourrin par excellence (l'autre particularité est que les blessures sont nettement ouvertes)
.jpg)




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armes de ninjas
tout d'abord qui sont nos "amis" ninjas?
Dans l'imaginaire des Occidentaux et même des Japonais, image d'ailleurs largement colportée par les films, bandes dessinées... on représente les ninjas comme des guerriers vêtus de noir, une cagoule masquant leur visage, accomplissant des exploits physiques en combat, des acrobaties, et experts dans les techniques de dissimulation, d'empoisonnement, et surtout de diversion. Leur atout principal était leur furtivité/discrétion.
Cette image fantasmatique et romantique, et le terme même de ninja, sont relativement récents (vers 1780). Les termes utilisés pour désigner ces guerriers-espions étaient plutôt shinobi ou shinobu, parfois rappa, seppa ou kagimono-hiki, ou encore kusa (les herbes, une des techniques consistant à attendre tapis dans l'herbe et à attaquer les troupes de dos après leur passage). En raison de leur origine géographique probable, les ninjas sont aussi parfois nommés « homme d'Iga » (Iga no mono) ou « homme de Koga » (koga no mono), ou encore « troupe d'Iga » ou « de Koga » (Iga shu, Koga shu).
Les ninjas étaient en effet probablement issus de ces deux provinces voisines situées à côté de Kyōto. Ces provinces étant indépendantes, ils n'étaient redevables d'aucune taxe et jouissaient d'une liberté de mouvement que n'avaient pas les bushi (ou samourais), qui étaient eux inféodés aux daimyō (seigneur féodal) ; ils n'étaient pas non plus soumis au bushidō (code de l'honneur du bushi), et pouvaient donc pratiquer des techniques de guerre non-orthodoxe (espionnage, guérilla, embuscades, assassinats). N'étant pas liés aux grandes familles, celles-ci les utilisaient pour leurs basses besognes (pillages, assassinats). Une de leurs grandes spécialités était de s'introduire de nuit dans les châteaux et camps militaires et d'allumer un incendie, afin de faciliter l'assaut par des troupes classiques ; ils se déguisaient en général pour porter la même tenue que leurs victimes (ils n'étaient donc pas forcément vêtus de noir) afin de semer la confusion.
Par ailleurs, les familles nobles commencèrent à faire appels à des mercenaires (sans doute des ninjas) lors de la période Kamakura (1185-1333), période marquée par de nombreux conflits entres familles et assassinats. Ces pratiques, même si elles ne correspondaient pas au « canon » du bushido, ont donc très tôt été utilisées par le pouvoir et les seigneurs féodaux.
Aux yeux de la population, les ninjas, par leur activité criminelle (assassinat, vol, etc ...) et leur méthode peu orthodoxe (incompatible avec le code d'honneur des samourai), faisaient partie de la classe sociale Hinin (non-humain). La caste des Hinin que l'on appelait péjorativement les « déchets de la société », comprenaient les criminels, mendiants, vagabonds et autres parias de la société.
shuriken
Contrairement à certaines idées reçues, cette arme est relativement peu efficace, et donc peu utilisée, en combat direct. Elle était plutôt utilisée afin de distraire l'adversaire ou dans des embuscades où la rapidité d'attaque est essentielle.
On pouvait la tremper dans du poison pour en augmenter l'efficacité.
Le kanji ken désigne de manière générique une lame, les shurikens peuvent donc avoir plusieurs formes. Il existe plusieurs types de Shurikens :
Le shuriken est un outil plat et discret, mais en métal. Cela présentait plusieurs avantages : une fois lancé, il était presque invisible, mais provoquait un bruit de chute qui peut attirer l'attention un instant.
Cependant, la méthode la plus efficace pour distraire était d'attaquer au visage : l'ennemi tentait d'éviter le shuriken, laissant au lanceur un court répit pour s'enfuir ou attaquer, il n'était pas essentiel de bien viser, l'important n'était pas de toucher la cible mais de l'affaiblir le plus possible.
Blesser un adversaire était plus ardu. D'une part il faut bien viser, d'autre part il faut savoir où attaquer. Certains points stratégiques empêchent l'ennemi de courir ou de riposter.
Tuer un adversaire avec un shuriken lancé était presque impossible, la plupart des blessures infligées n'étant pas mortelles. Cette utilisation restait donc exceptionnelle, sauf si le ninja employait le shuriken dans le but de tuer.
Par contre, certains shuriken sont volontairement enduits de poisons, généralement issus de plantes. Ces lames, si elles blessaient l'adversaire, pouvaient également l'intoxiquer et provoquer sa mort.
Notons que les shurikens n'étaient pas nécessairement lancés mais pouvaient être utilisés tenus en main. Ils étaient ainsi plus discrets que des couteaux, mais n'avaient pas leur allonge.
Le shuriken était un outil particulièrement adapté aux bricolages dont peut avoir besoin le ninja : il pouvait servir à entailler le bois, à couper des cordes, à gratter la terre, à cueillir des plantes hallucinogènes qui seront utilisées au combat, à nettoyer ses armes ou tout simplement à couper de la nourriture.
Si, enfin, le shuriken n'avait pas pu être intercepté auparavant, et si le combattant ne pouvait se déplacer, il pouvait tenter attraper le shuriken au vol. Cette technique, extrêmement dangereuse, nécessitait, en plus d'une coordination parfaite, une bonne connaissance de la trajectoire d'un shuriken. Ces techniques ne sont plus enseignées dans les écoles de ninjutsu à cause de ce caractère dangereux, un étudiant pourrait perdre la main et meme mourir.
le jitte
Elle est similaire au Sai, mais ne possède qu'une seule « griffe », contrairement au Sai, qui en a deux.
C'est une des nombreuses armes des ninjas, mais aussi des policiers, elle permettait de neutraliser sans tuer, car non tranchante et dépourvue de réelles « pointes » (bien que la lame soit particulièrement effilée). Ces armes étaient souvent utilisées par paires, ou accompagnées d'une arme telle un sabre ou un couteau.
La jitte permettait de coincer puis de briser une lame, ou même de saisir l'arme de l'ennemi, pour prendre le dessus lors d'un combat.
La jitte était appréciée pour son efficacité, bien que le Sai soit théoriquement plus efficace, puisqu'il était « le double » d'une jitte, avec ses deux « griffes ».
Certaines jitte avaient, attachées à la pointe de leurs lames, des chaînes munies d'une boule de bois ou d'un boulet métallique. On les appelles alors "kusari chigiriki".
Ce genre d'armes a eu une diffusion plutôt importante, chez les ninjas, surtout à l'époque ou ils faisaient plus ou moins office de police, dans les temps proches de la révolution, au milieu du XIXe siècle, au Japon, bien qu'elle ne furent pas autant utilisées que les ninja-tô, kyoketsu shoge ou kusarigama.
Kusarigama
Directement hérité des armes fabriquées par les fermiers pour se défendre contre les voleurs et les rôdeurs, le Kusarigama n'en était pas moins très efficace. La base de l'arme était constituée par une faucille Japonaise à lame droite, à laquelle on avait rajouté une chaîne d'environ 2 mètres, lestée d'un poids à son extrémité.
Les techniques d'utilisation étaient variées, mais partaient tous du même principe : immobiliser d'abord l'adversaire avec la chaîne, le déséquilibrer, le tirer vers soi, et le tuer avec la faucille. Lancée vigoureusement en direction de l'ennemi, la chaîne s'enroulait soit autour du cou de l'adversaire, soit autour du torse, ou autour de son Katana. Gêné, voire immobilisé, l'ennemi perdait ainsi une grande partie de ses moyens. Une option était également de frapper la tête du combattant avec le poids situé au bout de la chaîne pour l'assommer.
allez mamie!!!
Le Kusarigama, en plus des fermiers, était utilisé par quelques Samourais qui en avait fait leur spécialité. Mais ce sont les Ninjas qui en firent le plus grand usage. Leur arme,appelée Shinobigama, possédait une lame plus courte, mais bien plus acérée, protégée dans un fourreau pour le transport. Elle était passée à la ceinture lors des déplacements, prête à l'emploi. Peu de Bushis arrivaient à se défendre réellement contre une attaque de Shinobigama. La meilleure réponse consistait à lâcher le sabre immobilisé pour utiliser le Wakizashi, mais la petite taille de celui-ci réduisait les chances du combattant.
LES SHUKOS
Vraisemblablement inventé par le Togakure Ryu ( Clan ), ces griffes de métal étaient destinées à être portées à l'intérieur des mains ( Shuko ) et/ou aux pieds ( Ashiko ). Leur utilisation était double : soit pour l'escalade, soit pour le combat contre un adversaire. L'utilisation par les Ninjas de ces armes les a rendu tout spécialement célèbres pour leur facilité à grimper le long des parois les plus abruptes.
La technique de l'escalade avec les Shukos et les Ashikos était relativement simple. Les pointes en métal légèrement recourbées s'enfonçaient soit dans les murs en bois des maisons, soit dans les anfractuosités des murs d'enceintes des châteaux, permettant une progression rapide. Une utilisation très particulière consistait également à progresser le long des poutres, au plafond, afin d'éviter de faire du bruit en marchant sur un parquet qui pouvait faire du bruit.
Le Shuko était également une arme de combat redoutable. Face à un adversaire armé d'un sabre, le Ninja bloquait la lame avec le Shuko d'une main, sans risque de se blesser, et portait un coup de griffe au visage avec l'autre Shuko. Un coup de pied armé d'un Ashiko était aussi une façon de mettre hors d'état son adversaire. Il existait une arme proche du Shuko appelée Hokode. Sortes d'ongles en fer sur les 10 doigts, il pouvait permettre l'escalade ou le combat. Le Hokode était spécialement utilisé par les femmes Ninjas ( Kunnoichi ).
ninjato
Contrairement à une idée reçue, les premiers Ninjas utilisaient un sabre conventionnel (Katana) qu'ils tenaient accroché dans le dos pour escalader une paroi ou se déplacer plus facilement. Rapidement, il apparut que la longueur du sabre posait un problème. Il s'accrochait dans les passages étroits où les Ninjas se tenaient souvent embusqués.
C'est ainsi qu'est apparu le Ninjatô, sabre du Ninja. Sa taille courte, environ 50 cm, lui permettait de combattre dans les endroits exigus. La garde du sabre (Tsuba) était carrée, permettant ainsi d'appuyer le sabre contre un mur et de s'en servir comme marchepied. La lame, pour cette raison était droite, et non courbe comme les Katanas des Samourais. L'extrémité du fourreau était pointue afin de pouvoir s'enfoncer légèrement dans le sol, pour une meilleure stabilité. Elle était parfois en acier, et comportait à l'intérieur de petites armes de jet.
Mais c'est surtout l'utilisation peu orthodoxe du sabre par le Ninja qui est la plus remarquable. Utilisé dans des positions inhabituelles, celles-ci déroutaient immanquablement ses adversaires. Mieux, l'utilisation combinée du Ninjatô et de son fourreau (Saya) permettait au Ninja de se déplacer dans l'obscurité et de découvrir ses ennemis le premier. Autre technique, contre une attaque à la lance, le sabre et son fourreau attachés ensemble permettaient d'immobiliser l'adversaire en le ligotant littéralement.
armes a feu (he oui!)
Introduites en 1543 par les Portugais, les armes à feu ne tardèrent pas à être incorporées dans l'arsenal des Ninjas après quelques années d'observations et de modifications. Les arquebuses ( Teppô ) furent les premières a être utilisées. Mais leur encombrement et leur poids limitèrent leur utilisation à quelques utilisations spéciales ( Champ de bataille ).
Plus pratique et plus discret, le pistolet en bronze ( Futokoro-Teppô ) répondait bien mieux aux besoins des Ninjas. Certains l'adaptèrent assez vite avec une courte lame fixée sous le canon, à la manière d'une baïonnette, pour s'en servir également comme un poignard. Le Wakizashi-Teppô était une arme surprenante. Elle consistait à dissimuler une pistolet à un cou dans un fourreau anodin de Wakizashi .
Mais les Ninjas s'essayèrent également aux canons et aux mortiers, même si cette discipline était réservée à quelques individus experts, et employée de façon assez rare. Le Ozutsu était un mortier en bois portatif utilisé par le clan Togakure. Plus léger et destiné à créer la confusion, le Sodezutsu, était une sorte de bazooka à un coup. Mais bruyantes et lourdes, les armes à feu n'étaient pas l'arme de prédilection des Ninjas !
et merci a http://samourais.free.fr/S_Ninjas2.html

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armes de pirates
tout d'abord qui sont nos "amis" les pirates nom d'un typhon (expression pirate)
*Le pirate (du grec " peiratès " qui signifie initialement "celui qui entreprend", "celui qui tente fortune") agit pour son propre compte, c'est un hors-la-loi qui parcours les mers et qui pille, viole et bien souvent tue sans distinction de nationalité. S'il est pris, on le pend haut et court.
Haut pour que tout le monde le voit, et court pour économiser de la corde !
La piraterie est la pratique, aussi vieille que la navigation, qui a pour objet l'attaque d'une embarcation dans le but de voler son chargement, et parfois le bateau tout entier. Cependant, les pirates ne se limitaient pas seulement aux autres bateaux mais parfois attaquaient des petites villes côtières. Le mot « pirate » est rattaché aux actions en mer sans l'aval d'une nation souveraine, contrairement aux corsaires, capitaines d'embarcation privée travaillant pour le compte d'une nation ou d'une personne importante dans la société. La piraterie maritime connut son apogée durant le XVIIIe siècle puis a peu à peu disparu, dû au pouvoir grandissant des nations sur toutes les régions du monde. Beaucoup d'anarchistes se sont inspiré de la philosophie des pirates qui consistait à s'exiler de toute nation afin de mener une vie plus libre.
Malgré son origine maritime, le mot pirate est mentionné dans des contextes différents, tels que les « pirates de la route », que l'on appelait autrefois « voleurs de grand chemin ».
Par glissement de sens, un pirate informatique désigne un individu s'adonnant à des détournements de fonds effectués par Internet, ou des copies d'oeuvres sans respecter le droit d'auteur ou le copyright. Il en existe d'autres formes plus crapuleuses comme l'hameçonnage, qui consiste à usurper une identité, le plus souvent Corporative.
On parle parfois de pirates dans le cas d'actes politiques et terroristes : c'est le cas des pirates de l'air. Toutefois, il s'agit ici d'une déformation du sens de pirate : l'absence de l'intérêt lucratif d'une action terroriste fait que l'on ne peut pas réellement lier ces malfaiteurs aux véritables pirates.
Les pirates des siècles passés sont imaginés menant une vie romantique de rebelles intelligents et rusés, agissant en groupe en dehors de la vie régie par les lois et les obligations, telle que nous la connaissons aujourd'hui. En réalité, peu de pirates mangeaient à leur faim ou devenaient riches, la plupart sont morts jeunes, car les provisions emportées étaient infestée de rats et d'autres petites bêtes.
Toutefois, certains aspects de l'organisation des pirates sont surprenants. Contrairement aux sociétés occidentales de l'époque, de nombreux clans de pirates fonctionnaient comme des démocraties limitées : on élisait et remplaçait les dirigeants, par exemple. Le capitaine d'un bateau pirate était souvent un combattant féroce en qui l'équipage avait confiance, plutôt qu'un chef autoritaire issu d'une élite aristocratique. C'était souvent le maître de timonerie, surnommé « le second » ou « le bosco », qui était responsable de l'équipage et qui était chargé de faire régner l'ordre jour après jour, sauf pendant les batailles où c'est le capitaine qui donnait les ordres.
De nombreux groupes de pirates partageaient tout le butin qu'ils obtenaient, en suivant un schéma plutôt compliqué dans lequel chaque homme recevait la part qui lui était réservée. Les pirates blessés au cours d'une bataille recevaient même parfois une prime spéciale. De plus, plusieurs ouvrages relatent le rapport de force très juste entre le capitaine d'un navire et les autres lors d'une victoire. En effet, le butin était partagé de manière à ce que le capitaine reçoive autant que les autres, tout au plus 1,5 fois ou deux fois plus que les autres, mais jamais plus[1].
Les pirates avaient choisi d'être bannis des sociétés traditionnelles, notamment parce que la vie de marin était particulièrement pénible, dangereuse et que la discipline à bord était particulièrement dure. Nombres de marins n'avaient pas réellement choisi ce métier, soit qu'ils aient été vendus comme mousses à un capitaine, ou qu'ils aient été enrôlés de force par la presse, un système largement employé par les Britanniques. Il arrivait souvent qu'ils libèrent des esclaves trouvés dans les navires capturés, les incorporant à leur équipage ou les déposant à terre.
Cependant, ces pratiques égalitaires ne se limitaient qu'à très peu des aspects de la vie des pirates, et n'atténuaient pas réellement la rudesse de leur mode de vie.
Le pirate est souvent dépeint avec une balafre au visage, borgne avec un cache sur l'oeil, et amputé d'une main, remplacée par un crochet. Il a aussi souvent perdu une jambe à cause de la gangrène ou d'un boulet, et s'appuie alors sur une jambe de bois.
Tout au début, chaque bateau de pirates avait son propre drapeau, et les victimes ne savaient pas ce que cela voulait dire. Peu à peu, les drapeaux sont devenus généraux et ils avaient chacun une signification différente.
Les pirates utilisent un drapeau noir représentant des ossements humains (comme le Jolly Roger et ses dérivés), car ils sont réputés pour ne pas faire de prisonniers.
Les pirates cachent leur trésor sur une île et ils marquent son emplacement sur une carte au trésor.
Les pirates sont souvent accompagnés d'un perroquet. 
*corsaire: Il existe une énorme différence entre pirates et corsaires. Si les seconds employaient des méthodes vaguement similaires à celles des premiers, ils étaient munis d'une lettre de marque et de représailles ou Lettre de course remise par un roi ou un gouvernement, qui les autorisaient à attaquer les navires d'une nation ennemie. Les Barbaresques, en Méditerranée étaient des corsaires, de même que certains marins maltais, qui étaient autorisés par l'Ordre de Malte. La lettre de marque était reconnue par convention et évitait au corsaire d'être accusé de piraterie, passible de la peine de mort, mais cela ne suffisait pas toujours à lui sauver la vie. Le corsaire britannique le plus célèbre fut Sir Francis Drake à une époque où l'Angleterre commençait seulement son aventure maritime (fin XVIe siècle) et où elle avait intérêt à encourager la course. Deux siècles plus tard, alors que la Royal Navy régnait sur toutes les mers du monde, la Grande-Bretagne n'avait que faire de corsaires, devenus inutiles et encombrants. En France, suite à la sévère défaite de l'amiral de Tourville à la Hougue (1692) Louis XIV encouragea les initiatives privées. Jean Bart et son cousin Jacobsen, de Dunkerque, le comte de Forbin, le Malouin Duguay-Trouin, le Nantais Jacques Cassard se virent encouragés par Versailles pour amasser des butins considérables sur le dos des Britanniques et des Néerlandais. Suite à la Révolution française et à la fuite en exil de nombreux officiers de marine du fait de leur appartenance à la noblesse, la France subit de nombreux revers sur les flots, hormis les francs succès d'une meute de corsaires aventureux qui écumèrent l'océan Indien entre 1792 et 1815. L'un d'eux, Robert Surcouf, natif de Saint-Malo, gagna ainsi gloire, honneur et fortune à la pointe de son sabre d'abordage: il finit sa vie opulent armateur malouin à un âge avancé. Au XIXe siècle, après l'aventure napoléonienne, la course perdit petit-à-petit de son importance. Son dernier baroud d'honneur fut sans doute lors de la Guerre d'Indépendance grecque (1824-1830), où certains marins de la patrie de Socrate donnèrent du fil à retordre à la marine ottomane.
Sept nations se sont entendues dans la déclaration de Paris de 1856 pour abandonner l'usage des lettres de marque. Cependant, les États-Unis et l'Espagne se réservent explicitement le droit, par leur constitution, d'y avoir encore recours.
*Le flibustier (ou " frère de la côte ", du néerlandais " vrijbuiter ") est un corsaire des Antilles qui va sus à l'Espagnol aux XVIIè et XVIIIè siècle.
Le mot apparaît à la fin du XVIIè siècle (Furetière, 1690), mais il est usité depuis Dutertre en 1667. Ce mot se traduit par "freebooter" en anglais ; le sens littéral signifie "libre butineur". 
*Le boucanier (dérivé du Caraïbe " boucan ") est à l'origine des chasseurs d'animaux sauvages. Il traite la viande par un procédé de fumage appelé boucanage appris des Indiens Arawak, et fait du commerce avec les peaux.
A l'origine, les boucaniers occupent des terres sur l'île d'Hispaniola qui appartient à l'Espagne (aujourd'hui Haïti et la République Dominicaine). La raréfaction du gibier dans les îles ainsi que la tentative des espagnols d'évincer les boucaniers, leur font rejoindre la flibuste.
*Forban (ancien français " forbannir ", bannir à l'étranger) Le Forban est un pirate qui se livrait à des expéditions armées sur mer pour son propre compte, sans lettre de course.
Sabres de bord et épées
Les épées et sabres de bord servent à plusieurs desseins dont, évidemment, le premier est de blesser ou de tuer l'ennemi durant un combat. Les épées et les sabres sont aussi utilisés par les marins lors des abordages afin de couper et briser les cordages qui entravent leur chemin.
Hache d'abordage
Parmi les autres armes blanches on trouve la hache d'abordage qui, en plus d'être une arme offensive, peut servir à endommager la coque d'un navire ennemi et à couper des cordages.
Grappin
D'une utilisation spécifique aux abordages, le grappin est lancé afin que ses pointes s'agrippent sur le navire ennemi. Il est utilisé pour tirer le navire que l'on aborde et pour le maintenir de force au flanc du nôtre afin de permettre aux corsaires d'y monter.
Armes à feu
Très utiles lors des abordages et dans les raids que font les corsaires sur terre, les armes à feu sont utilisées plus spécifiquement dans l'intention de blesser ou de tuer un adversaire. Les pistolets, souvent portés à la ceinture, sont retenus par des crochets. Les mousquets, espingoles et tromblons complètent l'arsenal d'armes à feu des corsaires.


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les armes cybernétiques
apres les pirates et leux mousquets en bois, partons pour le futur....
ED 209
Il a été un ennemi dans le film Robocop 1.
C'est un robot entièrement artificiel conçu pour un maintien de l'ordre public de manière forte. Le projet de robot était soutenu par Richard « Dick » Jones vice-présicent de l'OCP et concurrent du projet Robocop.
Mais ce robot possède aussi des failles, par exemple ses capteurs peuvent être déficients (gênant quand il vous demande de lâcher votre arme, chose que vous venez déjà de faire).
Il n'a aussi pas toujours une prise de décision en adéquation avec la situation, et de plus il est trop volumineux pour utiliser des véhicules, ou des équipements pour humanoïdes.
Ainsi il ne sait pas descendre un escalier, ce qui sauva Robocop quand ED-209 le poursuivait dans Robocop 1.
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le T 800
Le Model 101 a été créé pour être l'arme ultime par le super ordinateur militaire Skynet pour être utilisé contre la résistance humaine restante. Il a été pensé qu'une machine conçue aux spécifications d'un squelette humain, et de plus enveloppé dans une peau et tissu humains spécialement développés, serait capable d'infiltrer des structures militaires déguisée en être humain et ainsi, éliminer toute vie humaine depuis leurs installations. Chaque aspect de cet androïde est dirigé vers l'infiltration sans détection. Non seulement il a l'air humain, mais il transpire, sent, saigne et peut même imiter n'importe quelle voix humaine parfaitement. Cependant, les chiens peuvent sentir la présence de la machine et furent souvent gardés aux points de contrôle pour détecter ceux qui essaieraient d'entrer.
Pour aider dans son rôle de tueur, cet endosquelette fut construit à partir d'un hyper alliage pour former un châssis de combat, et par la même, rendu essentiellement immunisé contre les tirs d'Arme de poing du 20eme siècle, bien que des tirs répétés de fusil à pompe aient suffisamment de force pour l'assommer. Ils peuvent rester actifs pendant 120 ans sans avoir besoin de nouvelles batteries énergétiques. Si les batteries sont vides ou endommagées, l'unité peut accéder à une source d'énergie alternative lui permettant de continuer de fonctionner pendant un certain temps. Dans les livres basés sur la franchise Terminator, il est dit que l'alliage utilisé dans la construction est un acier "Titane-Tungstène" (Ti-W).
Les soldats androïdes aperçus dans les séquences de guerre du futur dans Terminator 2 et Terminator 3 étaient des endosquelettes Terminator, mais ils n'étaient pas construits avec du tissu vivant.
Les Modeles 101 ont la capacité d'apprendre, bien que cette fonction ait été désactivée par Skynet pour les empêcher de devenir trop humains ce qui limiterait leur efficacité. Dans la version longue de Terminator 2 Sarah et John réactivent cette capacité, ce qui amène le cyborg a accumuler rapidement des connaissances des interactions humaines et parler d'une façon plus fluide. Une ligne du dialogue à la fin du film indique que les unités pouvant apprendre arrivent à comprendre les émotions ("Maintenant je sais pourquoi vous pleurez").
Un Terminator Model 101, joué par Arnold Schwarzenegger, fut l'antagoniste dans le film original Terminator. Après avoir été reprogrammé par la résistance dans le futur, il fut l'un des protagonistes des films Terminator 2 et Terminator 3.
le T 1000
Le rôle du T-1000 fût joué par Robert Patrick dans le film Terminator 2 : Le Jugement dernier (1991) de James Cameron.
Le T-1000 a été créé par le super ordinateur militaire Skynet
Sa grande particularité est d'être constitué d'un alliage de métaux dont les propriétés physiques lui permettent à la fois de se liquéfier (métal-liquide), et de se régénerer instantanément. Il est également poly mimétique, c'est à dire qu'il a la faculté de changer de forme, de couleur, d'aspect (mais pas de volume) ce qui lui permet des techniques d'infiltrations avancées : il peut prendre la forme d'objets ou bien de personnes par simple analyse visuelle. Le T-1000 a aussi la faculté de pouvoir créer des armes blanches avec les parties de son corps.
Tandis que le T-800 représente un peu le char d'assaut des androïdes, le T-1000 peut être comparé à un bolide de course. Rapide et précis, il à été mis au point en partant de l'idée qu'il valait mieux absorber la puissance d'un projectile plutôt que de la stopper.
C'est pourquoi Skynet décida de créer un cyborg composée de métal liquide, s'avérant nettement plus performant que le traditionnel endosquelette de titane-tungstene. Ce système de fonctionnement permet une efficacité opérationnelle toujours optimale, et s'avérant être la meilleure technique d'infiltration possible (ce système fût repris plus tard sur le modèle T-X).
Le T-1000 est vulnérable face aux températures extrêmes. (Azote Liquide, métal en fusion par ex), par les composés acides, qui peuvent déstabiliser son système.
Un exemplaire fut envoyé à travers le temps pour éliminer John Connor, le futur leader de la résistance humaine. Il fût confronté à un T-800. il échoua dans sa mission.
le T Virus
Le t virus n'est pas officiellement rattaché a la serie terminator. Il s'agit d'un "robot" d'executor virus, une suite officieuse de terminator 2.
Le t virus n'est pas une machine a prporement parler, mais un humain, genetiquement modifié crée par skynet pour infiltrer et detruire les humaines. Son "programme" est inscrit dans sa memoire residuelle tel un cours appris par coeur. Le T virus, nait avec la forme d'un humain adulte, mais avec la force d'un enfant. Tres vite, au fur et a mesure du temps et de ses experiences il devient plus puissant et plus intelligent. Le T virus peut ainsi prendre des balles qui le blesseront au debut puis par experience ne lui feront plus rien (il mute comme un virus)
plus proche d'un humain que d'une machine, le t virus peut se reproduire avec des femmes humaines mais l'enfant ne se devellopent pas in utero et meurt dans une fausse couche.
Le t virus, de plus en plus intelligent, rapide, puissant et dangereux se rebelle contre skynet et souhaite le detruire.
Il meurt finalement d'une simple grippe inoculé par Hernado, la grippe (un virus) de devellopant a une vitesse absolue dans le corp amelioré du T virus.
les droids
Les droïdes ont une importance capitale pour l'Alliance, non seulement à cause des services qu'ils peuvent rendre mais aussi à cause des innombrables heures de travail dont ils déchargent les équipages, le personnel au sol et les gestionnaires. Ces automates ont rarement l'occasion de se comporter eux-mêmes en héros, mais du seul fait qu'ils existent, ils ont permis l'accomplissement de bien des exploits. Les droïdes sont employés à bien des échellons de l'Alliance. Ils peuvent aussi bien aider les naviguateurs ou réparer les chasseurs stellaires, que servir d'interprète auprès des nombreuses auprès des nombreuses forces de la Rebellion. Les droïdes soignent souvent les bléssés sur les champs de bataille et explorent les mondes hostilles sans avoir à redouter des conditions climatiques défavorables. L'Alliance les utilise comme des observateurs sur de nombreuses planètes, afin qu'ils collèctent des informations sur les activités impériales et les mouvements de troupes ennemis, avant de venir en rendre compte. Bien qu'ils soient handicapés en cela par les difficultées qu'ils éprouvent à mentir, les droïdes peuvent faire d'excellents espions... pour les deux camps en présence.
Ils ont rendu d'immenses services de tous ordres à la Rebellion, et leur importance ne peut que s'accroître tant que la lutte contre l'Empire se poursuivra. 
Avant que n'existe la Rebellion, l'industrie robotique était essentiellement dominée par deux grandes firmes -Industrial Automaton et Cybot Galactica- alors que d'autres sociétés de moindre importance, telles que Greentech ou Arakyd, ne devaient leur qu'à la production de modèles économiques ou ultra-spécialisés. Avec l'avènement de la Rebellion et l'interruption des échanges commerciaux dans la galaxie, beaucoup de petites sociétés furent ainsi contraintes de fermer leurs portes, abandonnant ainsi tout le marché des droïdes à Automaton et à Cybot. Depuis, ces énormes consortiums du Secteur Corporatif sont tombés sous le contrôle de l'Empire, et l'Alliance à d'énormes difficultés à se procurer tout les droïdes qu'elle à besoin.
Heureusement, lorsque les petites sociétés de robotique ont été mis en faillite, l'Alliance a eu la possibilité d'acquérir à bas prix un certain nombre de leurs machines-outils... jusqu'à que l'Empire s'en aperçoive et interdise la vente de matériel de ce type. La Rebellion parvint néanmoins à se procurer assez d'équipements pour pouvoir implanter des usines de droïdes sur plusieurs de ses mondes repaires.
Mais pour sue ces usines fonctionnent à plein rendement, il fallait encore que l'Alliance recrute ou forme des techniciens spécialisés : ingénieurs, programmeurs, etc. II lui fallut donc encore pendent un certain temps acheter la majorité de ses droïdes. Or, quand on connaît les besoins de la Rebellion dans ce domaine et l'inflation galopante qui affecte la galaxie, on peut comprendre que cesoit particulièrement ruineux...
Il existe cependant un marché d'occasion sur lequel on peut acquérir à très bas prix de vieux automates endommagés ou déclassés, provenant de sources diverses, souvent d'anciens stocks ou de stocks des Jawas. En général, les Droïdes de "seconde main" présentent surtout des détails esthétiques et nécéssitent peu de réparations internes pour être pleinement fonctionnels.
Mais l'Empire est également un des grans fournisseurs de l'Alliance, car celle ci récupère souvent après les batailles des droïdes abandonnés sur le terrain par les forces impériales. Ils sont généralement en bon état mais doivent toutefois être soumis à une reprogrammation complète pour s'assurer qu'ils ne sont pas en fait des droïdes espions. 
robot hitler
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robot hitler apparait dans wolfenstein 3D.
Si on excuse le fait que l'histoire se passe en 1945 et que les nazis possedent la technologie du bipedalisme et de l'intelligence articifielle, tout ce qu'on peut dire c'est que ce robot.....c'est HITLER, voila....

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robot hitler
http://www.avclub.com/content/files/ima … mbnail.jpg
robot hitler apparait dans wolfenstein 3D.
Si on excuse le fait que l'histoire se passe en 1945 et que les nazis possedent la technologie du bipedalisme et de l'intelligence articifielle, tout ce qu'on peut dire c'est que ce robot.....c'est HITLER, voila....
looooooooooooooooooooool
C'etait pas hitler DANS un robot plutot?

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J'ai pas eu le temps de lui demander figure toi! 

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