metal gear solid 4 : point final a la saga solid ?

papy tromblon · 2007-05-21 14:37:25

L'histoire prend place quelques années après les évènements de Metal Gear Solid 2: Sons of Liberty. Après les incidents de Manhattan, les interventions militaires en pays étrangers se sont restreintes, provoquant l'émergence de compagnies militaires privés (Private Military Compagny : PMC). Les cinq plus importantes PMC se révèlent être contrôlées par une même compagnie mère, Outer Heaven. Disposant d'une réserve de mercenaires sans égales et de moyens technologiques avancées, la puissance militaire d'Outer Heaven est colossale. Au commande de cette immense armée, Liquid Ocelot compte poursuivre les desseins idéalistes de Big Boss et se prépare à déclencher une insurrection armée au Moyen-Orient. Malade et vieillissant, Solid Snake est le seul à pouvoir l'arrêter. Ce sera sa "dernière mission"...

Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriot propose un nouveau concept qu'Hideo Kojima a introduit par le slogan « Nulle part où se cacher » (« No Place To Hide »). Le jeu prend place dans des environnements ouverts qui, à la différence des précédents épisodes, offrent donc peu de cachettes. Selon Hideo Kojima, le gameplay traditionnel de la série, qui est basé sur l'infiltration, n'est pour autant pas remis en question. Le joueur dispose désormais de plus de choix dans la réalisation de ses objectifs, et peut plus ou moins miser sur la furtivité ou sur des confrontations frontales. Certains soldats rencontrés sur le champ de bataille ne sont a priori ni des ennemis ni des alliés, et c'est le comportement du joueur qui devrait déterminer la nature de leur relation. Il pourrait même être possible de créer des alliances avec certains combattants, un peu dans la continuité de ce que propose Metal Gear Solid: Portable Ops.

Certains éléments de gameplay ont été dévoilé dans des interviews ou dans les bandes-annonces présentés lors des salons de l'E3 et du TGS. Tout d'abord, le système de combat rapproché introduit dans Metal Gear Solid 3: Snake Eater, le « CQC » (Close Quarter Combat), est réutilisé.Kojima a expliqué qu'il y avait une raison rationnelle à ce que Solid Snake maîtrise désormais cette technique, sans pour autant la dévoiler. Parmi les nouveautés, Solid Snake se voit désormais accompagné par un petit robot, le « Metal Gear Mk. 2 », lequel est contrôlé à distance par Otacon. Le Mk. 2 permet aux deux hommes de communiquer mais peut également servir à neutraliser les gardes en les électrocutant. Un nouveau type de camouflage optique fait également son apparition : l'« octocamo ». Pour passer inaperçu de l'ennemi, la combinaison de Snake peut se fondre dans le décor en reproduisant les couleurs de l'environnement immédiat. Par ailleurs, MGS4 propose un nouveau système de caméra à 360 degrés, déjà expérimenté dans Metal Gear Solid 3: Subsistence.

Hideo Kojima prévoit d'exploiter les capacités de détection de mouvement de la Sixaxis. Il dit aussi envisager d'utiliser la PSP comme contrôleur additionnel, notamment pour diriger le Mk. 2. Enfin, Metal Gear Solid 4 devrait proposer des modes de jeu en ligne, jouables via le PlayStation Network.

les questions sont les suivantes:
_qui est ce vieux a poil? Big boss?
_Pourquoi snake utilise des couteaux?

krom · 2007-05-21 14:38:39

aucune idée mais Kojima doit avoir trouvé un truc a la con pour expliquer ca big_smile

Elrohir · 2007-05-21 15:01:33

Mouais. Bof.

krom · 2007-05-21 15:04:12

Elrohir wrote:

Mouais. Bof.

T'as des couilles de critiquer le jeu le plus ambitieux de la next gen big_smile

Elrohir · 2007-05-21 15:08:56

A partir du moment où l'on fait des suites, on a tout de suite moins d'ambitions smile

papy tromblon · 2007-05-21 15:11:08

Elrohir wrote:

A partir du moment où l'on fait des suites, on a tout de suite moins d'ambitions

T'aurais eu l'air malin si Lucas avait arrété Star war a l'episode 4 (en toute logique il aurait alors commencé par l'épisode 1...:( )

big_smile

Elrohir · 2007-05-21 16:27:24

Mais des suites pour MGS sont-elles justifiées ? Quand on voit le tirage de cheveux des scénarios des 2 et 3.

aglon · 2007-05-22 09:09:21

hey mec je suis d'accord pour le scenar du 2 mais le 3!!!!! yikes

Une préquelle qui explique l'histoire basique de big boss dont on ne savait rien, fait facon film des années 60 (james bond pour eva, les westerns "classiques" pour ocelot, plus les references a ninja scroll (l'homme abeille, l'homme electricité)

le tout dans une technicité absolue (infiltration, bourrinage, trip mystique ecolo...)

coaster · 2007-05-22 09:25:09

aglon wrote:

hey mec je suis d'accord pour le scenar du 2 mais le 3!!!!!
Une préquelle qui explique l'histoire basique de big boss dont on ne savait rien, fait facon film des années 60 (james bond pour eva, les westerns "classiques" pour ocelot, plus les references a ninja scroll (l'homme abeille, l'homme electricité)
le tout dans une technicité absolue (infiltration, bourrinage, trip mystique ecolo...)

Plussoyer est un droit. Un devoir ans le cas présent.

sancy · 2007-05-22 09:51:06

Je rejoins Elrohir sur le fait que certaines série feraient mieux de s'arreter vite.
En revanche, cet épisode, qui n'est plus basé sur l'infiltration douce mais sur la démerde, au milieu d'un champ de bataille vivant m'a l'air plûtot bien engagé.
Il me fait figure de resident evil 4 quoi smile .

julius caesar · 2007-05-24 23:34:53

hey mec, mgs3gardait le style infiltration pure et pourtant restait un monument, que ce soit au niveau du scenar, de la realisation, du gameplay super futé, repensé et amélioré (le camoufllage, la nourriture, la medecine....)

Un pur chef d'oeuvre. Je crois que tu confond tomb raider (toujours pareil) et mgs Elrohir wink

Bud the Beer · 2007-06-05 22:28:44

De toutes facons, Kojima depuis MGS sur psx ca a toujours été (je cite) : 'Je voulais le faire depuis toujours mais les technologies actuelles le permettait pas'. Quand on dit ca, on peut tout faire et tout se permettre...

Je retire pas pour autant le mérite de la série, je les ai pas tous fait, mais ceux que j'ai fait m'ont plus ou moins convaincu, en totu cas j'ai pris plaisir a les faire.

tonton fafane · 2007-06-05 23:48:19

tient, juste histoire de broyer les couilles des fans (et donc des miennes au passage)

pour fêter les 20 ans de la saga metal gear, konami va sortir d'ici peu les rééditions suivantes :

* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid Collection (PS, PS2, PSP)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid 3 (PS2)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid 2 (PS2)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid (PS)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid Portable Ops (PSP)

**source famitsu**

autrement dis, la totalitée des opus qui de plus seront agrémentés de bonus, le tout pour le sol nippon uniquement!! alors que l'on sait tous qu'il s'agit du continent où la saga s'est le moins bien vendue.... sick sad world...

Don diego de la vega · 2007-06-06 09:57:28

tonton fafane wrote:

tient, juste histoire de broyer les couilles des fans (et donc des miennes au passage)
pour fêter les 20 ans de la saga metal gear, konami va sortir d'ici peu les rééditions suivantes :
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid Collection (PS, PS2, PSP)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid 3 (PS2)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid 2 (PS2)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid (PS)
* Metal Gear 20th Anniversary: Metal Gear Solid Portable Ops (PSP)
**source famitsu**
autrement dis, la totalitée des opus qui de plus seront agrémentés de bonus, le tout pour le sol nippon uniquement!! alors que l'on sait tous qu'il s'agit du continent où la saga s'est le moins bien vendue.... sick sad world...

Attends ,ils ressortent de la PSX? yikes
Putain de japs! pourquoi ils ont droit a des sorties sur veilles consoles 10 ans apres la fin "officielle" de celle ci!!!!!

(on se souvient de la version GBA de mario bros sortie aussi sur nes yikes

papy tromblon · 2008-05-20 11:27:03

Bud the Beer wrote:

De toutes facons, Kojima depuis MGS sur psx ca a toujours été (je cite) : 'Je voulais le faire depuis toujours mais les technologies actuelles le permettait pas'. Quand on dit ca, on peut tout faire et tout se permettre...
Je retire pas pour autant le mérite de la série, je les ai pas tous fait, mais ceux que j'ai fait m'ont plus ou moins convaincu, en totu cas j'ai pris plaisir a les faire.

Dans une interview accordée au magazine Edge, Hideo Kojima parle au sujet de Metal Gear Solid 4 et livre des sentiments plutôt étonnants vis-à-vis de l'un des jeux les plus attendus de la planète.

«En termes de jeu, le résultat est assez proche de la vision originelle : vous vous faufilez sur le champ de bataille et pouvez choisir de jouer discrètement ou d'interférer plus directement dans le conflit. Mais graphiquement, les à-côtés tels que le Motion-Blending ou la taille des cartes ne correspondent pas à ma vision d'origine à ma satisfaction.

Lorsque nous avons montré le moteur de jeu pour la première fois au TGS, l'équipe était vraiment fière et contente. La Playstation 3 était une machine de rêve et nous allions travailler sur ceci ou cela nous avions tellement d'idées. Mais quand nous avons réellement commencé à développer le jeu, nous avons réalisé qu'il y avait de nombreuses restrictions et cela a abouti à ce que vous voyez aujourd'hui. La vision originelle était d'aller dix fois plus loin. La réalité a fait que nous sommes allés qu'une fois plus loin, ce qui ne revient pas à dire que nous n'avons pas progressé.

Je me souviens qu'il y a trois ans, nous voulions créer quelque chose de révolutionnaire. En réalité nous ne pouvions pas à cause du processeur. En fait, nous poussons le Cell Engine à ses limites. Ne me faites donc pas dire ce que je n'ai pas dit. Je ne critique pas la console PS3, c'est juste que nous n'étions pas pleinement conscients de ce que la PS3 pouvait offrir à son niveau maximum. Nous étions en train de créer quelque chose que nous ne pouvions pas entièrement voir.»

aglon · 2008-05-20 11:29:18

A la lecture de ces extraits d'interview, la déception de Kojima semble palpable. C'est un fait. Cependant attention, si l'homme revient sur la forme (toute relative d'ailleurs) de son jeu, à aucun moment il n'est question d'en dénigrer le fond. Par le passé, Kojima a d'ailleurs souvent fait part de grognes contre la technique au sens large qui limitait sa vision (Blu-ray trop petit, mémoire vidéo trop faible, HD dont il se fichait). L'homme est exigeant, c'est une réalité. Alors faut-il voir là la réaction d'un artiste éternellement insatisfait ? Une critique à la PS3 pour ouvrir la porte à une disparition d'exclusivité ? Ou un nouveau signe pour signaler qu'il voulait faire mieux... et qu'il ne peut donc pas encore lâcher la série ? Ah ! La question est posée...

Spas une réponse de payday ca lol mdr

papy tromblon · 2008-05-20 11:32:23

Le Playstation Magazine officiel britannique a publié dans sa dernière parution une review du très attendu titre de Kojima Productions, Metal Gear Solid 4 : Guns of the Patriots.
Le jeu s'est vu attribuer la note parfaite de 10/10. Ainsi, il serait donc à la hauteur de nos espérances. Aprés je n'ai pas de PS3 sad

aglon · 2008-06-17 11:13:56

Le tant attendu Metal Gear Solid 4 arrive dans quelques jours sur PlayStation 3. Snake infiltre donc la console next generation de Sony et contrairement à ses habitudes, il va en faire du bruit quand le 12 juin il sera dans les bacs. Cependant, avant de se jeter sur le dernier jeu de Kojima-san, quelques questions vous brûlent les lèvres. Tenons-nous là le premier chef d'oeuvre de la PlayStation 3 ? La fin de la saga Solid Snake surpasserait-elle tous les précédents épisodes d'une série ô combien prestigieuse ? Respirez un grand coup, les réponses sont dans ce test.

Nous n'allons pas faire de faux suspense, autant le dire tout de suite: MGS 4 est une grande réussite, le must have de la PlayStation 3, le jeu qui restera dans vos mémoires pour longtemps si ce n'est à jamais. Il pouvait difficilement en être autrement car cet épisode est le dernier de la série, celui dans lequel vous direz peut-être adieu à Solid Snake, celui qui vous rendra certainement nostalgique à l'idée de ne plus revoir des personnages mythiques dans de nouvelles aventures. Pour toutes ces raisons et bien d'autres, vous ne ressortirez pas de l'expérience MGS 4 comme vous y êtes entré.

Je ne suis pas sur le point de dire que la dernière production de notre cher Hideo Kojima est parfaite: cela serait en partie faux, mais en partie seulement ! Inutile de plisser les yeux pour anticiper un quelconque spoiler de grande importance, Konami nous a bien précisé quels aspects du jeu devaient être tenus secrets, et nous ferons nous-même attention à ne pas en dire trop étant donné les composantes quasi cinématographique de MGS.

Metal Gear Solid 4 commence donc 9 années après les évènements de Metal Gear Solid 2. Pour rappel, la fin du second épisode voyait Ocelot ou plutôt Liquid Ocelot prendre la fuite avec Metal Gear Ray. De son côté Raiden mettait un terme à la vie de Solidus Snake, un autre clone de Big Boss, désirant à tout prix se défaire de l'influence des Patriotes (une entité omniprésente semblant diriger le monde d'une main de fer et pourtant invisible) au risque de créer le chaos. A la toute fin de cet épisode, une information importante faisait son apparition au sujet des Patriotes, les noms figurant sur la liste des membres étaient tous ceux de personnes aujourd'hui décédées. Un épilogue pour le moins énigmatique qui a certainement dû torturer pas mal de cerveaux jusqu'à aujourd'hui. La suite logique voudrait que l'on découvre le plan de Liquid Ocelot, face à Solid Snake, toujours à sa recherche.

Faire ses premiers pas dans Metal Gear Solid 4 ressemble à une sorte de voyage dans le temps, d'une génération de console à une autre en quelques secondes. Les souvenirs et les habitudes de jeu délivrées dans les premiers MGS ont la peau dure, surtout si l'on s'y replonge ne serait-ce qu'une seule petite fois avant de prendre en main cet épisode PS3. C'est pour cette raison que je qualifierais les premiers pas dans l'aventure comme étant les plus brutaux de la série. Cette sensation de perte de repères est également due à d'autres éléments que je vous laisse découvrir par vous-même. Décidemment, la guerre a bien changé en neuf ans. En plus de l'upgrade graphique et de limitations techniques beaucoup moins présentes dont nous parlerons plus tard, il y a beaucoup à apprendre dans ce MGS. Comme nous avons pu le dire dans la preview du 2 mai, le gameplay a changé pour offrir plus de fluidité et d'immersion. La caméra imposée dans Metal Gear Solid 2 et 3 ( Subsistence non compris) est remplacée par une caméra dynamique sous contrôle du joueur. Le monde paraît bien plus dangereux et stressant lorsqu'on a la possibilité de regarder autour de soi. Konami Productions l'a bien compris et s'en sert à merveille. Ainsi, quel que soit l'endroit dans lequel vous êtes, vous pouvez jouer avec la caméra, les angles; vous y êtes même obligé afin d'éviter des mauvaises rencontres.

En parlant d'angle, n'omettons pas la possibilité de pouvoir viser grâce à la vue «au-dessus de l'épaule» bien pratique pour accueillir un ennemi qui ne s'attend pas à vous voir. L'apport de cette option de gameplay est complètement justifié et sert bien le joueur, même s'il accentue le stress au cours de certaines situations bien spéciales. A l'instar de Resident Evil 4, on ne peut pas nier une certaine rigidité persistante de cette vue mais le défaut est mince en regard des gains apportés, d'autant plus qu'elle n'est jamais obligatoire.

Au rang des nouveautés, la vue FPS, dite «à la première personne» apparaît comme une évolution logique du gameplay. Personnellement, mis à part au cours des nombreux gunfight pendant lequel Snake reste immobile je ne l'ai pas utilisé souvent. Les fans de tir à la première personne pourront peut être trouver un intérêt à déambuler dans les niveaux de cette manière. En effet, les FPS dotés d'un tel souci du détail dans l'animation sont encore rares sur next generation. Pourquoi ne pas refaire le jeu entier en vue FPS à l'occasion ?

Lors de la news du 14 mai concernant une phase de gameplay, nous avions bien sûr parlé de la nouvelle façon de ramper de Snake. Cette technique, idéale pour passer inaperçu fait partie des améliorations, et oui encore une ! Pouvoir se déplacer devant le nez de ses ennemis en toute impunité (sauf accident, le stick de la manette est très sensible à la pression exercée) est tout à fait jouissif. Il suffit d'une légère poussée pour avancer à pas de velours tel un serpent. Il est aussi possible de se retourner et de se mettre sur le dos pour tirer. Il y a eu une véritable évolution dans la prise en main, on apprécie le chemin parcouru par la Team Kojima, d'autant plus que ce n'est pas fini: vous pouvez aussi tourner sur vous-même, à terre de droite à gauche, pour éviter de vous faire écraser ou de vous prendre une grenade dans la figure. Contrairement à ce que l'on pourrait penser de prime abord, nous sommes loin d'une amélioration gadget comme on peut en voir dans d'autres jeux. La liberté d'action n'est alors plus limitée que par les capacités diminuées d'un Solid Snake fatigué, anormalement vieux.
Pour s'en sortir, ce héros autrefois capable de détruire un hélicoptère Hind D au stinger a bien d'autres tours dans son sac.

L'OctoCam (contraction du nom de Decoy Octopus, membre de Fox Hound décédé à Shadow Moses et de camouflage) permet d'adopter l'apparence du terrain dans lequel vous vous trouvez, et ce, par simple contact. Si vous restez immobile pendant 3 secondes, sur une surface blanche la tenue prendra non seulement la même couleur mais aussi la même texture. A noter, votre tenue garde l'apparence que vous lui avez donnée pendant les cinématiques. Vous avez le choix de changer l'OctoCam manuellement dans le menu ou de lui laisser faire le boulot toute seule.

A l'instar de Naked Snake dans MGS 3, la meilleure position à adopter pour passer inaperçu consiste à rester allongé et à ramper mais vu que le contexte est bien plus guerrier, Konami nous offre enfin la possibilité de marcher et de se baisser en même temps. Non seulement vous évitez les balles perdues mais vous pouvez également tirer dans cette position. De tels réflexes étaient auparavant absents de nos habitudes de jeu, nous forçant à nous plier à une certaine rigidité qui aurait presque pu devenir une marque de fabrique de la série. Le changement a du bon surtout s'il s'appelle Metal Gear Solid 4.

Le CQC (Close Quarter Combat) refait son apparition d'une manière inchangée. Snake peut désarmer son ennemi, l'étrangler ou pire. Le couteau incluant un taser servira aussi à électrocuter vos proies prises au piège. Attention, vous ne serez pas le seul à utiliser cette technique de combat, et il vaudrait mieux être bien préparé avant de vous en prendre à n'importe qui.

Je pourrai vous parler encore des heures des améliorations et autres nouveautés de gameplay mais vous n'auriez alors plus aucune surprise. Finissons donc avec le MKII qui sera votre compagnon pendant toute l'aventure. Otacon, qui doit encore se souvenir de son épisode malheureux face au ninja (Grey Fox) a préféré suivre Snake de loin grâce ce modèle réduit muni d'une caméra. Ce petit «jouet» vous servira à de nombreuses reprises pour régler des situations dangereuses mais il a des limitations qui réduisent son utilisation. Ses batteries ne sont pas infinies et il ne peut pas trop s'éloigner de Snake sous peine de s'arrêter de fonctionner. Vous imaginez le désastre si ce robot est découvert par l'ennemi ! Le MKII facilite grandement les choses peut être trop dans certains cas mais c'est à vous de décider si vous voulez profiter de son aide ou pas. Il sera certainement d'une grande utilité pour les novices mais apparaîtra comme une aide de jeu trop forte pour les joueurs confirmés. Il permet entre autres de mettre hors d'état de nuire des ennemis très facilement et sans danger. Les modes difficile et très difficile pourront peut être lui trouver une utilité plus mesurée.

Toujours est-il que la peau du serpent a bel et bien mué pour s'affranchir de ses anciennes lourdeurs. On apprécie grandement le changement même si l'entrée en matière se révèle bouleversante à plus d'un titre. Après quelques heures de jeu, les gains dans le gameplay se font ressentir à tel point qu'on se demande comment nous faisions avant. Des changements, des compromis notamment pour l'OctoCam automatique, ont été faits mais ce fut pour le meilleur.

Ce n'est un secret pour personne, les traditionnels points d'exclamation et d'interrogation sont encore et toujours présents pour vous signaler les réactions des ennemis qui vous traquent. On prend les mêmes et on recommence ! C'est le cas pour la ponctuation mais il semble que ce le soit aussi pour l'intelligence artificielle des ennemis. A vrai dire, rares sont les jeux dans lesquels vos ennemis sont si intelligents mais le hic est que les changements par rapport à un MGS3 sont plutôt minimes. Metal Gear Solid 4 fait partie de ces jeux montrant bien que nous avons passé un cap mais le comportement des ennemis n'a pas subi la même mise à jour que le reste de l'oeuvre. Les soldats se comportent bien sûr de façon à ne pas mourir sous les tirs adverses, se dispersent quand ils voient une grenade mais vous ne les verrez pas élaborer des plans pour encercler leurs adversaires. Les combats se résument assez souvent à du «je tire, je me cache, je tire, je me cache». Il y a évidemment des variantes, comme un lancé de grenade inattendu mais rien ne vous surprendra vraiment. Cependant, l'influence sur le plaisir de jeu n'est pas négative pour autant, cette petite faiblesse étant compensée par la variété du level design et des situations qui se renouvellent.

Les aventures de Snake ne se passant pas seulement au Moyen Orient, la répétitivité de l'ensemble n'est pas du tout dérangeante. Il ne s'agit en fait que d'une partie du jeu bien différente de celles qui vous attendent par la suite.

Pour en revenir aux réactions de vos ennemis sur l'ensemble du jeu, il sera toujours possible de trouver quelques incohérences dans leur comportement notamment lorsqu'ils ont cru vous voir. Ces imperfections en rappelleront certaines issues de l'ère PlayStation 2. Un point d'interrogation subsiste toujours en ce qui concerne certains moments bien précis pendant lesquels un garde ne vous tire pas dessus bien que vous vous teniez devant lui, à découvert. Rien de grave, mais pour un épisode final, c'est tout de même dommage. Rassurez-vous, ces petits bémols appartiennent au domaine du chipotage. Les gardes entendent, pendant les moments calmes, n'importe quel bruit émis trop fortement (bouteille vide heurtée, des pas trop brusques, traces de pas dans certains cas etc.) par mégarde, par Solid Snake.

L'intelligence artificielle prend beaucoup moins d'importance lorsque vous devez affronter des guerriers que nous qualifierons «d'une autre espèce», bien plus coriaces et n'ayant rien à envier aux soldats de la matrice dans Matrix Reloaded. Vous ne ferez plus attention à rien si ce n'est à votre plaisir !

Les Gekkos, véritables Metal Gear miniatures auxquels vous aurez à faire plusieurs fois sont très difficiles à abattre. Vous devrez vous munir d'un arsenal plus qu'imposant pour vous en débarrasser. Ils vous étonneront par leur capacité à sauter comme des grenouilles pour arriver jusqu'à vous. Le moindre contact avec leurs jambes peut s'avérer fatal comme vous aviez pu le voir dans les nombreux trailers. La fuite sera parfois la seule solution sauf si vous vous sentez l'âme d'un héros. Leur animation et leur taille impressionnent, ils offrent un peu de fraîcheur en plus aux ennemis de cet épisode final.

Vous l'aurez compris, nous allons parler de Drebin et de son activité professionnelle très liée à la vente d'arme. C'est le personnage qui vous accompagnera pendant une bonne partie de l'aventure pour vous donner des renseignements sur les changements récents qui eurent lieu sur les champs de bataille. La guerre a effectivement changé et Drebin en est l'un des bénéficiaires. Les nanomachines (petits robots microscopiques s'injectant dans l'organisme en vue d'améliorer les performances physiques et mentales) dont vous connaissez le rôle secondaire répété dans les épisodes précédents de la série arrivent au premier plan car ils ne sont plus réservés à l'élite des champs de bataille. C'est grâce à cet aspect scénaristique que Drebin interviendra pour vous fournir son aide. Ainsi, pour obtenir de nouvelles armes, vous devrez ramasser celle des autres et les donner à Drebin. Le procédé se fait automatiquement. De la même manière que vous marchez sur les objets pour pouvoir les utiliser, vous devrez marcher sur les armes laissées à terre pour les donner à Drebin. Vous obtiendrez des Drebin Points avec lesquels vous achèterez d'autres armes.

Quel plaisir de pouvoir enfin utiliser des AK-47, M4 et autre fusil à pompe sans crainte de se faire repérer ! Metal Gear Solid 2 n'offrait la possibilité de se servir que d'une infime partie de son équipement high-tech, ce qui pouvait frustrer. Ici pas la moindre crainte: achetez des grenades incendiaires pour boucher le passage à des ennemis, des grenades stun pour les éblouir et sortez votre fusil d'assaut. Encore un bon point pour les phases d'actions véritables de ce MGS. On en redemande !

Le Solid Eye, enfin, est une sorte de machine à tout faire pour un Solid Snake qui a bien besoin d'aide. En le sélectionnant dans l'inventaire, vous pouvez, à l'aide des boutons de la manette, utiliser les jumelles, la vision nocturne ou juste le laisser en mode normal. Dans cette position il vous permet de savoir exactement ce qui se trouve sur le sol et de localiser vos ennemis et vos «alliés»: utile quand il fait nuit.

War has changed» Snake le dit et le répète mais il ne savait pas à quel point. Les fans de Metal Gear Solid gardent bien sûr en mémoire les boss d'anthologies du premier épisode. Psycho Mantis, Vulcan Raven, Sniper Wolf etc. Ceux des épisodes suivant ont plutôt suscité des avis divers, notamment ceux du 3 qui s'enchaînaient sans réel impact sur l'histoire. Ici, même sans être directement au centre de l'opposition entre Liquid Ocelot et Solid Snake ou proche de la problématique des Patriotes, nous sentons un réel effort pour leur donner de la consistance. Il ne s'agit pas seulement de leur histoire plutôt perturbante mais de leur implication dans le déroulement du jeu. Chacun d'eux dispose d'une place non négligeable tout au long de l'aventure. Ce n'est pas pour rien si d'autres développeurs considèrent les boss de la saga comme étant des exemples à suivre.

Pour en venir aux affrontements, ils sont tous très différents dans leur approche, offrant chacun des expériences très différentes. Généralement stressant, les combats favorisent toujours l'utilisation de méthodes bien spécifiques pour s'en tirer vivant. Relativement longs, ils mettront vos nerfs à rude épreuve.

Techniquement, le passage à la Next Gen se fait ressentir de forte et belle manière que ce soit au niveau de l'image ou du son. A ce titre, les effets de lumière, d'explosion et autres se révèlent tout à fait spectaculaires. Snake souffre le martyr à tel point qu'il est parfois possible de se demander comment il arrive encore à se relever. Il faut souligner l'aspect humain de Solid Snake qui a visiblement été particulièrement soigné. Le clone de Big Boss se retrouve, à plusieurs reprises projeté à plusieurs mètres du sol pour s'écraser ensuite lourdement sur le sol (surtout à cause de la maladresse d'un certain rédacteur). Plus que le choc, c'est le poids de Snake qui se montre criant de vérité, à croire que ce personnage pourtant composé de jolis polygones est en fait constitué de chair et de sang ! Bref, pour toutes ces raisons, les boss resteront gravés dans vos mémoires, peut-être pas plus que les autres mais assez pour vous donner l'envie de les affronter dans tous les modes de difficulté proposés.

J'exclue volontairement les boss liés vraiment à l'histoire: ils se placent dans une autre catégorie qu'on ne peut aborder en dehors du scénario dont nous allons bientôt parler.

MGS1 prenait place exclusivement à Shadow Moses en Alaska, MGS2 a eu lieu en majorité dans la Big Shell. Pour cet épisode final, nous faisons le tour du monde. Hideo Kojima et son équipe ont dû en faire des kilomètres pour s'imprégner des endroits foulés par Solid Snake. Le moins que l'on puisse dire est que ça n'aura pas été vain: les changements d'atmosphère se font à merveille et à chaque déplacement, on en prend plein les yeux. Pourtant, même si le scénario nous empêche de laisser notre esprit divaguer, il est probable que certains regrettent, après coup, cet aspect «catalogue». Les trois premiers épisodes proposaient chacun à leur manière de faire des allers-retours entre deux points du terrain de jeu proposé. On se souviendra sans trop de mal des cartes pass de MGS 1 réagissant à des températures différentes. Il était alors facile de se sentir happé dans un gigantesque tourbillon d'événements concentré sur une seule et unique scène (impressionnante maîtrise scénaristique quand on y pense).

Metal Gear Solid 4 propose une toute autre approche en dispersant les lieux de l'action. Le scénario prenant une ampleur beaucoup plus mondiale, il pouvait difficilement en être autrement. La conséquence de ce changement est assez visible après 10 à 15 heures de jeu. Le déroulement de MGS 4 devient forcément plus conventionnel que les autres car malgré le nombre de surprises assez conséquent, le départ imminent vers une autre zone se fait sentir facilement. Le schéma «cinématique-mission-cinématique-mission» est très flagrant. Heureusement, les moments de jeu ne sont pas aussi prévisibles, et vous aurez toujours droit à des rebondissements de haute volée ainsi qu'à des affrontements clés non téléphonés. Ouf ! Ajoutons aussi que les phases de gameplay se diversifient au gré de la progression, constituant ainsi un mélange rafraîchissant. Du très bon travail.

Les cinématiques dont nous parlions plus haut sont de grande qualité. Hideo Kojima, qui n'avait pourtant plus rien à prouver sur ce point a, une fois encore, fait des merveilles. Nous connaissions le talent du génie pour la réalisation des scènes d'action mais nous connaissions moins bien l'étendue de son talent pour les moments plus intimistes et profonds. L'attachement que nous avons pu développer pour les principaux protagonistes de la série fait le reste du travail pour nous plonger au plus près des sentiments et des émotions qui font ici, plus que jamais, partie du casting. Le doublage et le travail sur le son sont absolument fantastiques. Alors, oui, une demi-heure, une heure de cinématique maximum, c'est très limite mais comment s'en plaindre sincèrement quand elle révèle des éléments importants de l'histoire ? A ce titre, MGS 4 reste certainement l'un des seuls jeux qui pourra vous couper complètement de la réalité alentour. (On mange ! Non pas maintenant !)

Les personnages, plus beaux que jamais, en particulier les personnages féminins qui gagnent en classe et en prestance, ne sont jamais apparus aussi humains. Ils ne restent pas immobiles face à face, ils vivent et laissent libre cours à leurs occupations ce qui augmente leur crédibilité. Il m'est arrivé de lâcher la manette pendant certaines cinématiques mais je l'ai amèrement regretté car elles sont toutes ou presque interactives. Pendant de courts moments, le symbole croix apparaît dans le coin supérieur droit de l'écran, la gâchette L1 également. Personnages récurrents, évènements important de la série, clin d'oeil, ces touches vous serviront à vous en souvenir sans mal. Rassurez-vous, il est possible d'appuyer sur start pour faire une pause pendant une cut scene.

Pour entrer dans le vif du sujet, cet épisode final va à l'essentiel, c'est à dire l'histoire de Snake. C'est très flagrant surtout par rapport à MGS 2, qui le précède chronologiquement. Même si, comme nous l'avons dit plus haut, l'atmosphère et les phases de gameplay sont assez diversifiées, on note que ce point précis est moins appuyé que dans les aventures de Raiden. Vous ne retrouverez pas de séquences sortant autant de l'ordinaire (mis à part les boss) comme l'étaient les phases sous-marines accompagnées d'Emma dans les couloirs inondées de la big shell. Il semble que ce genre de péripéties secondaires a été jugé comme un frein au déroulement du jeu. C'est un peu comme si l'épisode final n'avait nullement besoin d'artifice supplémentaire car ceux ci sont déjà présents dans l'histoire. Ce n'est pas forcément une critique car l'expérience se révèle tout de même bien au dessus de la moyenne des jeux du genre.

Ce qui pourrait plus ressembler à un reproche et à une conséquence de ce parti pris réside dans la sensation que le scénario prend une très (trop ?) grande place. A un moment donné du jeu, lorsqu'on s'attend à reprendre le contrôle de Snake, nous nous retrouvons privés de manette. Les événements se succèdent, des sentiments contradictoires se bousculent, partagés entre la frustration de ne pas jouer et le plaisir d'assister à des scènes d'anthologie. Force est de constater que l'équilibre entre gameplay et cinématiques est parfois peu respecté. Les composantes cinématographiques de MGS 4 étaient connues à l'avance mais il est parfois difficile de les encaisser sans broncher.

Pour en revenir au scénario, les réponses apportées à toutes les questions posées dans la trilogie et même à celles de l'époque Metal Gear, sont parfois sidérantes, parfois tout à fait logiques. Les trois épisodes précédents prennent tout leur sens, les ficelles qui les relient sont maintenant complètement claires. Lorsque les tenants et aboutissants de la saga sont révélés, c'est un grand ouf de soulagement que nous poussons. En effet la peur du pétard mouillé était toute proche mais Hideo Kojima a évité avec brio les erreurs possibles sans entrer dans une trop grande complexité. Evidemment, pour apprécier la performance réalisée dans sa globalité, les différents niveaux de lecture compris, il va falloir se remettre de la claque de la première fois pour s'y replonger. En mode hard pourquoi pas ?

Au même titre que certaines scènes mythiques de la saga, les personnages prennent une ampleur encore jamais atteinte dans un jeu vidéo. Ils bénéficient du talent de Kojima pour raconter des histoires mais également d'un contexte historique tout à fait réel ou réaliste. Cette richesse s'ajoutant à leur développement pendant deux à trois épisodes les rend profondément attachants.

Lors de la conférence de presse donnée par Hideo Kojima en avril dernier, le créateur de génie nous a confirmé que ce jeu était destiné aux fans. Ce n'était pas une parole en l'air: un néophyte sur MGS manquera non seulement une bonne partie des références, clins d'oeil, hommages aux précédents épisodes mais aura également beaucoup de mal à comprendre le fin mot de l'histoire si ce n'est pire. Il reste tout de même une aventure épique à savourer. Tandis que les autres épisodes pouvaient se laisser apprivoiser sans mal, ce final est difficilement accessible pour les non connaisseurs.

Metal Gear Solid 4 est très beau. Vous ne passerez pas votre temps à vous extasier sur les graphismes car vous avez certainement déjà vu des performances graphiques similaires ou plus élevées. La version testée n'était pas la version finale mais il y a peu de chance qu'elle se soit améliorée du mois d'avril à aujourd'hui. La réalisation n'est pas sans défaut. Pour s'en apercevoir, il suffit de transporter le corps d'un soldat prés d'un mur et de voir ce qui se passe au niveau de ces jambes. Tantôt elles se plient sous l'effet du contact, tantôt elles transpercent le mur. Dommage, nous espérions ne plus avoir à faire avec ce genre de bug. L'aliasing, pourtant aux abonnés absents ou presque pendant les phases de gameplay s'invite pendant certaines cinématiques de façon très voyante. Il ne gêne en aucune façon pour suivre l'histoire, et d'ailleurs sur l'ensemble de l'aventure, ne prend qu'une place anecdotique. En ce qui concerne l'aspect visuel, l'essentiel est là, certains effets flattent bien évidemment la rétine, la distance d'affichage ne faillit jamais, les explosions sont superbes, la réalisation est de haute volée, comme d'habitude chez Konami Productions.

Les chargements, quant à eux, sont toujours présents entre chaque zone mais leur durée est inférieure à 10 secondes et ils sont bien moins nombreux que dans un MGS 3 par exemple. Pour en finir sur ce point, vous serez soufflés par les transitions invisibles entre cinématiques et gameplay. On se demande souvent si une scène est jouable ou pas. Impressionnant.

Harry Gregson Williams signe une fois encore la bande son de Metal Gear Solid avec brio. Les thèmes sont pour le coup, moins marquants que dans les autres épisodes mais la profondeur de certaines compositions compense largement ce manque. On retiendra bien sûr le thème principal et les musiques dérivées toutes remplies de mélancolie et de tristesse. Elles mettent bien en évidence la position d'un Solid Snake vieillissant à l'aube de son dernier combat. Du grand art pour une bande son qui vient accompagner à merveille des scènes poignantes.

Last edited by aglon (2008-06-17 11:16:17)

papy tromblon · 2008-06-17 11:18:05

AAAAAAh ca me fait tout bizarre de déplacer ce topic dans "actuel".
C'est l'un des plus vieux de l'ancien Trox :°)

Sinon ote moi d'un doute: on est pas a.....???
http://media.cnetnetworks.fr/gamekult-com/images/photos/00/00/96/96/ME0000969648_2.jpg

aglon · 2008-06-17 11:18:56

▼Hidden text

papy tromblon · 2008-06-17 11:20:09

psycho · 2008-06-17 11:22:08

>papy: c'etait le 3eme post du forum en fait big_smile
Les deux premiers ayant disparus (pour les anciens c'etait lol j'ai pt et les joies de cuisiner milhouse)
que de souvenirs.... :°D

Sinon Aglon, pas besoin de rajouter le spoiler, la photo et la question de papy suffisait

aglon · 2008-06-17 11:23:24

papy tromblon · 2008-06-17 11:25:20

>psycho: c'est le premier article qui ressemblait a quelque chose big_smile

C'est quand même fort de se dire que ce jeu qu'on attendait a corp et a cri est fini, il est même sorti neutral

Je vais mediter

krom · 2008-06-22 10:22:51

krom wrote:

aucune idée mais Kojima doit avoir trouvé un truc a la con pour expliquer ca

J'avais raison wink
Mgs4 tue.
Un game play plus complet que les précédents opus. Un mode infiltation avec le MK II (petit robot télécommandé) fort sympatique, des cinématiques à couper le soufle(ex:combat Raiden vs Vamp). Le scenario de l'ensemble de la serie est mis en rapport avec les autres opus on comprend mieux qui fait quoi , bref les fans vont adorer.

Sous-culture : là où les geeks se sentent chez eux

#1 2007-05-21 14:37:25

metal gear solid 4 : point final a la saga solid ?

#2 2007-05-21 14:38:39

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#15 2008-05-20 11:27:03

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#18 2008-06-17 11:13:56

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#19 2008-06-17 11:18:05

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#23 2008-06-17 11:23:24

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#24 2008-06-17 11:25:20

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#25 2008-06-22 10:22:51

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