#1 2007-05-26 01:20:45

krom
j'aime l'odeur des mes ennemis quand ils brulent
From: Gonfreville l'Orcher
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themroc

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Voila mon petit coup de coeur récement....

THEMROC!!!!!!!!!!!! Tout d'abord verifiez si vous savez dire "groaaar"
c'est bon? ok on y va

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Un peintre en bâtiment , Themroc, fait chaque matin les gestes automatiques du petit déjeuner, subit la pression de la pendule tyrannique, jette au passage un oeil de convoitise sur sa jeune soeur, et enfourche sa bicyclette. Il roule avec son copain, peintre comme lui. Ensemble ils pénètrent dans le flot du métro, et pointent régulièrement à l'usine. Un jour de travail ordinaire, notre peintre, occupé à regarder le flirt du patron avec une "hautaine secrétaire galbée", reçoit dans le nez la fenêtre, rageusement poussée par le patron. Vigoureusement encadré, il est emmené chez "le gentil directeur". Alors commence l'odyssée de Themroc. Il rugit dans les toilettes, s'enfuit telle une bête fauve de l'usine, provoque la perturbation et l'effroi partout où il passe. Puis il fabrique une tanière, d'où il descend grâce à une échelle de corde, pour aller chasser. Le film se termine par une orgie de "poulet" (de flic) à la broche, dans une atmosphère digne de Cromagnon.


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Daté de 1973, THEMROC est une curiosité déconcertante à la croisée de la fable surréaliste et de l'anarchisme révolutionnaire. C'est alors le troisième long-métrage de Claude Faraldo, un ancien livreur de vin qui décida de tout plaquer du jour au lendemain pour se réfugier dans une carrière artistique. Ses origines prolétariennes seront bien entendu le ciment d'une oeuvre majoritairement engagée, comme en témoigne son dernier film en date MERCI POUR LE GESTE en 2000 qui raconte le parcours d'un sans domicile fixe.
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THEMROC est l'adaptation d'une pièce de théâtre de Faraldo, «Doux Mais Troglodytes», soit l'une des premières oeuvres qu'il ait montées après sa reconversion. Film confidentiel, THEMROC bénéficie quand bien même d'un casting incroyablement riche : Michel Piccoli, Béatrice Romand (révélée par Eric Rohmer), Coluche, Patrick Dewaere, Romain Bouteille, Miou-Miou, Popeck, Henri Guybet et bien d'autres têtes bien connues du cinéma français dans des doubles voire triples rôles. Nous sommes alors en pleine époque du «Café de la gare», et Faraldo a la riche idée de recruter ses membres pour la grande majorité des rôles secondaires.

Sans dialogues dans ses vingt premières minutes, THEMROC choisit d'abord d'emprunter la voix de la satire sociale en décrivant le travail en usine du personnage principal. Themroc et les autres ouvriers sont majoritairement assigné à la repeinte quotidienne de la grille d'entrée de l'établissement. En rang d'oignon, les hommes s'occupent chacun d'un barreau ou deux de chaque côté de la grille. Car l'équipe de peintres est scindée en deux : ceux qui travaillent du côté intérieur, et ceux qui travaillent du côté extérieur. La hiérarchie de l'usine est bien entendu en conséquence avec le sous-chef du côté intérieur, le sous-chef du côté extérieur, le chef des deux sous-chefs et enfin le grand patron (qui passe le plus clair de son temps à faire des avances malhonnêtes à sa secrétaire).

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Amusante bien que très naïve, cette vision satirique du monde du travail n'est heureusement que le point de départ du film. THEMROC se recentre en effet très vite sur la transformation du personnage principal en bête sauvage. Pas d'effets spéciaux bien sûr, mais un parti pris encore plus audacieux : la mutation par le langage. En effet, les personnages de THEMROC parlent une langue imaginaire, un espèce de yaourt guttural laissé à l'improvisation du comédien. Un choix déjà déconcertant, que Faraldo justifie par l'envie de rendre son histoire universelle. Il s'agit peut-être plus concrètement de rendre le glissement animal de Themroc plus coulant, en troquant des borborygmes dissonants (soit la «langue» du film) en hurlements et grognements.

Alors oui, ce film est quasi muet, ultra violent, limite amateur, tres 70's mais on y voit COLUCHE, DEAWARE, MIOU MIOU, PICOLI, SCHNEIDER,GOTLIB.... ect ect
Au-delà du rejet de la société de consommation et de la négation de l'autorité sous toutes ses formes, il s'attaque à certains des tabous les plus puissants de la société occidentale, dont l'inceste et l'anthropophagie. Il est d'ailleurs interdit au moins de 18 ans.
themroc06.jpgSi, plus de 30 ans après sa production, le film de Claude Faraldo a pris un bon coup de vieux dans sa charge sociale unidimensionnelle et outrancièrement déterminée par son époque, son emploi frontal du viol, de l'inceste ou de l'anthropophagie laisse pantois même aujourd'hui. Ajoutons à cela une forme venue de Mars (la bande son du film est uniquement faîte de "AAARRRR" et autre "GGGRRRRrr"), un Michel Piccoli hyper intense, et l'on obtient une expérience de cinéma franchement éberluante. THEMROC n'est assurément pas un grand film, et souffre notamment de récurrentes longueurs. Mais force est de constater qu'il est difficile de trouver un film plus fou furieux et rageur que cette étrange bobine oubliée sur les étagères du cinéma français.



un film trip a ne pas manquer (amenez pas votre copine) pour tout fans de cro magnons en plein paris et bouffeurs de CRS!!


Moi c'est KROM

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#2 2007-05-26 01:38:23

papy tromblon
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Re: themroc

Ca parait mieux que ca ne l'est en vrai. sad
C'est assez pompeux, ca se veut tres "au spectateur de comprendre" mais en fait le fait que ca ne parle pas est idiot: l'auteur se dechaine pour nous faire tout comprendre avec des indications....ecrites!!!!

Franchement question retour a la vie sauvage sad


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#3 2007-05-26 01:42:25

psycho
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Re: themroc

papy tromblon wrote:

Ca parait mieux que ca ne l'est en vrai. sad
C'est assez pompeux, ca se veut tres "au spectateur de comprendre" mais en fait le fait que ca ne parle pas est idiot: l'auteur se dechaine pour nous faire tout comprendre avec des indications....ecrites!!!!

Franchement question retour a la vie sauvage sad

ça me donne quand meme envie de le voir yikes


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#4 2007-05-26 07:53:00

Bud the Beer
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Re: themroc

marrant ca justement on parlais de ce film avec un pote cinéphile hier soir ^^ je le connaissais pas, cet article me pouse a le trouver pour me faire ma propre opinion, merci smile

#5 2007-05-26 10:01:51

psycho
Jeux de l'année : uncharted 2 (ps3) ,Layton 2 (DS
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Re: themroc

Bud the Beer wrote:

marrant ca justement on parlais de ce film avec un pote cinéphile hier soir ^^ je le connaissais pas, cet article me pouse a le trouver pour me faire ma propre opinion, merci smile

Tu as affaire a des geeks de tres haut niveau ici mon grand !:D


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#6 2007-05-26 10:04:41

coaster
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Re: themroc

ça se doit d'etre vu pour tout cinéphile un peu barge....ça et black moon big_smile


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#7 2007-05-26 10:11:28

coaster
bitman et robite fourre ever
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Re: themroc

blackmoonOS.jpeg


Rares sont les cinéastes hexagonaux qui se sont frottés au genre fantastique: si on dénote un courant dans les années 40-50 à travers des cinéastes comme Marcel Carné (Juliette ou la clef des songes), Claude Autant-Lara (Sylvie et le fantôme), René Clair (Les belles de nuit) et Jean Cocteau (Orphée), force est de reconnaître que la dernière grande référence en la matière demeure Les yeux sans visage, de George Franju, en 1960. Depuis, de Chabrol (le fameux Alice ou la dernière fugue) à Mocky (Litan) en passant par Joël Séria (Mais ne nous délivrez pas du mal) sans oublier, plus récemment, le cas de Pierre Jolivet (Simple Mortel), des cinéastes disons institutionnalisés ont apporté leur pierre à l'édifice sans véritablement oser creuser le sillon afin que de jeunes talents l'abreuvent, ces derniers préférant les carcans d'un cinéma trop franco-français. Quelques exceptions notables bousillent élégamment la règle (Innocence, de Lucile Hadzihalilovic), mais aujourd'hui encore, le fantastique est considéré comme le genre banni de cette grammaire.

Black Moon, condensé de satire politico-sociale et de conte mystique, démarre par un long plan atmosphérique où une jeune fille mutique de 15 ans fuit désespérément la guerre des sexes (la même que celle menée avec infiniment plus de trivialité par Bertrand Blier dans Calmos!) et plonge dans un univers étrange et chatoyant où plus rien n'a de sens. Où la communication ne passe aucunement par le langage. Où les pauvres mots ne servent à rien. Où les corps expriment à leur place le manque et la nécessité vitale.
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Chaque scène de Black Moon semble avoir été construite comme un tableau rempli d'allégories aux connotations politiques et/ou poétiques. Architecte du temps et de l'espace dans cette expérience, Louis Malle a bâti un univers anxiogène où chaque élément (son, durée des plans, hors-champ) renvoie à l'autre dans une discrète et inquiétante harmonie. Suite à un accident de voiture, la jeune femme arrivée au bout d'un cul-de-sac croise des serpents, des moutons, un mille-pattes noir, tombe sur des cadavres et un pendu, puis, au bout de ses pérégrinations agrestes, rencontre une Licorne qui la conduit vers une demeure mystérieuse. Dans la bâtisse, surgissent des choses étranges. L'apparition d'une famille branque: des enfants, frères et soeurs androgynes, et une vieille femme infantile, clouée au lit, qui garde contact avec le monde extérieur grâce à sa radio, tripote un rat et s'exprime dans un sabir abscons. Dans la cour, des enfants nus qui poursuivent une truie paradent et animent un jardin originel inerte.

Le parcours de la jeune héroïne aussi lost que nous est jalonné d'éléments fantastiques qui viennent renforcer le lien de la femme nature qui fait fusion avec une nature délaissée pour fuir la bestialité des hommes. La nudité des enfants renvoie, elle, à l'image d'un paradis irréel et dépourvu de toute violence. Afin de consolider ce voyage, Malle emprunte des références aux contes de fées également, avec cette longue rencontre avec une vieille femme qui pourrait cacher un grand méchant loup. Le récit qui assume ses audaces jusqu'au bout (la soeur qui donne le sein à la vieille, la licorne qui parle, les fleurs qui se plaignent, les humains qui eux ne parlent que très peu) est ponctué de visions effrayantes comme les poules qui picorent les yeux d'un cadavre ou encore l'image d'un aigle belliqueux décapité. Elles sont amplifiées par un cadre édénique où les notions du mal et du bien semblent neutralisées. Il plane par ailleurs cette envie d'instiller le sexualité, ou plutôt l'asexualité, jusque dans le choix pas innocent de Joe Dallesandro, acteur connu pour son travail avec Morrissey sur sa trilogie Warholienne, icône des années 70, qui a apporté son soutien au projet dans le rôle d'un jardinier qui ne communique qu'avec ses doigts. Progressivement, on se rend compte que la jeune demoiselle ne sortira pas de son purgatoire et pourrait être la mère d'enfants abandonnés et non désirés pendant la guerre (on a vu à-peu-près la même chose dans Saint-Ange, de Pascal Laugier).
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Le défaut de Black Moon vient paradoxalement de son personnage principal détaché qui ne représente pas une balise réconfortante aux yeux du spectateur: on ne sait pas d'où elle vient ni qui elle est et sa progression dans le récit est trop approximative. A la différence de Sylvia Kristel dans Alice ou la dernière fugue, l'actrice Cathryn Harrison est trop glaciale pour insuffler la moindre émotion à ce puzzle énigmatique. Quoiqu'il en soit, pas grand monde risque d'accrocher. Le film, irrationnel et hermétique à tout présupposé critique, proche des univers poétiques de Cocteau et de Prévert, a été construit avec la détermination de donner la possibilité au spectateur de participer au film afin qu'il donne un sens à cet assemblage de saynètes esthétiquement très travaillées. Echec: les réactions hostiles à Black Moon jugé incompréhensible ont vraisemblablement poussé Louis Malle à quitter le pays pour bâtir une filmographie américaine avec La petite, film curieux et sensible où le personnage central, une fillette de onze ans (la révélation Brooke Shields), tombe dans les cloaques de la prostitution sur les traces de sa mère dans un bordel de la Nouvelle Orléans et surtout Atlantic City, avec Burt Lancaster et Susan Sarandon, cette dernière devenant ainsi récurrente dans l'univers du cinéaste. Par la suite, Louis Malle a définitivement tiré une croix sur ses tentatives surréalistes voire figuratives pour revenir à des résultats plus scolaires et non moins brillants (l'autobiographique Au revoir les enfants et la dernière image que personne ni même Malle n'a oublié, et l'hédoniste Milou en mai où également une présence fantastique mortifère, celle de la géniale et regrettée Paulette Dubost, errait pendant tout le récit).

A sa sortie, on a dû considérer Black Moon comme tous ses films un peu trop en avance sur leur temps (se souvenir de La prisonnière, de Henri-Georges Clouzot, jadis taxé de tous les anathèmes, aujourd'hui reconnu comme une oeuvre avant-gardiste d'une choquante beauté) et réduit logiquement cette dérive stimulante à un accident de parcours abscons et risible. Près de trente ans plus tard, cette fascinante tentative de fantastique made in France mérite d'être réévaluée: elle a gagné en charme et en poésie et mériterait que, littéralement, le spectateur y perde son oeil.

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#8 2007-05-26 10:51:21

papy tromblon
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Re: themroc

et l'an 01!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

mon reeeeeeeeeeeeeeeeeeve!!!!!!

Gebé wrote:

Vous demandez toujours : "qu'est-ce qu'on pourrait faire ensemble ?" Réponse historique : " faisons un film " un film ensemble.

Comment ? Une caméra : tous derrière et tous devant. Qu'on ne vienne pas nous le gâcher. Il est à nous. A ceux pour qui c'est mai toute l'année depuis Mai. A ceux qui ont fait ces drôles de dernières grèves.

A ceux qui regardent au delà de la ligne d'horizon officielle bricolée avec des cent sous de mieux et la retraite à soixante ans.
Et si un jour on arrêtait tout ? Plus de travail, plus d'horaires, plus de voitures, plus de télévision. On prendrait le temps de flâner, de discuter, de chanter, de faire l'amour, de cueillir une fleur ...

Le temps de vivre tout simplement.

Ce serait l'an 01 d'une ère nouvelle.

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deja allez voir ça: http://www.sami.is.free.fr/gebe/

L'An 01, ovni cinématographique, est une adaptation pour le grand écran d'une bande-dessinée de Gébé, scénariste et dessinateur qui a participé à de nombreuses publications aujourd'hui cultes : Pilote, Hara-Kiri, Charlie Hebdo... L'An 01, publiée sous forme de série à partir de 1970 dans Politique Hebdo, fut créé par Gébé et enrichie par les propositions des lecteurs. En 1973, Jacques Doillon décide de mettre en images l'oeuvre de Gébé, avec la complicité d'Alain Resnais et de Jean Rouch. L'An 01, un faux documentaire sur une nouvelle ère, inspiré par les idéaux de mai 1968...

Cast: Josiane Balasko, François Béranger, Georges Bernier, Romain Bouteille (Le collectionneur de billets de banque), Cabu, François Cavanna, Professeur Choron, Christian Clavier, Coluche (Le chef de bureau), Philippe Defrance, Christine Dejoux, Albert Delpy (Le voleur de bijoux), Gérard Depardieu (Un voyageur qui ne prend pas le train)
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L'An 01, un faux documentaire sur une nouvelle ère, inspiré par les idéaux de mai 1968.


regardez le de ma part, c'est l'uthopie absolue (ca permet aussi de voir que la situation de 73 etait aussi merdique que maintenant sad )
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#9 2007-05-26 10:52:13

psycho
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Re: themroc

papy le gauchiste, coaster le poéte maudit big_smile


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#10 2007-05-28 00:05:33

feldman
ne retenez pas vos pets au nom de la bienseance
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Re: themroc

et hop! sur mumule !


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#11 2007-05-28 09:39:10

Bud the Beer
visiteur du trox

Re: themroc

Et on mangera des nouilles. plein de nouilles. comme ca y'aura pas de jaloux. des nouilles pour tout le monde.

#12 2007-05-29 13:51:20

papy tromblon
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Re: themroc

Bud the Beer wrote:

Et on mangera des nouilles. plein de nouilles. comme ca y'aura pas de jaloux. des nouilles pour tout le monde.

_des nouilles, des nouilles j'en ai marre!!
_t'as qu'a inventer autre chose!
_pour qu'un pauvre pequin s'use la santé a me les produire, pas question !


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#13 2009-09-14 21:53:11

toorop
Duke Nukem c'est bien un rpg?
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Re: themroc

Pour Black moon, ça donne envie de faire une chronique sur Bunuel ici, ça a l'air d'être le même genre de trip


The sky is blue and all the leaves are green.
The sun's as warm as a baked potato.
I think I know precisely what I mean,
When I say it's a shpadoinkle day.

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#14 2009-09-16 08:21:39

coaster
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Re: themroc

Période los vidados ? pas de probleme mon gars !


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#15 2009-09-18 22:06:42

toorop
Duke Nukem c'est bien un rpg?
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Re: themroc

JE pensais à la période Chien Andalou, mais c'est une très bonne période aussi (pas vu los olvidados, mais je sais qu'il n'avais pas perdu sont talent, à l'époque...)


The sky is blue and all the leaves are green.
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